La compagnie aérienne low cost Ryanair a annoncé pour l’été prochain six nouvelles liaisons à Manchester, dont deux à destination de Carcassonne et de Limoges. La spécialiste irlandaise du vol pas cher proposera l’été prochain un programme de vol en augmentation de 25% à l’aéroport de Manchester, avec à partir du 1er avril 2016 deux vols par semaine à destination de Carcassonne-Sud de France. Les départs sont programmés lundi et vendredi à 12h35 (arrivée 15h40), les vols retour quittant l’Aude à 16h05 (arrivée 17h10). Ryanair aura cessé deux jours plus tôt sa liaison au départ de Liverpool ; elle dessert également Salvaza au départ de Londres-Stansted, Glasgow, East Midlands, Dublin, Cork, Charleroi, Eindhoven et Porto. La low cost lancera d’autre part le 3 avril trois rotations hebdomadaires entre Manchester et Limoges : décollages prévus mardi, jeudi et dimanche à 13h15 (arrivée 16h00) et retour du Limousin à 16h25 (arrivée 17h10). Ryanair se pose déjà dans l’aéroport Bellegarde depuis Londres-Stansted, Liverpool, Bristol, East Midlands et Leeds-Bradford. Ces deux liaisons sans concurrence sont pour l’instant proposées à la réservation jusqu’à la fin octobre. Ryanair proposera en outre l’été prochain à Manchester de nouvelles routes vers Bratislava (3 vols par semaine), Brême (2 vols par semaine), Brindisi (2 vols par semaine), sans concurrence dans les trois cas, et vers Malte (3 vols par semaine face à Air Malta, easyJet, Jet2, Thomas Cook Airlines et Thomson Airways). Dix autres destinations bénéficieront de fréquences supplémentaires : Alicante (qui passera à 2 vols par jour), Barcelone (2 vols par jour), Dublin (6 vols par jour), Faro (2 vols par jour), Ibiza (1 vols par jour), Madrid (1 vols par jour), Milan/Bergame (9 vols par semaine), Rome (9 par semaine), Valence (3 par semaine) et Varsovie (3 par semaine). Au total, Ryanair proposera 41 routes (dont Béziers et Paris-Beauvais) à Manchester, où un huitième Boeing 737-800 sera basé, et 250 vols par semaine - en augmentation de 25% par rapport à l’été qui vient de s’achever. De quoi transporter 3,8 millions de passagers par an, une offre en hausse de 500 000 sièges.