En Espagne, Ryanair et Vueling sont actuellement les principales compagnies aériennes opérant dans les 46 aéroports du gestionnaire semi-public Aena : la low-cost irlandaise occupant la première place et la low-cost espagnole la seconde.
Ce classement reflète la montée en puissance du modèle low-cost dans la péninsule ibérique, qui répond à une demande de voyages abordables et fréquents. Au premier semestre 2025, Ryanair s’est imposée comme le leader incontesté du marché espagnol, réalisant près de 258 267 vols, soit environ 19% de l’ensemble des opérations aériennes dans le pays, selon Aena. La low-cost irlandaise occupe également la première place en nombre de passagers, avec 21% de la clientèle transportée. Vueling, low-cost espagnole du groupe IAG, occupe désormais la deuxième position, dépassant la compagnie espagnole historique Iberia en nombre d’opérations. Elle a réalisé environ 198 803 vols, soit près de 14,6% du trafic total.
La répartition par aéroport montre que Ryanair et Vueling dominent la plupart des plateformes majeures gérées par Aena. À Barcelone-El Prat, Vueling est la première compagnie aérienne avec une part de marché atteignant 45%, confirmant son implantation dans la capitale catalane. À Madrid-Barajas, principal hub international du pays, Ryanair arrive en tête avec une part de 17% des opérations, devant ses concurrentes. Dans d’autres grands aéroports, la concurrence entre les deux low-cost est particulièrement équilibrée. À Malaga-Costa del Sol, Séville et Valence, chacune atteint des parts de marché comprises entre 15% et 20%, illustrant une forte concurrence sur ces axes touristiques et économiques importants.
Ryanair affiche une domination marquée dans certaines régions côtières et insulaires : à Alicante-Elche, elle représente 30% du trafic, tandis qu’à Palma de Majorque, elle atteint 25%. Sur les îles Canaries, Ryanair s’impose nettement à Tenerife Sud avec une part estimée entre 20% et 25%. Toutefois, à Tenerife Nord, c’est la compagnie locale Binter qui prévaut, détenant plus de 30% du marché grâce à son offre adaptée aux déplacements inter-îles et au trafic local.
Ces données illustrent la dynamique actuelle du secteur aérien espagnol, caractérisée par une accélération de l’offre low-cost et une concurrence accrue entre les grandes low cost, au profit d’une accessibilité élargie aux voyageurs sur l’ensemble du territoire, commente le site Preferente dédié au tourisme ibérique.

Malaga @AJ/DR
GG d'A... nous informe que a commenté :
11 août 2025 - 7 h 40 min
l’allignement des planètes révéle que parmi les passagers gothiques :
19 % Détourneraient un avion en légitime défense ( pas l’avion, le passager )
21 % Ont des nouvelles de Fils de CDB AF qui voyagerait en GP avec toilettes privatives
59 % Veulent un doggy bag pour leur plateau repas
31 % Estiment que la carte d’embarquement papier est un risque d’attouchement
90 % Ont converti leurs miles en yards pour se surclasser trois fois plus vite
73 % Voyagent avec une “cougar” comme animal de compagnie…
44 % Ne veulent pas voir d’IA à bord ni en salle d’attente après 11:00 !
62 % Se demandent si leur horoscope change à destination
87 % Utilisent des ciseaux comme coupe file
9 % Ne sont pas daccord sur le choix de la piste de décollage
à lire à haute voix si le personnel est en short cravate.
N. Louvier a commenté :
12 août 2025 - 14 h 06 min
Plagiat pitoyable !
Lebordelais a commenté :
23 août 2025 - 10 h 14 min
L’aigreur de certains commentateurs (toujours les mêmes) est pitoyable. Ils se reconnaissent dans les études de typologie des individus accrocs aux compagnies low-cost mais ne s’assument pas…
Ah Bon ? a commenté :
23 août 2025 - 12 h 42 min
Le Bordelais ou caramelle, il faut choisir…
fayçalair a commenté :
11 août 2025 - 11 h 09 min
j’aime cet humour ça manque sur ce site!!!!!!!
Manu a commenté :
11 août 2025 - 12 h 24 min
lol….en effet je ne savais pas que faire du journalisme c’était énumérer des pourcentages maintenant ….pauvre monde.
En tout cas ça veut dire une chose tous ces chiffres ….l Espagne reine du tourisme de masse, donc pollution en augmentation des plages et sites.
C’est dommage car pas certain que cela soit le bon paris sur le long terme….