Publié le 1 mars 2024 à 10h00
Trafic Aéroports de Paris: +1% novembre
Publié le 16 décembre 2013 à 08h30 par François Duclos
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croissance toujours a commenté :
17 décembre 2013 - 9 h 40 min
Pendant plusieurs jours, les habitants d’Île-de-France ont été victimes d’une période de pollution importante aux particules fines, hautement cancérogènes. Une fois de plus les valeurs limites réglementaires ont largement été dépassées et notre santé est en danger.
Pointés du doigt : le transport routier et en particulier les moteurs diesel, le chauffage au bois, les activités industrielles …et l’anticyclone.
Et comme toujours, le plus grand silence sur la contribution polluante du transport aérien, pourtant avérée par Airparif ! Il n’y a pas besoin d’être grand spécialiste pour remarquer deux belles tâches rouges sur les cartes d’Airparif, une sur la zone aéroportuaire de Roissy Charles-de-Gaulle, l’autre sur celle d’Orly.
Les émissions problématiques sont les oxydes d’azote (NOx), les particules fines (PM) et les composés organiques volatils (COV), puisque la similitude du kérosène avec le gazole fait que la pollution des avions est identique à celle des moteurs diesel, mais plus grave, car en échappement libre. Les procédés de réduction de pollution (filtre à particules, pot catalytique…) n’existent pas sur les réacteurs d’avion.
Le trafic aérien national est concentré à 60 % sur l’Île-de-France, région 10 fois plus peuplée que les autres régions. Une évaluation objective et complète de la pollution chimique due au transport aérien et de son impact sanitaire est nécessaire.
L’ADVOCNAR demande aux pouvoirs publics la prise des décisions qui s’imposent, à commencer par une mesure de bon sens : la réduction du trafic aérien en cas de pic de pollution, qui est prévue par l’article 181 de la loi Grenelle II du 12 juillet 2010, mais n’a jamais été appliquée.
Des mesures de fond doivent également s’appliquer :
Plafonnement du trafic aérien en Île-de-France
Trajectoires épargnant les zones densément peuplées
Les pouvoirs publics doivent prendre leurs responsabilités face aux lobbies aériens pour protéger la santé des populations.