La troisième phase de recherche des boîtes noires de l’avion d’Air France, vol AF447, disparu en mer en juin dernier, va débuter aujourd’hui jeudi 25 mars. Ce coup d’envoi sera donné aujourd’hui depuis le port de Recife, sur la côte brésilienne. L’objectif est de récupérer les boîtes noires afin de déterminer plus précisément les causes de l’accident. Leur analyse, si on les retrouve, permettra de dégager les parts de responsabilité d’Air France et des sondes Pitot. Deux bateaux attendent le démarrage des recherches danbs le port de Recife : l'Anne Candies, en provenance des Etats-Unis et le norvégien Seabed Worker. Ils sont équipés de quatre sonars et trois robots. Les recherches vont se restreindre à une zone de 2000 km2 de l’Océan atlantique. Cette zone correspond à l’endroit où l’Airbus A330 d’Air France a disparu le 1er juin 2009 avec à son bord 228 passagers, ne laissant aucun survivant. L’appareil rentrait alors dans une zone orageuse avec de fortes perturbations. Cette zone où se rencontrent des masses d’air des hémisphères nord et sud est nommée habituellement par les marins de « pot au noir ». Ce coup d’envoi sera donné aujourd’hui depuis le port de Recife, sur la côte brésilienne. L’objectif est de récupérer les boîtes noires afin de déterminer plus précisément les causes de l’accident. Leur analyse, si on les retrouve, permettra de dégager les parts de responsabilité d’Air France et des sondes Pitot. Deux bateaux attendent le démarrage des recherches danbs le port de Recife : l'Anne Candies, en provenance des Etats-Unis et le norvégien Seabed Worker. Ils sont équipés de quatre sonars et trois robots. Les recherches vont se restreindre à une zone de 2000 km2 de l’Océan atlantique. Cette zone correspond à l’endroit où l’Airbus A330 d’Air France a disparu le 1er juin 2009 avec à son bord 228 passagers, ne laissant aucun survivant. L’appareil rentrait alors dans une zone orageuse avec de fortes perturbations. Cette zone où se rencontrent des masses d’air des hémisphères nord et sud est nommée habituellement par les marins de « pot au noir ». Elle est devenue trop tristement célèbre pour son grand nombre de disparitions d’avions. A ce jour, les enquêteurs du BEA (Bureau d’enquêtes et analyses) chargés d’enquêter sur le crash du vol AF447 ont besoin d’éléments complémentaires pour affiner leurs conclusions. Ils ont déjà à maintes reprises assuré que les sondes Pitot de mesure de vitesse étaient certes défaillantes sur l'appareil accidenté, mais qu'elles ne permettaient pas à elles seules d'expliquer l'accident.