Publié le 5 février 2025 à 12h00
Air France Mali en grève : Dakar ou Bamako, même traitement
Publié le 14 août 2010 à 13h42 par Joël Ricci

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Voyage entre Cieux et Enfers a commenté :
13 juin 2016 - 11 h 16 min
Le soleil de Tombouctou ( Partie I : Fatalité)
“Le soleil se lève alors sur cette terre rougeâtre et désolée,
Où pauvres hères et drôles languissent dans la pulvérulence,
La vie s’est éteinte à tout jamais dans leur regard oppressé,
Comme elle s’est éteinte sur ces dépouilles battues à outrance,
Le soleil éclaire ces faces où subsiste une étoile d’espérance,
Sa lueur s’attarde sur le visage d’un vieillard débonnaire,
Embrassant ses oripeaux loqueteux qui respirent la misère,
Il lui manque cinq doigts, c’est eux, eux! Dans leur violence.
A quelque encablure de là, sur un étroit lopin desséché,
Un enfant enturbanné et moribond engloutit la terre,
Sa mère le fixe d’un œil vitreux, bras croisés sur sa nudité.
Elle ne marque aucune surprise, les pieds dans la poussière.
Tous sont dans l’expectative d’une liberté volée,
Nul sourire n’illumine le masque terne de leur visage,
Les bourreaux, non loin, ne cessent jamais de les surveiller,
Tout de noir vêtus et leurs armes pointées, écumants de rage.
Le soleil est la seule joie et la seule distraction de ces opprimés,
Le soleil est leur espoir de vivre, il les accompagne chaque jour.
Chaque jour, il les baigne de sa flamboyance telle l’Amour,
Chaque jour, il les quitte pour les laisser à la nuit et à la cruauté.”
‘Voyage entre Cieux et Enfers’; tous droits réservés.