Publié le 3 octobre 2024 à 19h00
Crash en Colombie : 71 morts, six rescapés
Publié le 30 novembre 2016 à 07h00 par François Duclos
Vous avez apprécié l’article ?
Soutenez-nous, faites un don !
Commentaire(s)
Faire un don
Appel aux lecteurs !
Soutenez Air Journal participez à son développement !
Derniers commentaires
Byzance a commenté l'article :
Italie : deux sous-traitants accusés d’avoir fourni des pièces non conformes pour le Boeing 787 DreamlinerAli Kanzatu a commenté l'article :
Congo Airways : le directeur général suspendu pour soupçon de mauvaise gestionForza a commenté l'article :
Italie : deux sous-traitants accusés d’avoir fourni des pièces non conformes pour le Boeing 787 DreamlinerFL360 a commenté l'article :
Congo Airways : le directeur général suspendu pour soupçon de mauvaise gestionLire aussi
AeroMexico desservira Carthagène en Colombie
Colombie : reprise du trafic aérien après une pénurie de...
Crash ATR 72-500 au Brésil : le BEA français va participer...
Abonnement
Publicité
masquée
Nos abonnés bénéficient d'une navigation fluide sans bandeaux publicitaires pour une meilleure lecture de nos contenus.
Pseudonyme
réservé
Votre pseudonyme est validé à partir de votre adresse mail, empêchant qu'un autre lecteur publie un commentaire à votre place.
Commentaire
instantané
Votre commentaire est publié instantanément. Les commentaires des non-abonnés ne sont publiés qu'après modération par notre équipe.
Articles les plus
consultés du mois
Publié le 4 octobre 2024 à 18h00 par Olivia
Publié le 2 octobre 2024 à 20h00 par Olivia
Publié le 5 octobre 2024 à 20h00 par Olivia
Publié le 6 octobre 2024 à 20h00 par Olivia
Clo2B a commenté :
30 novembre 2016 - 10 h 50 min
Mais pourquoi (d’après ce qui est écrit dans l’article) les pilotes ont ils attendu le dernier moment pour signaler qu’ils étaient à cours de carburant ?
Justin Fair a commenté :
30 novembre 2016 - 12 h 36 min
Les pilotes doivent informer d’une situation de “carburant minimum” dés que l’estimation de carburant restant à l’atterrissage atteint un niveau ne permettant plus d’accepter le moindre retard imprévu. ( A AF, lorsque la quantité prévue est inférieure à la Réserve de Dégagement + Réserve Finale ou 1,5 fois la Réserve Finale, si le dégagement n’est pas nécessaire.). Ce n’est pas une situation d’urgence et ne donne droit à aucune priorité. C’est à priori ce que l’équipage a fait, en s’informant et en refusant l’attente, donc conscient de la situation, mais jusqu’à quel point?
Si la quantité disponible devient telle qu’elle impose une priorité ( inférieure à la Réserve Finale à AF par exemple), l’équipage doit se déclarer en situation de “détresse” (Mayday cause “low fuel”). Il ne l’a pas fait ( témoignage de l’autre appareil en approche), et il ne s’estimait peut-être pas dans cette situation critique ou l’a tue, bien que ce soit un très long vol pour un Avro RJ85…
Un autre problème (électrique?) se serait ajouté? A suivre…
Shôgun a commenté :
30 novembre 2016 - 19 h 05 min
On peut sans doute envisager l’hypothèse d’une panne électrique qui serait la conséquence d’une panne de carburant, non ?
Pierre Lapasset a commenté :
30 novembre 2016 - 11 h 10 min
Surtout pourquoi il n’avait pas prévu assez de carburant ?
Justin Fair a commenté :
30 novembre 2016 - 19 h 08 min
Surtout pourquoi, ils sont arrivés sans réserve de dégagement, ni de réserve finale…
brumos a commenté :
1 décembre 2016 - 8 h 11 min
Il devait être au maxi fuel au départ, cet avion a un range limité. ….
Enrico a commenté :
30 novembre 2016 - 12 h 04 min
Ceux qui ont survécu est il a l’avant ou à l’arrière de l’avion ?
Ça nous donnera une idée sur l’impact !
Shôgun a commenté :
30 novembre 2016 - 19 h 01 min
Sans préjuger des résultats de l’enquête, ce ne serait pas la première fois qu’un aéronef d’une compagnie sud-américaine s’écraserait en phase d’attente d’atterrissage par manque de carburant (cf. le vol Avianca 52). Cela interroge sur la pression économique exercée par certaines compagnies sur leurs équipages, qui poussent ces derniers à mettre en danger leur propre vie et celles de leurs passagers en jouant avec les limites pour économiser quelques litres de carburant. Comment des pilotes professionnels peuvent-ils en arriver à attendre qu’il soit trop tard pour déclarer un “mayday” ?
Il faut vraiment que l’enquête aille jusqu’au bout et que, le cas échéant, des décisions fermes soient prises par les autorités compétentes, au niveau international, pour empêcher la reproduction de drames de cette nature.
Shôgun a commenté :
30 novembre 2016 - 19 h 19 min
Même si cela m’a occasionné, comme à beaucoup d’autres passagers, des désagréments de correspondance, je remercie le commandant de bord du vol AF401 (SCL-CDG) du 14 novembre dernier pour sa sage décision d’effectuer une escale technique de ravitaillement à Nantes, suite une surconsommation de carburant consécutive à l’évitement de zones orageuses au-dessus du Brésil. Un pilote responsable fait passer la sécurité du vol avant toute autre considération.
Rouve a commenté :
30 novembre 2016 - 21 h 31 min
Cet avion ( celui qui s’ est ecrasé) avait amené la sélection foot de argentine pour son match contre le Brésil à belo horizonte je suis arrivé le 08 11 aéroport de belo horizonte cet avion était stationné sur le tarmac de l’aéroport tencredo neves quand je le ai vu j’ai été étonné de l état de vieillesse de cet appareil et surpris que la sélection argentine vienne avec ce coucou disputer ce match de qualification ! Cette info est confirmée par les médias brésiliens
Ralph a commenté :
1 décembre 2016 - 3 h 21 min
faut qu’on m’explique.
La distance franchissable est de 2700km
Le parcours était de 3000km environ d’après le plan de l’article. folie?