SWISS (Swiss International Air Lines) a transporté 14 293 356 passagers au cours des neuf premiers mois de l’année, chiffre en hausse de 4.4 % en comparaison annuelle.
Le nombre de vols effectués a progressé de 5.4 % à 114 968 vols sur la même période. Au cours des trois premiers trimestres de l’année 2019, les capacités (exprimées en sièges-kilomètres offerts – SKO), ont progressé de 1.9 % sur l’ensemble du réseau et le trafic (exprimé en passagers-kilomètres transportés – PKT), de 2.2 %. Le coefficient d’occupation des sièges (COS), en hausse de 0.2 point de pourcentage en comparaison annuelle, a atteint 84.2 % en moyenne pour la période de janvier à septembre 2019.
En septembre 2019, la compagnie aérienne suisse, filiale du groupe allemand Lufthansa, a transporté 1 724 647 passagers, chiffre en hausse de 6.4 % par rapport à septembre 2018. Le nombre de vols effectués a simultanément progressé de 6.2 % à 13 404 vols. Pour une offre (SKO) en hausse de 2.4 % par rapport à septembre 2018, le trafic (PKT) a progressé de 2.1 %. En revanche, le coefficient d’occupation des sièges (COS) a légèrement baissé de 0.3 point pour s’établir à 86.2 % en moyenne.
Private equity a commenté :
13 octobre 2019 - 11 h 16 min
Lufthansa, propriétaire à 100% de Swiss a de quoi se frotter les mains . Rachetée pour le prix d’un Airbus 320 , la compagnie ne s’est jamais aussi bien portée .
Honte au politiciens suisses qui ont bradé la compagnie nationale à la première difficulté. C’est toute la différence avec les grandes démocraties . Jamais la France n’a lâché Air France . Elle l’a même soutenu financièrement sur la quasi totalité de son existence.
ugom13 a commenté :
13 octobre 2019 - 12 h 21 min
PRIVATE EQUITY Peut-être que Lufthansa a sa part de responsabilité dans ce succès ? (Je ne sais pas c’est juste une hypothèse)
Gaston.CH a commenté :
13 octobre 2019 - 12 h 15 min
Les politiciens Suisses ont fait les erreurs des politiciens français d’aujourd’hui. Niveau hypocrisie, il n’y a pas mieux. A votre place j’éviterais de donner des leçons sur les soit disant « grandes démocraties ». A titre de comparaison, je préfère de loin avoir un service performant au quotidien dans les TP (gestion publique et privée à la fois hein et ça fonctionne normalement) plutôt qu’une cie aérienne qui marche on va dire assez bien sur un marché de niche mais qui cache derrière elle un gouffre sur les autres modes de transports…
Puis en parlant de brader, la France utilise ce modèle à grande échelle depuis 1981, et ceux dans de nombreux secteurs et l’aérien et doucement mais sûrement en train d’en subir les frais.