Par les temps qui courent, mieux vaut être bien avisé : Flightright communique sur quelques bons conseils, bien utiles si votre vol s’avérait annulé, notamment en raison de grèves.
Un troisième avis de grève a été lancé par Air France vendredi 30 mars. Il sera suivi de deux autres appels à la grève les 3 et 7 avril prochains. Flightright souligne d’abord dans un communiqué que les compagnies aériennes doivent prévenir en amont les voyageurs de l’annulation de leur vol. Par ailleurs, il est possible pour ces derniers de choisir entre disposer d’un avoir ou se faire rembourser l’intégralité de son billet.
Il est également important de prendre ses précautions en gardant ses documents de voyage : cartes d’embarquement, factures … Ainsi en cas de retard ou d’annulation de vol, le passager lésé ne risque pas de perdre une possibilité de se faire rembourser.
Le chiffre à retenir : 77% des passagers aériens ont déjà rencontré des problèmes lors d’un voyage en avion. Parmi les problèmes qui suscitent le plus de réclamations, on retrouve les vols annulés et le surbooking selon une enquête Flightright/Odoxa 2018.
Flightright infographie :
“Leader européen en matière de services dédiés aux droits des passagers aériens”, Flighright propose une “technologie juridique de pointe” permettant aux voyageurs victimes de vols retardés, annulés ou surbookés de vérifier leur éligibilité à une indemnisation selon le règlement européen. Son réseau international d’experts accomplit les démarches nécessaires pour réclamer et obtenir l’indemnisation due, allant de 250 à 600€ par passager. Flightright, cofondée par l’avocat Philpp Kadelbach en 2010, emploie aujourd’hui une équipe internationale de 120 personnes et a obtenu selon son communiqué, à date, “plus de 150 M€ en indemnisations pour ses clients”. Flightright est également l’un des membres fondateurs de l’Association of Passenger Rights Advocates (APRA), créée en 2017 par les principaux portails de défense des droits des voyageurs. Cet organisme veille aux droits des passagers aériens dans toute l’Europe.

Apparatchiks a commenté :
1 avril 2018 - 10 h 31 min
Très bon papier dans les Echos
https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-181100-vers-un-big-bang-du-syndicalisme-francais-2165723.php
Erik de Nice a commenté :
1 avril 2018 - 11 h 14 min
Excellent article en effet.
Merci.
Rame a commenté :
2 avril 2018 - 18 h 59 min
“symptôme aigu d’une crise de la démocratie sociale française ? ” Oui enfin quand un syndicat appelle à la grève, c’est bien le personnel qui en fait le choix. Bien des mouvements à la SNCF, par exemple, ont été plus mou.
Et le patronat gère bien aussi en terme de compromis, on peut le constater chez AF d’ailleurs.
allons a commenté :
1 avril 2018 - 12 h 03 min
Sans vouloir défendre les syndicats, vous n’avez pas plus objectif que les ECHOS ?!
Croyez vous vraiment que le patronnât français accepterait que les syndicats siègent un jour à leur coté à la tête des entreprises comme c’est le cas chez Volkswagen ?
Autre lieux , autre mœurs, autre culture …
Zebi a commenté :
1 avril 2018 - 15 h 44 min
Peut être parce que le syndicaliste n’est pas actionnaire … il n’a aucune part dans la sociéte … sauf certains cas particuliers
allons a commenté :
2 avril 2018 - 7 h 10 min
C’est pourtant le , le cas chez Volkswagen, le président du CE siège à coté du PDG à la présidence du groupe.
En attendant pour ceux qui croient comme Apparatchiks aux vertues du modèle allemand voila de quoi les faire déchanter :
http://www.novethic.fr/actualite/environnement/pollution/isr-rse/volkswagen-une-gouvernance-syndicale-defaillante-144292.html
Apparatchiks a commenté :
2 avril 2018 - 9 h 02 min
Cher Monsieur ou Madame,
Que connaissez-vous de mes croyances et ce que je pense être vertueux ou non ?
allons a commenté :
2 avril 2018 - 10 h 07 min
Il me semble que vous portez un crédit particulier à cet article ( je cite : Très bon papier dans les Echos), qui site en exemple la situation syndicale chez VOLKSWAGEN. ( oui je n’ai pas manqué de lire en entier)
allons a commenté :
2 avril 2018 - 11 h 52 min
qui cite