Rappelons que toutes ces routes, d’une durée de vol pouvant atteindre 7h40, seront opérées par des 737 MAX 8 basés à Providence et Newburgh, sous licence Norwegian Air International. Les passagers pourront « apprécier le confort d’appareils ultra neufs, configurés en une seule cabine de classe économique, et profiter d’un service de restauration froid ou chaud, payant à la carte, qu’il sera possible d’acheter directement dans l’avion ». La low cost souligne dans un communiqué qu’elle opère déjà des vols low-cost vers huit grandes villes américaines au départ de Londres-Gatwick ; « en développant ces nouvelles routes vers de plus petits aéroports américains, la compagnie offre aux voyageurs d’autres régions anglaises et irlandaises davantage de possibilités de voyage à prix exceptionnels », avec un accès direct aux régions de New York, Boston et de la Nouvelle-Angleterre ; les faibles redevances de ces aéroports permettent une économie significative pour Norwegian, qui peut ainsi proposer des tarifs extrêmement bas afin d’offrir la possibilité au plus grand nombre de personnes de voyager.
Pour le CEO Bjorn Kjos, « une fois de plus Norwegian bouleverse les codes du voyage transatlantique en proposant des tarifs exceptionnels sur des routes jamais desservies auparavant. Il est temps de prendre conscience que les prix des vols transatlantiques sont depuis trop longtemps trop élevés ; ainsi en reliant des villes britanniques et irlandaises à de plus petits aéroports américains, Norwegian peut proposer des tarifs vraiment abordables, qui permettront au maximum de gens de voyager ». Le dirigeant ajoute que les vols long-courriers au départ de Londres vers les principales villes américaines « continueront à se développer ; les nouvelles liaisons sont complémentaires et permettent davantage d’options de voyages à moindre coût vers les Etats-Unis ».
Norwegian est la troisième plus grande compagnie aérienne low-cost en Europe, transportant 30 millions de passagers par an vers plus de 140 destinations. Elue « meilleure compagnie aérienne low-cost long-courrier » depuis deux ans et « meilleure compagnie low-cost européenne » depuis quatre ans par Skytrax, elle est présente en France dans dix aéroports (Paris-CDG et Orly, Ajaccio, Bastia, Bordeaux, Grenoble, Montpellier, Nice, Guadeloupe et Martinique), à partir desquels il est possible de voler vers 31 destinations.
Tyler Hayes a commenté :
24 février 2017 - 7 h 35 min
Quelle horreur …
Je ne pense pas que les majors aient peur de Norwegian pour le coup…
beber a commenté :
24 février 2017 - 9 h 04 min
Au début un certain nombre de personnes se moquaient de Ryanair qui se posait à Beauvais pour Paris, à Gérone pour BCN, etc etc. Maintanant RYR ne fait plus rire personne même si depuis quelques mois elle concentre ses efforts de développement sur les aéroports principaux. Pour revenir à Norwegian si pour les aéroports choisis le temps de marche entre l’entrée de l’aéroport et l’embarquement (contrôles sûreté compris) est beaucoup moins important que sur JFK ou Newark ça peut compenser en partie l’éloignement de l’aéroport. Enfin pour ceux qui ne prennent pas l’avion souvent atterrir sur un aéroport moyen est beaucoup moins stressant que les gros aéroports
Trump a commenté :
24 février 2017 - 7 h 42 min
c est super sérieux , sauf pour nous , si tu habitude a Édimbourg , j ai fais une simulation aller retour en novembre effectivement c est 69e l’aller simple donc 140e l’aller retour , tarif imbattable sauf qu’on rajoute un bagages , un siege , et un menu bah la on est a 380 euro et bien si on rajoute un transfert de france sa monte jusqu’à 500 l’aller retour et les compagnie en france font de bonne promo souvent pour 400 euro pour les us donc si un jour norwegian vien a nice et lance ses vol la je dirais super affaire mais sinon méfiance
beber a commenté :
24 février 2017 - 8 h 59 min
Vous avez en partie raison … pour le moment. Prenons l’exemple du moyen courrier : au début seules les low-cost faisaient payer des suppléments pour bagages, choisir place, etc. … mais maintenant quasiment toutes les compagnies s’y sont mises. D’autre part si le prix est vraiment intéressant faire l’impasse sur le choix du siège et du repas … par contre effectivement quand on fait du long corrier c’est rarement pour quelques jours donc se passer d’un bagage de soute … Dans ce cas il faut faire comme les randonneurs pédestres … optimiser !
czl a commenté :
24 février 2017 - 8 h 11 min
6h dans un 737 lowcost c’est tout simplement insupportable
beber a commenté :
24 février 2017 - 9 h 09 min
Malheureusement c’est l’avenir pour les aéroports pour lesquels la demande existe mais n’est pas suffisante pour remplir un LC. Si cela permet d’avoir des vols directs qui n’existent pas actuellement …
roupettes de lapins a commenté :
24 février 2017 - 10 h 49 min
C’est un autobus et comme d’habitude les pleureuses n’auront pas vue venir le loup!!! Et puis les parts de marché s’effriteront au grand dam des experts….
TFFRYYZ a commenté :
24 février 2017 - 11 h 37 min
6H dans un 737 ou 320, ce la se fait entre les côte est et ouest du Canada et des USA. Tous les vols entre Toronto et Vancouver ou New York et Los Angeles ne se font pas tous en B 777 ou autres gros porteurs.
Compte tenu de la localisation, notamment de l’Irlande et de l’Islande des vols en 737 ne sont pas impossibles. Maintenant, personne n’est jamais content. Les mêmes qui voyagent en économie crient à la bétaillère des 777.
nom a commenté :
24 février 2017 - 12 h 43 min
Quand les tarifs conprendront le bagage en soute je m’y interesserer pour le siège et la bouffe degeu on s’ en fou.En attendant voler sur les grandes compagnies en LC reste plus avantageux sur tous points même avec correspondance.En revanche sur le MC et court c’est top price!!!
ajar a commenté :
24 février 2017 - 15 h 20 min
Cela me rappel mes Paris N’djamena en A319 “corporate” AF épouvantables en plus au prix fort
Corenrin a commenté :
24 février 2017 - 17 h 01 min
Le client prendra se qui l’arrange et quoiqu’en pensent les pseudo experts, le client sait très bien comparer les prix, les eventuelles contraintes et les services, et ce à quoi il est prêt à renoncer ou pas en fonction de ses attentes/ possibilités
Cela marchera et les même qui riaient de ryanair et easyjet il y a 15 ans enchaîneront avec plus ou moins de succès les plans de restructuration à défaut d’anticipation