Publié le 1 décembre 2024 à 10h00
Camair-co, déficitaire pour sa première année
Publié le 9 avril 2012 à 16h00 par Alain Nguyen
Vous avez apprécié l’article ?
Soutenez-nous, faites un don !
Commentaire(s)
Faire un don
Appel aux lecteurs !
Soutenez Air Journal participez à son développement !
Derniers commentaires
FL360 a commenté l'article :
Air France présente ses trousses de confortFL360 a commenté l'article :
La compagnie aérienne ukrainienne SkyUp Airlines se redéploie en EuropeFL360 a commenté l'article :
Groupe ADP : son PDG Augustin de Romanet prêt à rester en poste au-delà du 31 décembreLire aussi
L’ex-directeur de Camair condamnée à 25 ans de prison
Camair-Co ajoute Kinshasa et Lagos
Camair-co inaugure le Yaoundé – Lyon - Douala
Abonnement
Publicité
masquée
Nos abonnés bénéficient d'une navigation fluide sans bandeaux publicitaires pour une meilleure lecture de nos contenus.
Pseudonyme
réservé
Votre pseudonyme est validé à partir de votre adresse mail, empêchant qu'un autre lecteur publie un commentaire à votre place.
Commentaire
instantané
Votre commentaire est publié instantanément. Les commentaires des non-abonnés ne sont publiés qu'après modération par notre équipe.
Articles les plus
consultés du mois
Publié le 1 décembre 2024 à 12h00 par Thierry Blancmont
Publié le 2 décembre 2024 à 13h00 par Thierry Blancmont
Publié le 1 décembre 2024 à 13h00 par Thierry Blancmont
Publié le 2 décembre 2024 à 11h00 par Air-Journal
François COENEN a commenté :
9 avril 2012 - 17 h 20 min
voilà une analyse pour le moins non professionnelle.Certe, la Camair-co accuse les résultats cités dans l’article, MAIS pourquoi ne pas mentionner que le plan d’affaire prévoyait ce résultat et prévoyait un résultat positif à partir de 2014 seulement. Peut-on considérer que 70% sur les vols régionaux est un mauvais résultat pour une première année?Non. Le bilan publié par la direction après un an est conforme aux prévisions et l’attitude “guerrière ” d’Air france sur les destination où Camair-co est en concurrence est plutôt un signe que la jeune compagnie est sur la bonne voie.
Perig Van Gelder a commenté :
9 avril 2012 - 19 h 24 min
Mais depuis quand une compagnie est bénéficiaire depuis la 1ère année??? Ou bien, pouvez-nous nous citer une compagnie bénéficiaire depuis la 1ère année?
Pouvez-vous répondre à cette question Mme Blanco???
delthier a commenté :
9 avril 2012 - 20 h 37 min
Je pense que la difficulté rencontrée sur l’axe DLA/CDG ou NSI/CDG est du au fait que le nom de cette compagnie est trop proche de la défunte Cameroon Airlines dont l’image est ce qui ne faut pas faire pour bien gérer une compagnie!
Il faut à la Camair-Co convaincre la passager partant d’Europepar un bon respect des horaires, des prix intéressants et surtout signer des partenariats pour drainer des passagers à CDG pouir ce rendre au Cameroun! Partenariat avec l’alliance OneWorld par exemple et TGV air!
Albertine Metifiot a commenté :
10 avril 2012 - 11 h 23 min
Certes, Camair-Co ne devait pas faire de bénéfices la première année, mais le déficit d’exploitation a bien été démultiplié par l’incurie et l’imcompétence du Directeur Général et du Directeur Financier, qui n’écoutaient personne et croyaient avoir la science infuse. Pour avoir des remplissages corrects avec le programme de vol tel qu’il avait été établi, il aurait fallu que Camair-Co s’octroie d’emblée plus de 50% de part de marché sur le Cameroun-Europe, cela avec une mise en vente tardive dans les systèmes de réservation, sans programme de fidélisation et sans accord interline pour s’assurer une alimentation depuis la province ou depuis les métropoles européennes et tous les vols faisant escale à Yaoundé. Avec en plus les 6 premiers mois d’exploitation extrêmement difficiles marqués par de nombreuses irrégularités. Un peu plus de retenue, avec un démarrage progressif à 3 vols/semaine, un vol sur 2 seulement faisant escale à Yaoundé aurait permis de limiter la casse. Cela a été proposé mais jamais accepté. Le résultat est celui que nous connaissons et les responsables doivent en être comptables.
delthier a commenté :
11 avril 2012 - 0 h 44 min
Je pense que vous avez vu juste! Certes, une compagnie n’est quasiment jamais bénéficiaire les 02 à 03 premières années d’exploitations mais la Camair-Co a vu trop grand en mettant 05 vols hebdomadaires sur CDG avec escale obligatoire à Yaoundé dans les deux sens alors que le gros des passagers s’arrête à Douala (à moins que cette compagnie comptait sur les hauts fonctionnaires de Yaoundé qui ne payaient pas ou difficilement leur billets avec Cameroon Airlines)! Oui, 03 vols par semaine sur cette axe auraient suffi avec un faisait direct sur et vers Yaoundé! A cela il aurait fallu, signer des accords avec la SNCF (TGV Air) et autres compagnies (British Airways, Easyjets “CDG/Nice/CDG” CDG/GVA/CDG”…, Cathay Pacific, American Airlines, etc.) pour grandement améliorer le taux de remplissage et ouvrir les passagers de la Camair-Co au monde et non seulement à Paris (et non pas la France au sens large)!!! Aller courage à la Camair-Co ayez de bonne idée, à quoi sont gracieusement payer les dirigeant si ce n’est d’avoir des idées???
KIBANGOU a commenté :
10 avril 2012 - 11 h 58 min
Je n’ai pas pris connaissance du plan d’entreprise de Camair-Co mais je suis tout à fait d’accord pour dire que les deux premières années d’activité d’une compagnie aérienne sont “normalement” déficitaires. Les deux autres années suivantes visent à parvenir à l’équilibre des comptes. Attendons donc de voir jusqu’à la cinquième année qui sera décisive et ne jetons pas trop vite le bébé avec l’eau du bain. Décisive dans le sens où nous saurons si la compagnie décidera de continuer ses activités, ou si elle décidera d’arrêter en fonction de ses résultats.