Publié le 1 décembre 2024 à 10h00
Virus Ebola : le personnel de la RAM s’inquiète
Publié le 31 août 2014 à 14h00 par Joël Ricci
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czl a commenté :
31 août 2014 - 15 h 24 min
Il y a des limites à la solidarité
GREEN777 a commenté :
31 août 2014 - 15 h 56 min
Le long courrier de Brussels Airlines est basée essentiellement en Afrique d’où elle tire la majeur partie de ses bénéfices alors interrompre ces lignes le plus tard possible si la l’épidémie devient totalement incontrôlable semble être la politique des dirigeants de SN.
BOBO7 a commenté :
31 août 2014 - 15 h 57 min
@CZL je partage le meme avis que vous
BOBO7 a commenté :
31 août 2014 - 16 h 28 min
“La direction s’est aussi appliquée à rappeler que les risques de contracter le virus restent extrêmement faibles si les mesures mises en place sont respectées.”
mais oui bien sur c’est très facile d’être assis dans son bureau et mettre la vie des employés en danger en voulant les rassurés avec de tels propos mais ce que la Direction oublie c’est que la période d’incubation varie entre 2 et 21 jours et donc du coup un passager qui a été infecter le jour de son départ ne présentera pas les symptômes le même jour donc du coup il pourra embarquer avec les autres dans l’avion. mais et une semaine après ? C’est à ce moment la qu’ils déciderons vont suspendre les vols en direction des pays touchés ? comme quoi CZL a tout dit il y a des limites a la solidarité. Qui ne risque Rien n’a Rien
bonnepom a commenté :
31 août 2014 - 17 h 33 min
les malades sont contaminants qu’apres la période de 3 semaines d’incubation et se déclare par une forte fievre qui laisse la personne incapacitante: clouée au lit ou en chaise roulante.
la contamination est “facile” seulement si l’on touche un des liquides corporel de la personne: sueur, salive, bave, sang ect…
maintenant toucher une personne décédée est aussi hautement à risque. toutefois dans un avion on repere rapidement une personne fievreuse ou morte n’est ce pas?
F. Libery a commenté :
31 août 2014 - 19 h 25 min
La position des PNC de la RAM résume l’ensemble de la problématique des vols vers les pays contractant le virus Ebola
Soit une compagnie reste sur la ligne, et on lui reproche d’y rester pour des motifs financiers, au risque de la vie des passagers (comme le mentionne BOBO7, les décisions sont prises depuis un fauteil).
Soit une compagnie arrête les vols, même temporairement, vers la zone ciblée et du coup on lui reproche un manque d’humanité et qu’on devrait forcer à voler sur place pour assister les secours.
Dans les 2 cas les compagnies sont fautives…
Cependant je vous invite à réfléchir à 3 questions que se posent les dirigeants de ces compagnies :
– Comment réagir si la sécurité des passagers et personnel est priorité #1 ? (ce qui est le cas de toutes les majors européennes)
– Si le virus voyage et atteint un grand hub tel que Londres, Paris, Dubai, NY,… que dira-t-on de la compagnie qui a continué à exploiter les vols commercialement ?
– Jusqu’à quel point les connexions aériennes sont de la responsabilité des transporteurs privés, et à quel moment deviennent-elles la responsabilité des Etats et de l’armée ?
Personnellement, je pense que le virus a atteint suffisamment d’ampleur pour nécéssiter une logistique humanitaire en dehors des vols commerciaux.
La vraie question est pourquoi nous en prenons-nous aux compagnies privées au lieu de demander aux Etats pourquoi ils n’assurent pas leur role dans le cas d’une crise sanitaire majeure ?
Une bonne partie de la réponse est dans les pays ciblés par l’épidémie… si les cas se multiplient au Nigéria, on verra tout de suite nos gouvernements en première ligne pour protéger les cours du Pétrole.
czl a commenté :
31 août 2014 - 21 h 04 min
Ce n’est pas le rôle des compagnies civils de participer aux secours, à l’acheminement des médecins, du matériel, des vaccins, etc
Il y a les vols cargo, il y a les compagnies spécialisées, il y a les militaires, il y a les avions affrétés par l’ONU, etc ….
Erik de Nice a commenté :
31 août 2014 - 19 h 57 min
Tant que la décision de desservir ou non une destination EBOLA reposera sur les PDG des Compagnies, la sécurité des personnels des dites Compagnies ne sera pas assurée…
Ce ne peut être qu’une décision prise au plus haut niveau de l’état (Air France aurait probablement continuer de desservir sans vergogne ces destinations si le pouvoir politique français n’avait pas mis son Veto!!!)
Vincent a commenté :
31 août 2014 - 21 h 38 min
Les experts de l’OMS sont eux-mêmes loin d’être précis sur la question.
1. “La durée d’incubation, c’est-à-dire le temps écoulé entre l’infection par le virus et l’apparition des premiers symptômes, varie de 2 à 21 jours.” : on le voit, c’est le flou le plus complet.
2. ” Il [le virus] se propage ensuite dans les communautés par transmission interhumaine, à la suite de contacts directs (peau lésée ou muqueuses) avec du sang, des sécrétions, des organes ou des liquides biologiques de personnes infectées, ou de contacts indirects par l’intermédiaire d’environnements contaminés par ce type de liquides.” Là encore, manque de précisions. Ce qu’il faut retenir, c’est qu’une personne contaminée éternuant présente un risque de contagion élevé, qui plus est dans un environnement confiné comme un avion. Aucune autre indication sur la durée de vie du virus hors de son environnement hôte (contamination par contact indirect).
3. “… un taux de létalité pouvant atteindre 90 %”.
Dès lors, on comprend parfaitement la crainte du PNC de la RAM.