Publié le 1 décembre 2024 à 10h00
Crash de Flydubai: les boîtes noires examinées
Publié le 21 mars 2016 à 07h30 par François Duclos
Vous avez apprécié l’article ?
Soutenez-nous, faites un don !
Commentaire(s)
Faire un don
Appel aux lecteurs !
Soutenez Air Journal participez à son développement !
Derniers commentaires
Le toulousain a commenté l'article :
Boeing investit un milliard de dollars dans son site d’assemblage du 787 Dreamliner787 a commenté l'article :
Boeing investit un milliard de dollars dans son site d’assemblage du 787 DreamlinerDakota a commenté l'article :
Air France présente ses trousses de confortRKDC10 a commenté l'article :
Corsair et l’ESTACA : des ingénieurs prêts à répondre aux défis aéronautiques de demainLire aussi
Dubaï : Emirates et flydubai font le bilan de sept ans de...
Tensions au Proche-Orient : flydubai et Etihad desservent...
Flydubai fait son show au salon aéronautique international...
Abonnement
Publicité
masquée
Nos abonnés bénéficient d'une navigation fluide sans bandeaux publicitaires pour une meilleure lecture de nos contenus.
Pseudonyme
réservé
Votre pseudonyme est validé à partir de votre adresse mail, empêchant qu'un autre lecteur publie un commentaire à votre place.
Commentaire
instantané
Votre commentaire est publié instantanément. Les commentaires des non-abonnés ne sont publiés qu'après modération par notre équipe.
Articles les plus
consultés du mois
Publié le 1 décembre 2024 à 12h00 par Thierry Blancmont
Publié le 2 décembre 2024 à 13h00 par Thierry Blancmont
Publié le 1 décembre 2024 à 13h00 par Thierry Blancmont
Publié le 2 décembre 2024 à 11h00 par Air-Journal
Raton-laveur a commenté :
21 mars 2016 - 8 h 49 min
Les experts de BFM tv sont sur la piste. !!!
Vincent a commenté :
21 mars 2016 - 9 h 01 min
2 points intriguent :
1. L’appareil a attendu très longtemps (2 h 20) avant de faire une seconde tentative d’approche. Si la météo était à ce point catastrophique, pourquoi ne s’être pas dérouté aussitôt, d’autant que le pilote chypriote (38 ans, 5 900 h) et le copilote espagnol (37 ans) ne semblaient pas être des débutants.
2. Juste avant le crash, on observe une reprise de vitesse et d’altitude, laissant supposer une remise de gaz. Décrochage, cisaillement ?
TFFR a commenté :
21 mars 2016 - 15 h 21 min
Concernant le second point, il y a bien une remise de gaz. Ou du moins elle fut annoncée calmement par l’OPL quelques secondes avant l’impact.
Pour le premier point ce qui tout autant intrigant est que le zinc aurait quitté Dubaï gorgé de carburant avec de quoi tenir 8H30 en l’air, pour un vol d’un peu moins de 4H. Meme avec réserve finale, c’est une sacré quantité pour une telle liaison. Ca laisse entrevoir pourquoi ils ont pu rester si longtemps en attente mais pas le choix de se maintenir au-dessus de Rostov quand les autres vols se déroutaient.
jc. Heritier a commenté :
21 mars 2016 - 16 h 45 min
Pour le point 2, la réponse est simple: le carburant est bien moins cher à Dubai, et il est par conséquent économiquement intéressant (quoique pas écologique!) de faire un emport maximum compatible avec la rotation. Le surcroît de conso est évidemment pris en compte dans le calcul. Toutes les compagnies le font.
De ce fait, la consigne d’attendre de meilleures conditions a pu être donnée à l’équipage par la compagnie.
jc. Heritier a commenté :
21 mars 2016 - 16 h 50 min
ps. correction: pour le point 1 évidemment (raisons de l’emport et de l’attente)
fred06 a commenté :
21 mars 2016 - 9 h 31 min
On peut penser à un givrage, affectant brutalement la finesse menant au décrochage, c’était la maladie récurente des ATR durant les premières années..
Shôgun a commenté :
21 mars 2016 - 15 h 29 min
Sauf que la voilure d’un 737 n’a pas grand chose en commun avec celle d’un ATR. Décidément, vos réactions ont toujours un problème de pertinence…
vonfrischthoffen a commenté :
21 mars 2016 - 12 h 35 min
On sera certainement surpris du résultat des enregistreurs . supputer quoi que ce soit maintenant n’est que réflexion . Dans l’immédiat, ce dramatique accident doit nous rappeler l’extrême prudence et attention en conditions MTO marginales sans sous-entendre qu’ils ne furent pas.
A noter que le nombre d’heures de vol ne veut rien dire sauf témoigner d’une certaine expérience, or ici, rien ne précise que c’est sur cet avion . Cette notion est très relative . ( en ref. aux pilotes expérimentés de l’A320 du mont st Odile, expérimentés oui, mais pas sur ce type; tout deux n’avaient que qques centaines d’hdv sur 320 ) .
En attendant, Condoléances sincères à toutes les familles affectées .
Vincent a commenté :
21 mars 2016 - 16 h 29 min
Il est vrai qu’il faut rester extrêmement prudent, d’autant qu’un crash aérien est rarement le résultat d’une seule seule erreur, mais une succession de facteurs s’enchaînant jusqu’au drame. Néanmoins, il est important d’insister sur l’expérience des pilotes, que la seule météo n’a pas pu perturber : nous ne sommes pas en présence de “pilotes” n’ayant que quelques centaines d’heures de simulateur pour toute expérience, comme cela se rencontre trop souvent à AIR FRANCE sur AIRBUS (confer l’incident grave du 3 avril 2012 Paris – Tel Aviv, dont le pilote en fonction n’avait que 500 heures de vol, dont l’essentiel sur simulateur ! ).
L’on ne peut comparer non plus avec le Mont Saint Odile, la philosophie de pilotage d’un 737-800 n’ayant rien à voir avec celui d’un A320. Par ailleurs, la responsabilité de ce crash fut largement partagée avec le contrôle militaire de Strasbourg et l’ergonomie problématique de l’avionique, immédiatement corrigée par AIRBUS.
Shôgun a commenté :
21 mars 2016 - 15 h 50 min
Ce qui m’intrigue, c’est que les images de la vidéo diffusée avec l’article précédent sur le sujet ne correspondent pas du tout à la description de l’accident faite par le ministère russe des situations d’urgence… Ce dernier parle d’une aile qui aurait frôlé la piste, provoquant la désagrégation de l’avion. Or, ce qu’on voit sur la vidéo, c’est un objet lumineux chutant à grande vitesse avec un angle de descente de plus de 45 degrés, et explosant immédiatement à l’impact. Êtes vous sûr qu’il s’agisse du même évènement ?
Quoi qu’il en soit, l’insistance des pilotes à vouloir absolument se poser sur cette piste dans des conditions météorologiques suffisamment hostiles pour avoir fait avorter la première tentative deux heures plus tôt et avoir incité d’autres équipages à se dérouter sur un autre aéroport pose problème…
Vincent a commenté :
21 mars 2016 - 16 h 42 min
De ce que j’observe, mais l’oeil peut être trompé, surtout sur une vidéo d’aussi mauvaise qualité, c’est en effet une chute très rapide, ce que confirme d’ailleurs l’état de l’épave.
Evoquer une aile frôlant ou touchant la piste ne pourrait provenir que d’un autre témoignage visuel, voire de l’exploitation du FDR, qui n’avait pas été encore exploité à l’heure où s’époumonait le ministère russe. Mais il est courant (confer le crash de GERMANWINGS) que les autorités parlent à tort et à travers sans rien savoir, en l’occurrence le PDG de la compagnie jurant que ses 2 pilotes étaient en parfaite condition physique et notre inénarrable président de la République qui prétendait avoir en main une boîte noire qui ne sera retrouvée que quelques jours plus tard.
vonfritschthoffen a commenté :
21 mars 2016 - 16 h 06 min
ceux qui ont fait le choix de dérouter ne risquent pas de culpabiliser, et les pax doivent être contents .