Volotea a annoncé une nouvelle route, sans concurrence, vers les pays nordiques depuis la plateforme de Lyon Saint-Exupéry, à destination de Billund au Danemark, dès janvier prochain.
À partir du 10 janvier prochain, les Lyonnais pourront s’envoler chaque samedi pour découvrir Billund. Située au centre du Danemark, Billund est connue pour être le lieu d’invention des briques de Lego, mises à l’honneur dans le parc à thème Legoland. Cette destination danoise est également idéale pour visiter les environs, comme Jelling, l’un des sites historiques les plus importants du pays, le fjord de Vejle, ou encore Naturpark Lillebælt, le plus grand parc naturel marin du Danemark.
Avec cette nouvelle destination, Volotea ajoute un 11ème pays à son réseau depuis Lyon, confirmant son rôle clé dans la connectivité du territoire vers les plus belles villes européennes. La compagnie aérienne proposera plus de 3 500 sièges sur cette liaison qui est d’ores et déjà disponible à la vente sur l’ensemble des canaux de distribution, et sur le site de Volotea.
Cette destination vient enrichir l’offre diversifiée de Volotea qui connecte actuellement Lyon à 34 destinations réparties dans 11 pays (Algérie, Allemagne, Croatie, Danemark, Espagne, France, Grèce, Italie, Maroc, Portugal et République Tchèque).
« Nous sommes très heureux d’annoncer desservir le Danemark avec cette nouvelle liaison aérienne au départ de Lyon vers Billund. Nous avons à cœur de proposer des destinations variées aux habitants de la ville des Lumières, et cette ville danoise leur offre la possibilité de découvrir les paysages nordiques tout en profitant d’un parc d’attractions légendaire pour petits et grands ! Cette nouvelle offre illustre l’ancrage de Volotea depuis notre base lyonnaise et notre ambition de continuer à développer des liaisons dans les plus belles villes européennes », précise Gilles Gosselin, Directeur France de Volotea.
« Avec cette nouvelle ligne ouverte vers le Danemark portant à 34 le nombre de destinations desservies en direct par la compagnie, Volotea confirme son rôle clé sur l’aéroport Lyon-Saint Exupéry. Les équipes d’Aéroports de Lyon sont très heureuses de pouvoir s’appuyer sur ce partenaire majeur du réseau VINCI Airports pour continuer à développer ensemble la connectivité du territoire et l’attractivité de la Région Auvergne-Rhône-Alpes », souligne Pierre Grosmaire, Directeur Marketing et Commercial d’Aéroports de Lyon.

Lys a commenté :
18 juillet 2025 - 18 h 39 min
Bonne nouvelle… mais pour combien de temps ? Volotea avait ouvert il y a peu de temps Lyon-Oslo, en concurrence avec Norwegian (c’est cette compagnie, qui m’a paru plus fiable, que j’ai empruntée récemment pour passer quelques jours dans la capitale Norvégienne).
L’article ne cite plus la Norvège dans la liste des pays desservis par Volotea. Il semble que cette compagnie, même si sa volatilité n’égale pas celle de Ryanair qui abandonne très vite un tarmac aux résultats insuffisants, ne soit pas la spécialiste du long, ni même du moyen terme.
Mais c’est sans doute ainsi qu’il faut voir aujourd’hui la construction, puis l’évolution d’un réseau aérien au départ d’une ville : les lignes majeures, rentables, à fort trafic, qui durent des décennies, les secondaires, bien pourvues en voyageurs, plus fluctuantes mais résilientes envers et contre tout, et le cortège des villes qui apparaissent puis disparaissent au gré des chiffres de trafic, de la santé des compagnies, du nombre d’avions disponibles… et aussi, peut-être, des sommes que les aéroports sont prêts à dépenser pour les faire venir…
Greg6 a commenté :
20 juillet 2025 - 12 h 30 min
J’avais déjà exprimé cette idée par le passé. Mais pour éviter “le cortège de villes qui apparaissent et disparaissent au gré des chiffres de trafic”, une compagnies low-cost “régionale”, façon Breeze aux Usa, aurait peut-être du sens.
Avec des appareils plus faciles à remplir, et très optimisés et efficient pour leur catégorie (ce que n’étaient pas vraiment les a318/a319, ou b737-600/700, car dérivés d’appareils plus gros).
Typiquement des a220 donc, ou des E2 éventuellement en fonction du modèle de liaisons ou de “villes cibles” choisies.
(Pas totalement certain non plus que le marché européen s’y prête)