Publié le 3 avril 2024 à 07h00
La Chine lance une compagnie au Cambodge
Publié le 23 août 2014 à 15h00 par Joël Ricci
Vous avez apprécié l’article ?
Soutenez-nous, faites un don !
Commentaire(s)
Faire un don
Appel aux lecteurs !
Soutenez Air Journal participez à son développement !
Derniers commentaires
Le toulousain a commenté l'article :
Dubaï annonce la construction du plus grand terminal aéroportuaire du monde pour 34 milliards de dollarsLe toulousain a commenté l'article :
Air China passe une commande de 100 avions COMAC C919Le toulousain a commenté l'article :
Air China passe une commande de 100 avions COMAC C919Le toulousain a commenté l'article :
Air China passe une commande de 100 avions COMAC C919Lire aussi
Air China passe une commande de 100 avions COMAC C919
Lufthansa évalue de nouvelles routes vers la Chine
Sichuan Airlines à son tour de retour à Auckland depuis...
Abonnement
Publicité
masquée
Nos abonnés bénéficient d'une navigation fluide sans bandeaux publicitaires pour une meilleure lecture de nos contenus.
Pseudonyme
réservé
Votre pseudonyme est validé à partir de votre adresse mail, empêchant qu'un autre lecteur publie un commentaire à votre place.
Commentaire
instantané
Votre commentaire est publié instantanément. Les commentaires des non-abonnés ne sont publiés qu'après modération par notre équipe.
Articles les plus
consultés du mois
Publié le 2 avril 2024 à 13h00 par Joël Ricci
Publié le 5 avril 2024 à 08h00 par Joël Ricci
Publié le 1 avril 2024 à 10h00 par Joël Ricci
Publié le 10 avril 2024 à 18h00 par Olivia
Dakota a commenté :
23 août 2014 - 18 h 20 min
Mine de rien, c’est un événement. Une nouvelle compagnie autorisée à exercer au Cambodge : chinoise avec des avions chinois (petits frères de nos ATR ?).
Pierreantoine a commenté :
23 août 2014 - 18 h 36 min
De fil en aiguille.. La Chine tisse sa toile. J’ignore les raisons de la disparition d’AirCambodge, il est certain que cette nouvelle compagnie, forte d’ un support et d’une assistance sévère tiendra mieux le coup.
lysflyer a commenté :
24 août 2014 - 6 h 15 min
Petit frère de l’Antonov 26, oui! Petit frère de l’ATR 42…non!
Jean-Paul Vincent a commenté :
24 août 2014 - 8 h 12 min
La Chine et le Viet Nam ont depuis longtemps les pieds fermement planté dans l’économie Cambodgienne. Économiquement, la Chine a certainement plus de poids que le Viet Nam. Et politiquement, moins de détracteurs. S’il est vrai que les aéroports de Phnom Penh et de Siem Reap pourraient être mieux desservis en vols « directs » allant au-delà de l’Asie du Sud-Est et de l’Est – le triste abandon d’Air France étant encore frais dans les mémoires, suivi, heureusement, par la relève de Qatar Airways –, les vols régionaux sont quant à eux légion – Korean, Asiana, Vietnam, Thai, Bangkok, Eva, Malaysian, Silkair/Singapore, trois chinoises, Eva, Jetstar, Air Asia, Tiger, etc. –, et les vols internes sont plus qu’adéquatement assurés par la petite Angkor Air, malgré un service clientèle un peu basique à certains égards. On pourrait donc se demander pourquoi cette couche supplémentaire… Surtout quand on voit la taille et l’enclavement de l’aéroport, par ailleurs tout à fait sympathique et efficace, de Phnom Penh. Arguments « politico-financiers » à la chinoise ? Prestige court-termiste du pouvoir en place, à l’image des méga-projets immobiliers qui hérissent la capitale ? Difficile à comprendre dans un pays si pauvre, à l’infrastructure routière si désastreuse. Et le développement économique « inclusif » dans tout ça ?
Jean-Paul Vincent a commenté :
24 août 2014 - 8 h 16 min
* … les pieds fermement plantés…
Jean-Paul Vincent a commenté :
24 août 2014 - 8 h 18 min
* … dans l’économie cambodgienne …
mani a commenté :
24 août 2014 - 18 h 10 min
Pourquoi le type d’avion chinois MA60 n’est pas certifié par la FAA ou EASA pour effectuer des vols internationaux ce qui lui cause des soucis de vente en Afrique suite aux audits très sévères de sécurité de l’aviation de lOACI?
Pierreantoine a commenté :
25 août 2014 - 19 h 16 min
Je ne px juger de la certification ds l’aviation, mais ai gardé en mémoire qques sévères batailles de certification ds l’industrie en Afrique. J’en avais conclu que la non certification n’avait rien à voir avec le produit, mais des objectifs que je qualifierais de ” différents”.