Six Trippertybox sont ainsi réparties au sein de l’aéroport, accompagnées des emballages numérotés et étiquetés. Le passager qui souhaite récupérer ultérieurement un objet interdit en cabine (liquide de plus de 100ml, objets tranchants, outillage…), le remet à l’agent de sûreté qui le place dans l’emballage numéroté avant de le déposer dans la boîte prévue à cet effet. Cette dernière est ramassée chaque jour ; les objets sont enregistrés, emmenés dans un lieu sécurisé et stockés. Le voyageur se connecte ensuite sur box.tripperty.com et saisit son numéro d’objet (référence figurant sur l’étiquette Tripperty). Il peut ainsi choisir la récupération de son objet au Hall 4 niveau Arrivées (sous 15 jours) ou l’expédition à l’adresse de son choix, selon les consignes de sécurité en vigueur.
Ce service de récupération des objets confisqués est proposé à l’ensemble des voyageurs au départ de l’aéroport Marseille Provence. Le coût est variable en fonction du mode de récupération de l’objet. Publié le 2 décembre 2025 à 09h00
Herve a commenté :
26 août 2017 - 18 h 12 min
N importe quoi !!!
Une fois de plus on ne responsabilise plus personne de nos jours !!!
Les contrôleurs se peuvent se préparer à avoir beaucoup de travail car maintenant les gens tenterons de faire passer des objets illicites et si dans le pire des cas ça ne passe pas ils pourront toujours les réexpédier chez eux gratuitement mdr !
Justin Fair a commenté :
26 août 2017 - 20 h 30 min
” le coût est variable en fonction du mode de récupération de l’objet”…
colombiana30 a commenté :
27 août 2017 - 10 h 42 min
La possibilité de récupérer un objet interdit en bagage à main existait déjà à Orly Ouest dans les années 90 (ça m’est arrivé par mégarde une fois ! même en étant habituée), ceci à l’époque était gratuit mais la liste (et problème de quantité) était bien plus limités. Rendre un service de ce type payant pourquoi pas, certes il y a les irresponsables mais l’étourderie existe aussi. En terme d’objets illicites, je pense qu’il y aura des limites aussi….
il faut ... a commenté :
26 août 2017 - 21 h 40 min
Non pas gratuitement : voir la dernière phrase de l article.
Shôgun a commenté :
27 août 2017 - 14 h 59 min
La première façon de se responsabiliser serait de lire les articles avant de les commenter. Il y est clairement stipulé que le service n’est pas gratuit.
Ensuite, qualifier d’irresponsables des voyageurs qui auraient oublié une boisson, un coupe-ongle ou un tube de crème solaire dans leur bagage à main me paraît passablement exagéré. L’immense majorité des objets retenus aux contrôles n’appartiennent pas à des personnes mal intentionnées mais seulement distraites ou mal informées. Leur interdiction pure et simple à bord des avions n’est pas nécessaire pour lutter efficacement contre le terrorisme, il s’agit seulement d’accélérer les procédures de contrôle et de limiter les coûts en personnel. À partir de là, la confiscation irrémédiable des objets en question n’est pas légitime, et ce service est tout à fait bienvenu.
Lyonnnais a commenté :
26 août 2017 - 19 h 43 min
@Hervé : le tarif facturé peut suffire à limiter les abus, et en même temps rentabiliser le temps nécessaire à ce service, non ?
…car il faudrait lire l’article jusqu’au bout AVANT de commenter : “le coût est variable en fonction du mode de récupération de l’objet.”. Nulle part il n’est parlé de gratuité !!
felix a commenté :
26 août 2017 - 19 h 44 min
Les pauvres passagers récupéreront surtout ce que les personnels de sureté ne se seront pas partagés avant.
Justin Fair a commenté :
26 août 2017 - 22 h 52 min
Ce sera difficile qu’ils se “servent avant”, si les passagers remettent eux-même l’objet à l’agent contre reçu, comme ce serait logique et le laisse supposer l’article…
Alex84 a commenté :
27 août 2017 - 8 h 30 min
Soit l’argument sécuritaire tient et on en reste à ce qui était pratiqué, soit il ne tient pas et on change.
Mais là, en gros, ça veut dire : on veut pas une bombe ou un engin explosif dans un avion, ok, par contre dans une Salle d’embarquement, c’est pas gênant c’est ça ?
Comet4 a commenté :
27 août 2017 - 15 h 10 min
on ne parle pas de bombe ici , mais de couteau de poche , d’outils , de flacons ou bouteilles de plus 100 ml et autres objet réputés dangereux que les étourdis n’ont pas forcement envie de perdre définitivement .
il était temps que l’on propose cette prestation ou bien un service de garde qui devrait etre généralisé sur tous les aéroports et payant bien entendu.
awad a commenté :
27 août 2017 - 8 h 40 min
faut voir c que les passagers emmènent avec eux
hallucinant
Pet a commenté :
27 août 2017 - 8 h 47 min
Le transport illicite d’un objet, n’en rend pas la possession illégale. Les aéroports s’arrogent un droit en confisquant ledit bien, sous un prétexte aux limites très élastiques.
À voir le fatras que les pax trimballent d’un bout à l’autre de la planète, on ne pt que se féliciter de cette initiative, mesure écologique qui réduira la destruction coûteuse de ces montagnes de flacons précieux et autres fioles de nectars “souvenir de vacances”,elixirs de jeunesse, canif de scout etc..