Publié le 1 mai 2024 à 07h00
Crash vol QZ8501 : la météo aurait été un « facteur déclenchant »
Publié le 4 janvier 2015 à 17h30 par Joël Ricci
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Vincent a commenté :
4 janvier 2015 - 17 h 42 min
“Il est vrai que l’annonce d’une explication de crash par une agence météorologique, n’est pas vraiment chose courante …” : c’est le moins que l’on puisse dire !
Que les météorologues indonésiens s’occupent de météorologie et laissent les experts en aéronautique faire leur travail.
A ce stade, qui plus est sans les enregistreurs de vol, il est impossible d’affirmer quoi que ce soit.
Tony de Brest a commenté :
4 janvier 2015 - 20 h 42 min
J’ai trouvé ça sur le site de Boeing
http://www.boeing.com/commercial/aeromagazine/articles/qtr_4_07/article_03_1.html
En périphérie de zones orageuses, des cristaux de glace en forte concentration non détectables par le radar météo de bord peuvent être à l’origine d’une perte de puissance des réacteurs. Ce phénomène concerne plus particulièrement l’Asie du sud-est.
easy sleeping pilot a commenté :
5 janvier 2015 - 1 h 48 min
Intéressant cet article , on notera toutefois néanmoins : “The engines in all events have recovered to normal thrust response quickly. “
Alain45 a commenté :
5 janvier 2015 - 3 h 53 min
Le givrage (si ce fut le cas) peut concerner aussi d’autres parties de l’avion, les ailes, etc….bloquer des commandes ou alourdir un jet.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Vol_90_Air_Florida
ZeRealRantanplan a commenté :
5 janvier 2015 - 7 h 34 min
Juste pour info, le crash d’Air Florida n’est pas du un bloquage des commandes ni particulièrement a l’alourdissement de l’avion.
Ce sont bien les moteurs qui n’ont pas accélérés (pris les tours si vous voulez) et l’equipage qui n’a pas su interrompre le décollage.
Bien évidemment sans vitesse, l’avion allait avoir du mal a décoller puis a monter suffisamment pour éviter le pont puis la la rivière.
Les causes menant a cette situation sont elles dues a une contamination de l’appareil suite a une très grande méconnaissance des dangers de ce genre precipitation au sol, la manière de gérer la situation, l’incapacité de reconnaitre qu’un problème se développait au cours du décollage.