Tassili Airlines inaugure une nouvelle ligne Alger-Bechar

Publié le 5 novembre 2013 à 15h00 par Alain Nguyen

11 commentaires

@Tassili Airlines

La compagnie aérienne algérienne Tassili Airlines (TAL) a lancé ce dimanche 3 novembre 2013 une nouvelle ligne reliant Alger à l’aéroport Dghène Boudghène Lotfi de Bechar dans le sud du pays, au rythme de deux vols par semaine, les mercredi et dimanche. Un point de vente de la billetterie de Tassili Airlines sera ouvert au niveau de l’aéroport de Bechar, en attendant la création d’une agence commerciale au centre-ville du chef-lieu de Wilaya. Une autre desserte reliant Bechar à Oran est à l’étude, ce qui permettra de renforcer le transport aérien de voyageurs et du fret, a précisé Kamel Mezghiche, le directeur commercial de Tassili, cité sur le site maghrebemergent.com. L’installation de Tassili Airlines dans cette région du sud donnera un nouvel élan au transport aérien et constituera un moyen de promotion et développement des activités touristiques dans cette wilaya, a-t-il ajouté. Par ailleurs, la jeune compagnie algérienne a lancé une réduction de 50% sur les prix des billets sur les lignes desservant Alger, Oran, Constantine, Annaba et Sétif. Les nouveaux tarifs seront appliqués du 3 novembre au 31 janvier prochain pour tout achat d'un billet en aller-retour à partir d'Alger vers Oran, Constantine, Annaba et Sétif, et dans le sens inverse au départ de ces villes vers la capitale algérienne. Ainsi, le prix du billet du vol aller-retour Alger-Oran-Alger sera de 4 116 dinars, alors que celui d'Alger-Constantine-Alger coûtera 3 648 dinars. Le prix du billet Alger-Annaba-Alger sera, quant à lui, de 4 350 dinars, celui de la ligne Oran-Sétif-Oran est proposé à 5 654 dinars, selon un communiqué de la compagnie aérienne. Filiale à 100% du groupe algérien Sonatrach, Tassili Airlines gère un réseau domestique desservant les villes d'Alger, Oran, Constantine, Annaba, Sétif, Bejaïa, Jijel, Ghardaïa, El-Oued, Béchar, Hassi-Messaoud (Ouargla), Adrar, Illizi, Tamanrasset et Djanet. Elle opère une flotte composée de 12 aéronefs d'une capacité de 1 064 sièges.

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Commentaire(s)

derouet a commenté :

6 novembre 2013 - 10 h 48 min

1/quels types d’avion pour “une flotte composée de 12 aéronefs d’une capacité de 1064 sièges” ?
2/combien vaut le dinar en euros ?

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mamouta a commenté :

6 novembre 2013 - 11 h 03 min

1/ Type d’avion, c’est des Boeing 737-800 aussi des ATR72-500 (A confirmer).
2/ 1euros vaut 109.43dinars algérien au cours officiel du 06/11/2013.

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Zoubir a commenté :

6 novembre 2013 - 11 h 23 min

La flotte transport publique est composée de 4 738, 4 Dash Q200 et 4 Dash Q400.
Tassili dispose aussi de 3 Beech 1900 D, 4 Cessna Gran Caravan, 6 Pilatus Turbo Porters ainsi que 5 Hélicos Bell Ranger.

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Cémencle a commenté :

6 novembre 2013 - 11 h 49 min

Le “moyen de promotion et développement des activités touristiques” ne concerne pas vraiment les européens, et notamment les français, cordialement haïs en Algérie (sauf pour leurs subventions).

Rappel des paroles de leur hymne national : “Ô France ! le temps des palabres est révolu, Nous l’avons clos comme on ferme un livre, Ô France ! voici venu le jour où il te faut rendre des comptes, Prépare toi ! voici notre réponse”.

Cela n’empêche nullement la France de continuer, avec nos impôts, à financer l’Algérie.

Donc, TASSILI AIRLINES, filiale d’une entreprise publique algérienne, compagnie algérienne ou française ?

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1. Mohamed 59 a commenté :
  
  6 novembre 2013 - 13 h 33 min
  
  Si tu veut… on sait que tu est qu’un raciste donc sa sert a rien de faire la victime. Et l’Algérie n’a pas de subventions que la France donne.. non ils les donnent au pays de l’est pour financer leurs développement !
  
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2. mamouta a commenté :
  
  6 novembre 2013 - 15 h 51 min
  
  Quels impôts, l’Algérie n’a pas dette exterieur renseigne toi bien avant de parler contrairement à la France qui a 1870 milliards d’euros soit 91,7% de son PIB pourtant je suis franco-algérien et J’AIME autant la FRANCE que l’ALGERIE.
  
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  1. Flight 28 a commenté :
    
    6 novembre 2013 - 19 h 41 min
    
    Malgré certaines croyances populaires, la loi française ne reconnait pas la double nationalité, comme d’ailleurs beaucoup d’autres pays.
    L’on est ou algérien, ou français, il faut choisir !
    Ce qui n’empêche nullement d’aimer et la France, et l’Algérie.
    
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Cémencle a commenté :

6 novembre 2013 - 17 h 21 min

@ MOHAMED 59

Vos propos sont diffamatoires, d’autant que vous ignorez et ma couleur de peau, et ma religion, et mes origines. Cela démontre où est le racisme et la manipulation. Avez-vous un problème avec les noirs, à moins que ce ne soit avec les juifs ? Dommage, je ne peux rien pour vous.

@ MAMOUTA

L’Algérie est soutenue financièrement depuis son “indépendance” par la France : il faut être soi ignare, soit manipulateur pour oser affirmer le contraire.

Et où Bouteflika et les autres dirigeants algériens vont se faire soigner lorsqu’ils ont un pet de travers ? En France ! Et aux frais de qui ? Des français !

Heureusement, les pays de l’est ne dépendent pas financièrement de l’Algérie, mais de l’Union Européenne. L’Algérie a largement de quoi faire chez elle !

Enfin, veuillez respecter le vouvoiement : cela vous donnera un semblant d’éducation.

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1. mamouta a commenté :
  
  6 novembre 2013 - 22 h 07 min
  
  1/ Dites-moi ou est le tutoiement dans ce que j’ai dis?
  2/ Ne vous inquiétez pas je suis éduqués.
  3/ Pour les dirigeants, je suis d’accord mais pas pour les frais.
  4/ Pour les pays de l’EST, je ne vois pas le rapport avec l’article.
  
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  1. Cémencle a commenté :
    
    7 novembre 2013 - 0 h 55 min
    
    mamouta – 6 novembre 2013 à 22 h 07 min “1/ Dites-moi ou est le tutoiement dans ce que j’ai dis?”
    
    mamouta – 6 novembre 2013 à 15 h 51 min “… renseigne toi bien avant de parler”.
    
    Il faut vous relire avant d’affirmer l’inverse.
    
    Vous n’avez aucune crédibilité, sauf celle de nous distraire.
    
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SVH LYON a commenté :

6 novembre 2013 - 19 h 36 min

J’adore ceux qui jouent les vierges effarouchées.

Pour comprendre parfaitement la situation en Algérie, se référer simplement à la rubrique “Conseil aux Voyageurs du site du Ministère des Affaires Etrangères.
Bref, bienvenue en enfer !

“Sécurité

Les menaces renouvelées d’Al-Qaïda au Maghreb Islamique contre les intérêts français, la persistance d’attaques menées par les groupes terroristes, principalement contre les forces de l’ordre dans le quart Nord-Est du pays, mais susceptibles de concerner aussi bien les étrangers et d’autres régions, comme l’a montré l’attaque terroriste d’In Amenas de janvier dernier, et la dangerosité accrue de la zone sahélienne, limitrophe de l’Algérie, aboutissent à ce que le risque terroriste reste élevé en Algérie. Ce risque concerne toutes les régions en Algérie, aussi bien les régions du Nord que le Grand Sud.
Les déplacements sont formellement déconseillés à nos ressortissants au Sud et au centre de l’Algérie. Il en découle a fortiori que tout projet de se rendre au Mali, au Niger ou en Mauritanie par voie terrestre en traversant le territoire algérien est à proscrire absolument.
Les déplacements sont déconseillés dans le reste du pays.
Tous les ressortissants français voyageant en Algérie sont appelés à se signaler au Centre de crise du Ministère des Affaires Etrangères.

Nord du pays

Le risque d’action terroriste demeure très élevé en Kabylie et dans certaines wilayas (Massif des Aurès, extrême Nord-Est) du quart Nord-Est où des actions de groupes terroristes se produisent plusieurs fois par semaine. Les wilayas de Bouira ou de Tizi-Ouzou sont en particulier régulièrement la cible d’actes terroristes. La zone frontalière avec la Tunisie et la Libye doit être également considérée comme particulièrement sensible.
Selon la situation sécuritaire, certains axes routiers et certaines zones peuvent être interdits à la circulation par les autorités algériennes. Celles-ci peuvent également imposer une escorte assurée par la police, la gendarmerie ou l’armée.
Dans ces régions, tout déplacement par voie routière, même avec une escorte au demeurant nécessaire, doit être considéré avec la plus grande prudence. Tout en restant prudent en toute circonstance et sur tous les axes, il est nécessaire d’éviter les axes secondaires et non surveillés et de ne pas circuler la nuit. Il convient aussi d’éviter les déplacements répétés à itinéraire et horaire constants.
Le risque terroriste subsiste encore dans d’autres régions du Nord du pays. Des attaques terroristes se sont produites récemment dans les wilayas d’Ain Defla ou de Medea. L’académie militaire de Cherchell, située à 100 km à l’Ouest d’Alger, avait par ailleurs été victime d’un attentat, le 26 août 2011, qui avait fait 18 tués et plusieurs blessés parmi les militaires algériens.

Zone désertique centrale

C’est dans cette partie du pays, dans une zone située à l’Est, à proximité de la frontière libyenne, que s’est déroulée, du 16 au 20 janvier dernier, la prise d’otages du site gazier d’In Amenas. Cette attaque terroriste de grande ampleur s’est soldée par la mort de 37 ressortissants étrangers, dont 1 ressortissant français qui travaillait sur le site.
Un attentat kamikaze, revendiqué par le MUJAO, avait frappé un bâtiment de la gendarmerie algérienne à Ouargla en juin 2012. 3 humanitaires ont été enlevés par le MUJAO dans les camps sahraouis de Tindouf en octobre 2011, avant d’être relâchés en juillet 2012.

Grand Sud algérien

Le risque terroriste concerne également le grand Sud du pays. La région de Tamanrasset, où un attentat revendiqué par le MUJAO a été commis contre un bâtiment de la gendarmerie en mars 2012, et la région de Djanet, sont particulièrement exposées.

Dans les grandes villes algériennes

Il reste nécessaire de faire preuve de prudence. Les villes (dont Alger et Oran) ont pu connaître des mouvements sociaux importants qui dégénèrent parfois en émeutes urbaines.
Les autorités algériennes ont constaté une recrudescence de la délinquance et de la petite criminalité, ce qui doit amener chacun à adopter les consignes de prudence habituelles dans les villes exposées à ce type de danger.
Il convient d’éviter les quartiers périphériques. Il est recommandé d’adopter une attitude discrète et conforme aux usages, règles et coutumes habituellement en vigueur dans les pays majoritairement musulmans.
La plus grande prudence est recommandée en ville et sur les routes.

Conseils élémentaires de sécurité

Les voyages impliquant des déplacements par la route en dehors des grandes villes, demeurent déconseillés en Algérie.
Dans le cas d’un voyage d’affaires ou d’étude, il convient de s’assurer concrètement que l’organisme ou la société hôte a prévu une protection. Il est d’usage que toute personne ou groupe invité par une institution publique algérienne bénéficie d’un accompagnement. Dans tous les cas, il est avisé de se déplacer accompagné d’une personne de confiance connaissant les lieux.

Arrivée

Pour de nombreux voyageurs, l’arrivée s’effectue par l’aéroport Houari Boumediene d’Alger. Compte tenu des abords parfois encombrés des accès à l’aéroport, il est vivement recommandé de signaler son arrivée de manière à être accueilli. Les mêmes précautions valent pour les autres aéroports d’accès.

Hébergement

Il est recommandé de séjourner dans des hôtels sécurisés dont les accès sont filtrés :
Alger : El Djazair (ex Saint-Georges), Aurassi, Sofitel, Hilton, Mercure, Sheraton (éloigné de la ville mais situé au bord de la mer), Dar Diaf, Albert 1er.
Oran : Royal Hôtel, Sheraton, Phoenix, El Mouahidine, Bel Air.
Constantine : Cirta, Panoramic.
Annaba : Seybouse.
Bejaia: Le Cristal, le Zéphir.
Tlemcen: Les Zianides.

Us et coutumes

Eviter de prendre des photos.
S’abstenir de fumer dans les lieux publics pendant le Ramadan.”

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