Recrutement des pilotes de ligne
Royal Air Maroc a par ailleurs défini ses nouvelles conditions de recrutement de ses pilotes suite à la fermeture de son école interne de formation des pilotes, conséquence d’un plan de rationalisation interne. Les candidats doivent désormais remplir les conditions suivantes :
a- Nationalité : marocaine
b- Bac : scientifique ;
c- Classes préparatoires filières maths physique (MP) et Physique et Sciences de l’Ingénieur (PSI) ;
d- Etre Admissible au Concours National Commun au Maroc ou être admissible à une école d’ingénieur en France dont le diplôme d’ingénieur d’état est reconnu par l’Etat marocain ou d’être détenteur de diplôme d’ingénieur délivré par l’Etat marocain ou être détenteur de diplôme d’ingénieur délivré par l’Etat français et reconnu par l’état marocain;
e- Avoir suivi avec succès la formation complète (ATPL théorique, CPL/IR, IR/ME, MCC) dans l’une des écoles de pilotage suivantes :
- ENAC : Ecole nationale d’aviation civile (Toulouse-France).
- l’ESMA Aviation Academy - (Montpellier-France).
- OXFORD AIR TRAINING SCHOOL-Oxford au Royaume-Uni.
A380 a commenté :
12 juillet 2015 - 18 h 37 min
Ils devraient aussi appliquer un critère simple pour
leurs PNC : l amabilité !!!
Tamim Al Khaleyli ( MedMan ) a commenté :
12 juillet 2015 - 18 h 42 min
Bravo la RAM, si Air Algérie pouvait en faire autant …
Maintenant reste à refaire la livrée
cirta a commenté :
13 juillet 2015 - 17 h 59 min
Air Algérie est bénéficiaire depuis plusieurs années et son CA augmente d’une moyenne de 10% par an
Vincent a commenté :
17 juillet 2015 - 12 h 55 min
AIR ALGERIE est une société d’Etat aux comptes opaques, Etat lui-même à l’agonie.
Il n’y a que le gouvernement algérien pour relayer ce genre de contre-vérité.
hassan II a commenté :
12 juillet 2015 - 20 h 35 min
Je constate que A380 ( avion commercial est le plus gros du monde ) que lui sort les plus grosses betises du monde. Vous ete vraiment qu’une mauvaise langue !!!!!!!!
camericain a commenté :
13 juillet 2015 - 9 h 35 min
Les conditions de recrutement des pilotes, notamment c et surtout d m’interpellent(le critère B devient redondant et inutile à la lecture du c d’ailleurs ). J’espère qu’ils paient bien leurs pilotes à la RAM car avoir tout ce bagage pour ensuite faire un CPL/ATPL théorique à 100.000€ et commencer avec un salaire pas à la hauteur… Je me demande combien de marocains rempliront ce profil
Vincent a commenté :
17 juillet 2015 - 13 h 01 min
La partie théorique ne coûte rien, c’est la pratique qui est très onéreuse.
Foutage de gueule a commenté :
13 juillet 2015 - 11 h 25 min
Condition:
“a- Nationalité : marocaine”
Condition:
“ENAC : Ecole nationale d’aviation civile (Toulouse-France).”
Ca veut dire quoi ça???
RAM recrute uniquement des pilotes marocains, mais ceux-ci peuvent être formés à l’ENAC? Ca veut dire que les pilotes des la RAM ne peuvent pas être français mais peuvent formés par le contribuable français??? Inadmissible. Faut jouer le jeu des deux côtés !
camericain a commenté :
13 juillet 2015 - 12 h 47 min
Ou ESMA ou Oxford également. À noter que l’ENAC forme aussi (en tous cas formait) des pilotes d’autres nationalités, mais sélectionnés et envoyés par leurs pays respectifs. Et ces pays paient leur formation. Maintenant si un franco-marocain comme il yen a des dizaines de milliers en France réussit à entrer à l’ENAC (15 places l’année si je ne m’abuse), sachant qu’il n’ira certainement pas à Air France, pourquoi pas la RAM.
Foutage de gueule a commenté :
17 juillet 2015 - 12 h 02 min
“pourquoi pas la RAM”. Moi je dis pourquoi l’ENAC tout court.
Pourquoi le contribuable doit assumer l’entretien d’une des plus grosse flotte française pour une compagnie nationale qui ne recrute pas, ou des compagnies étrangère qui refusent les français. Pas fair play de la part de la RAM, pas tres malin de la part des autorités françaises.
Quant à l’ESMA ou Oxford, c’est payant, donc pas de soucis
Vincent a commenté :
17 juillet 2015 - 12 h 58 min
La réponse est simple : la France (et donc les contribuables français) continuent de soutenir financièrement les pays du Maghreb, dont le Maroc, et ce en pure perte, preuve que l’indépendance de ces derniers est très relative.