Publié le 1 décembre 2024 à 10h00
Le 1er février 1911 dans le ciel : 2 records du monde pour Bellanger et Ménard
Publié le 1 février 2012 à 00h03 par Stéphanie Meyniel
Vous avez apprécié l’article ?
Soutenez-nous, faites un don !
Commentaire(s)
Faire un don
Appel aux lecteurs !
Soutenez Air Journal participez à son développement !
Derniers commentaires
Anna Stazzi a commenté l'article :
Air France présente ses trousses de confortJePense a commenté l'article :
Aircalin annonce une commande pour deux Airbus A350-900loracle a commenté l'article :
Air France présente ses trousses de confort116LH a commenté l'article :
Boeing annonce seulement 13 livraisons d’avions en novembreLire aussi
Le 14 décembre 1911 dans le ciel : Valentine, premier à...
Le 13 décembre 1906 dans le ciel : Un petit bond qui restera...
Le 12 décembre 1919 dans le ciel : Dagnaux et Vuillemin...
Abonnement
Publicité
masquée
Nos abonnés bénéficient d'une navigation fluide sans bandeaux publicitaires pour une meilleure lecture de nos contenus.
Pseudonyme
réservé
Votre pseudonyme est validé à partir de votre adresse mail, empêchant qu'un autre lecteur publie un commentaire à votre place.
Commentaire
instantané
Votre commentaire est publié instantanément. Les commentaires des non-abonnés ne sont publiés qu'après modération par notre équipe.
Articles les plus
consultés du mois
Publié le 1 décembre 2024 à 12h00 par Thierry Blancmont
Publié le 2 décembre 2024 à 13h00 par Thierry Blancmont
Publié le 1 décembre 2024 à 13h00 par Thierry Blancmont
Publié le 2 décembre 2024 à 11h00 par Air-Journal
Moreau Luc a commenté :
9 février 2022 - 22 h 54 min
Le Capitaine Georges Bellenger, mon grand-père, s’appelait bien Bellenger (avec un “e”) et non Bellanger.
Il racontait que sa principale difficulté, lors de ce trajet, avait été la première à escale à Pontlevois (près de Blois) pour s’approvisionner en huile et en essence : le responsable de l’aérodrome l’avait retenu sous un prétexte quelconque, en fait pour lui préparer un banquet. Midi venu, découvrant cela, Le Capitaine Bellenger s’était mis en colère ; il volait vers Pau pour une mission précise (et y arriver avant la nuit) : faire passer le brevet militaire de pilote à des pilotes formés à Pau à l’école de Blériot. Il venait d’obtenir l’approbation par le ministre des modalités d’un tel brevet dont il était un promoteur.
A sa colère, l’essence et l’huile demandée lui ont été immédiatement fournie. Il ne se restaura qu’à l’étape suivante (rapidement), et arrivera à Pau à peine avant la tombée de la nuit vers 17h03.
Il ne cherchait pas du tout de record, mais s’attachait à promouvoir l’aviation dans l’armée.