Publié le 3 avril 2024 à 07h00
Le 5 février 1964 dans le ciel : Hrissa Pélissier traverse l’Atlantique Sud
Publié le 5 février 2012 à 00h03 par Stéphanie Meyniel
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PETIBON a commenté :
20 décembre 2015 - 14 h 54 min
j’ai connu hrissa à l’aérodrome de Lognes Emerainville dans les années 1962-1970, elle pilotait un Jodel D12, puis le Jodel Paris Nice, sont époux Jacques Pelissier a effectué les essais en vol de l’avion de mon René PETIBON le Voyageur RP 40 qu’il avait construit lui-même, et qu’il n’a pu commercialiser faute de “sponsers”, tout comme Claude Piel constructeur de l’Emeraude j’ai connu également Chevalier d’Orgeix de la patrouille de St-Yian, toutes les figures d’acrobatie à bord des Stampes, certains doivent se souvenir de Léo Valentin dit “l’homme oiseau”, avec qui j’ai également volé sur le stampe, c’était aussi l’époque des Pipers cub, et Cessna tout cela évoque ma jeunesse, aussi, si des personnes ayant connu cette époque veulent me contacter, ils peuvent le faire sur mon mail, merci à eux.
PETIBON Annick a commenté :
16 mars 2019 - 17 h 11 min
Je suis surprise de n’avoir reçu aucune réponse à mon mail de décembre 2015,il y avait beaucoup de gens qui ont connu hrissa, il y a son fils, si des personnes se souviennent d’elle, c’est bien, c’était une grande professionnelle, et son époux Jacques formait de jeunes pilotes sur des piper cub?
Moreaux claude a commenté :
20 janvier 2022 - 10 h 45 min
Bonjour,
En 1963 j’étais jeune pilote planeur et avion de tourisme à l’Aéro club de l’Hérault . Nous pratiquions le vol sans moteur au pic St loup ., et après avoir fait l’acquisition d’un “Bigave”nous décidions une expédition aéronautique vers Issoire pour récupérer notre premier ” métal et toile”!L’expedition se composait de deux avions : un ambassadeur avec 2 pilotes et les parachutes du bigave pour le vol retour; le deuxième avion étaient un stamp SV4 remorqueur.
La météo étant “moyenne” le stamp non équipé de radio décida de passer sous la couche nuageuse pour rejoindre Issoire. L’ambassadeur passa au dessus de la couche ” VFR on top” à l’époque.Arrivée à Issoire
la couche nuageuse était soudée et l’ambassadeur ne pouvait descendre; C’est Alors que Hrissa qui était en vol dans le secteur nous proposa par radio un ralliement et un atterrissage à Issoire!!!!malheureusement, pas assez expérimenté en pilotage sans visibilité ( j’avais 16 ans) je quittais la patrouille et rentrais à Montpellier où une “tempête de ciel bleu nous attendait.
Plus tard j’eu l’occasion de voler avec un “Super 4″dans d’autres conditions….avion super/