Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
Ryanair: commander 400 avions, mais pas avant 2015
Publié le 20 avril 2012 à 12h00 par François Duclos
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David a commenté :
20 avril 2012 - 13 h 55 min
entre 200 et 400 avions… J’aime. Je gagne entre 0 et 100.000 euros par mois. Pff, fumisterie, coup de pub, Ryanair comme toujours.
Baisse de trafic consécutive contrairement a EZ, nouvelle loi européenne sur le paiement des charges sociales, sont des faits, pas de l’utopie.
A voir donc…
(et oui, Ryanair va acheter chez les chinois, canadiens, français, américains… Enfin juste histoire de faire croire a un puissance d’achat suffisante). Faites voler vos avions russes ou chinois qui n’existent pas encore (ou peu et surement sans historique), formez vos mécanos et pilotes (pas gratuit), cherchez vos pièces détaches qui ne sont pas en stock (vous etes le plus gros et seul client, il n’y a pas de d’excès de stock… Bref. Ryanair ou Flambi au chocolat, je sais ce que je prefere. 😉
delthier a commenté :
20 avril 2012 - 19 h 55 min
Pour information les derniers modèles russes actuelles notamment le dernier Sukhoi Superjet (équipé d’élément technologique occidentale) n’a rien à envier au CRJ, ERJ ou A318 !!! Il y a même un autre qui viendra!!! Les modèles anciens, de l’ère soviétique, ne sont pklus en fabrication depuis bien longtemps!!! Remettez vos connaissances à jour!!!
Michel C a commenté :
20 avril 2012 - 17 h 58 min
Pour commander (pas recevoir) fin 2014, 2015 ou 2016 (il y a les trois dates dans l’article), Ryanair a tout le temps d’affiner ses besoins en avions. D’ici-là, il y aura encore beaucoup de changements en aviation, et pas mal de faillites, fermetures, licenciements et plans de sauvetage – dans les low-cost et peut-être encore davantage dans les high-cost (voir Air France dont le plan d’économie est déjà dépassé avant même d’être divulgué.
Jean-Paul Vincent a commenté :
21 avril 2012 - 7 h 32 min
« High cost » pour désigner les compagnies qui pratiquent un service normal à un prix normal ? Est-ce que « full cost » ne conviendrait pas mieux ?
Michel C a commenté :
21 avril 2012 - 12 h 22 min
Chacun a sa définition – on devrait d’ailleurs écrire “fare” au lieu de cost. On peut classifier en gros : les low-cost authentiques (Ryanair, sûrement, easyJet ça devient moins sûr), les semi low-cost (Germanwings, Vueling, …), et les pas low-cost du tout (les compagnies traditionnelles). Avec un rapport de prix de l’ordre de, respectivement, 1 / 3 / 5 ou 10 voire plus. Quel est le prix “normal” ? Perso, je trouve indécent qu’une compagnie fasse payer 400 euros ce qu’une autre propose à 60 euros.
Morgan a commenté :
21 avril 2012 - 15 h 15 min
Bonjour Michel C, j’aimerai savoir comment vous faites pour amortir l’achat d’un Boeing 737-800 qui coûte la bagatelle de 60 millions de dollars au prix catalogue en vendant des billets à 60€? Ryanair transporte environ 70 millions de passagers en 1 an et elle a 295 B738 en flotte. Si elle vend 70 millions de billet à 1€ elle peut amortir 1 seul des ces appareils, franchement, si vous trouvez un moyen d’amortir l’achat de tous ces avions en vendant des billets si bas, vous pourriez être ministre des finances et nous sortir de la crise!!! Néanmoins, je suis d’accord avec vous sur le fait que certaines compagnies abusent sur leurs tarifs. Bonne journée
Jean-Paul Vincent a commenté :
21 avril 2012 - 16 h 01 min
Oui, je comprends. Surtout si ce genre de différence existe en effet. Malheureusement, je n’ai pas encore eu la chance d’en profiter, sans doute parce que je ne prends jamais la formule basique proposées par les compagnies à bas prix et qu’il faut toujours ajouter des suppléments. Souvent aussi, je me rends compte que s’il y a effectivement une grande différence entre les prix nets des vols, une fois qu’on ajoute les taxes et autres frais, il n’y a plus du tout le même rapport entre le low-cost et le traditionnel. Idem quand il faut changer un nom ou un itinéraire, par exemple. Je me dis aussi que ce qu’on achète, c’est tout un service. Et que les différences entre les niveaux de service ne sont jamais proportionnelle aux différence de coûts, comme par exemple entre la classe économique et la classe affaires sur une compagnie traditionnelle. On paie deux, trois ou quatre fois plus cher, mais pas pour obtenir deux, trois ou quatre fois plus… Je me dis que l’important, c’est d’avoir le choix et de savoir à quoi s’attendre. Et que donc, si je préfère ce qui m’est proposé à 400 euros, tout en sachant que je pourrais faire le même voyage pour 60, ben ça marche, tout le monde est content. Mais bon, ça c’est le point de vue naïf d’un modeste voyageur pour qui les aéroports et les avions sont des endroits privilégiés, à l’abri du temps, où on s’occupe de vous avant de vous rebalancer dans le brouhaha de la vraie vie…