Le A2, avion hypersonique de l'ESA : 145 m de long, 40 m d'envergure, 300 passagers.
Le supersonique de Lockheed Martin et de la Nasa: 63 m de long, 25 m d'envergure, 200 passagers.
Le Zehst, supersonique d'EADS, DGAC et Onera: 80 m de long, 40 m d'envergure, 80 passagers.
Le subsonique de Lockheed Martin: 55 m de long, 52 m d'envergure, 224 passagers.
Le subsonique de Boeing: 225 m de long, 45 m d'envergure, 224 passagers.
Le subsonique de Northrop Grumman:33 m de long, 70 m d'envergure, 224 passagers.
chief pilot a commenté :
10 mai 2013 - 15 h 33 min
Aucun de ces projets ne verra jamais le jour
B777-200LR Lover a commenté :
10 mai 2013 - 15 h 56 min
Malheureusement oui…
JP_marin a commenté :
11 mai 2013 - 9 h 25 min
Peut être oui, peut âtre non… mais au moins ils y vont et font des tests en soufflerie… et c’est pour ça qu’ils sont trop forts… alors qu’ici il faut convaincre le chef qui, comme il ne pense qu’à renflouer les caisse, n’ose pas faire le pas… et vu votre commentaire, vous devez être un chef…
Patrick a commenté :
21 septembre 2014 - 13 h 35 min
Bonjour´
Certains projets voient toujours le jour si on pèse les tenants et aboutissants,l’investissement que l’on a,la motivation et les decisions adequates et surtout la demonstration de l’emblème technologique que l’on veut prouver.
Pour référence,remonter dans l’histoire
oops a commenté :
10 mai 2013 - 20 h 44 min
loooool le “wave rider” (oh yeah!!!) on dirait un grattoir à givre ou un rasoir^^
C’est moche comme tout! :p
Kin-Shannay a commenté :
10 octobre 2013 - 9 h 23 min
Je suis bien d’accord…^^^Ca doit faire trop de traînée un truc comme ça…?
jean a commenté :
11 mai 2013 - 9 h 30 min
Ah ah ah c’est vraiment un besoin?
qis a commenté :
11 mai 2013 - 10 h 00 min
Si l’appareil est constructible pas de probleme pour le supersonique en vol sur terre,les americains feront tout pour annuler l’interdiction c’est OK
mnbee a commenté :
11 mai 2013 - 22 h 19 min
Ah ben alors !
Le boeing 2707 is back ???
J’attends de voir …
Delmotte Didier a commenté :
18 juin 2013 - 12 h 39 min
Didier Delmotte déclare :
L’aéro-astronef nommé AEROSPATIAL qui est la version à la fois aéronautique et astronautique du «fuselage volant» breveté dit DELPLANE, est ainsi développé :
• Une grande surface portante et une pluralité de turboréacteurs sont agencées pour permettre à l’aéro-astronef AEROSPATIAL d’atteindre à vitesse ascensionnelle élevée, c’est-à-dire en peu de temps ce qui a pour effet de limiter la pollution, une altitude préliminaire de 35 à 50 km.
• Un moteur-fusée « triple corps » est agencé sur l’extrados de l’aéro-astronef : un corps accélérateur à l’arrière, un corps pour la décélération à l’avant et un corps consistant en un réservoir commun de propergol gélifié MBDA agencé au centre du moteur-fusée. Il est d’ailleurs aisé d’installer si besoin est, plusieurs moteurs-fusées de ce type sur l’extrados de l’aéro-astronef, vu l’importance de la surface disponible sur l’extrados en question.
• Le moteur-fusée est agencé pour propulser progressivement l’aéro-astronef AEROSPATIAL depuis l’altitude préliminaire aux altitudes et vitesses requises qui permettent soit un vol hypersonique longue distance, soit un vol suborbital ou soit une mise en orbite.
• Des rétrofusées sont agencées pour donner une incidence d’autofreinage (ou décélération par propergol gélifié MBDA comme indiqué ci-dessus ou par tout autre moyen connu) afin d’obtenir une vitesse et un positionnement compatibles avec un vol normal lors d’un retour en atmosphère terrestre en vue d’un atterrissage classique au moyen des turboréacteurs.
• Une assistance technique au sol est prévue pour les vols suborbitaux et orbitaux.
Kin-Shannay a commenté :
10 octobre 2013 - 9 h 20 min
Je trouve vraiment dommage de perdre autant d’argent dans des projets qui ne verront jamais le jour et qui seront accessible seulement pour une élite. C’est vrai que ma passion m’incite à les soutenir, mais mon sens des réalités me refroidis un peu.
Patrick a commenté :
21 septembre 2014 - 13 h 39 min
Oui,
Mais c’est le problème de l’humain,on pense a aller sur Mars mais on n’arrive pas a nourrir tout le monde sur Terre