Publié le 1 novembre 2024 à 19h00
Publié le 7 octobre 2017 à 11h00 par Air-Journal
@Emirates
Vous avez apprécié l’article ?
Soutenez-nous, faites un don !
Commentaire(s)
Faire un don
Appel aux lecteurs !
Soutenez Air Journal participez à son développement !
Derniers commentaires
fayçalair a commenté l'article :
La Compagnie : nouveau programme culinaire Chefs&Co en complément de la carte permanenteaviation a commenté l'article :
Boeing ira plutôt chercher 21 milliards de dollars pour combler sa fuite de trésorerieSpatial à vendre: quel acheteur potentiel? a commenté l'article :
Boeing va émettre pour 19 milliards de dollars en nouvelles actions pour sauver sa trésorerieGrand n’importe quoi! a commenté l'article :
Toulouse annonce trois nouvelles destinations de TransaviaLire aussi
Airbus livre le tout premier A321XLR à Iberia
Starlink : le réseau satellitaire à haut débit qui va révolutionner...
L'aérien dépensera 3 300 milliards de dollars pour acquérir...
Abonnement
Publicité
masquée
Nos abonnés bénéficient d'une navigation fluide sans bandeaux publicitaires pour une meilleure lecture de nos contenus.
Pseudonyme
réservé
Votre pseudonyme est validé à partir de votre adresse mail, empêchant qu'un autre lecteur publie un commentaire à votre place.
Commentaire
instantané
Votre commentaire est publié instantanément. Les commentaires des non-abonnés ne sont publiés qu'après modération par notre équipe.
Articles les plus
consultés du mois
Publié le 1 novembre 2024 à 09h00 par Joël Ricci
Publié le 1 novembre 2024 à 08h00 par Joël Ricci
Publié le 1 novembre 2024 à 10h00 par Joël Ricci
Néophyte a commenté :
7 octobre 2017 - 11 h 13 min
J’ai lu dans un autre article que l’atterrissage avait été réussi grâce à l’ILS et au pilote automatique. Et le pilote?? Merci d’éclairer le néophyte que je suis!
Something a commenté :
7 octobre 2017 - 12 h 09 min
L’autopilote n’est pas certifié pour poser l’avion avec plus de 20 nœuds (~40 km/h) de travers donc non, c’est le pilote qui est aux commandes, comme dans 99% des atterrissages. Les 1% restant, c’est uniquement lorsqu’il y a un fort brouillard.
Justin Fair a commenté :
7 octobre 2017 - 12 h 34 min
Par conditions de vent fort ( turbulences, dérive,…) les approches se font très généralement manuellement. Les limitations de vent sont plus restrictives en atterrissage automatique qu’en pilotage manuel.
Matzer a commenté :
7 octobre 2017 - 13 h 00 min
Bonjour, oui c’est possible pour la plupart des avions de ligne de faire un atterrissage en full automatique (direction, altitude, vitesse arrondi et toucher)
Mais ce n’est pas conseillé durant les rafales de vent car le Pilote auto ne réagit pas assez vite et c’est ce que demande ce type d’approche en vent de travers + rafales
Ajar a commenté :
7 octobre 2017 - 11 h 18 min
Bravo à l’équipage pour cette belle maitrise …
Frenchpilot83 a commenté :
7 octobre 2017 - 11 h 34 min
Sur la vidéo, justement, le train principal ne se pose pas dans l’axe de piste. Le décrabage est incomplet et mal réalisé. De ce fait, l’avion fait une vilaine embardée que le pilote vient contrer par une action disproportionnée sur le palonnier. Les conditions extrêmes de vent traversier devaient malgré tout rester dans les limites prévues dans les SOP de la compagnie. Dans le cas contraire, l’équipage se serait tout simplement dérouté sur un autre terrain. J’en conclus que l’action maladroite de l’équipage sur les commandes de l’avion a failli conduire à une catastrophe.
Alain45 a commenté :
7 octobre 2017 - 12 h 55 min
Encore faut il être aux commandes et avoir tous les paramètres qui vont avec avant de tirer de telles conclusions !
Ensuite il est toujours facile de juger le travail des autres (qui ont sans doute peut être bien plus d’expérience que certains qui se permettent de tirer des conclusions … Faut quand même avoir des sacrés chevilles !).
Après tout ce n’est que votre avis.
On lit bien d’autres commentaires contraires…
Je retiendrai celui du Daily Mail :
“Cette vidéo montre les compétences incroyables des pilotes. Même après une rafale de vent inattendue après l’atterrissage, ils ont réussi à se ré-aligner avec la piste. Un travail incroyable”.
En fait, la descente se passait pas trop mal, mais des bourrasques non loin du sol -donc pas forcément prévues) ont rendu la fin de l’atterrissage plus compliquée.
Reste plus qu’à faire une bonne vérification des trains qui ont ont quand même bien encaissé !
Quant à votre tout “simplement” dérouté sur un autre terrain ; tout n’est justement pas aussi simple ! (sauf derrière un clavier, c’est facile).
A des moments donnés l’Allemagne a fermé des aéroports…
Justin Fair a commenté :
7 octobre 2017 - 11 h 43 min
Oups!!! “Posé pas cassé , c’est gagné!” Pffffff! Chaud! Pas ça tous les jours!!!
A7316 a commenté :
7 octobre 2017 - 12 h 02 min
Le pilote ne fait pas gd chose … La procedure chez Emirates c’est atterissage atutomatique !! quelque soit le temps !! C le freinage automatique qui remet l’avion ds l’axe apres le toucher. Le pilote ne fait que décraber juste avant le toucher.
Lecheikh972 a commenté :
7 octobre 2017 - 12 h 18 min
Frenchpilot83 c’est facile de raconter l’histoire derrière son PC! Mais je pense que le pilote s’est fait surprendre par le vent en sillonner de ce fait a eu une action disproportionnée sur le palonnier. Mais je pense qu’il faut les féliciter tout d’abord car tout le monde est sains et saufs! Congrats au PNT
Justin Fair a commenté :
7 octobre 2017 - 12 h 28 min
???
“Bravo à l’équipage pour cette belle maitrise ” et “J’en conclus que l’action maladroite de l’équipage ”
Bravo pour vos commentaires, j’en conclus que vous devez être d’éminents spécialistes de l’atterrissage en A380 par fort vent traversier…
Pipou a commenté :
7 octobre 2017 - 12 h 40 min
Je ne suis absolument pas un expert, maais vu ce qui se passe dans pareils situation habituellement, je me pose une question concernant la maîtrise des pilotes sur cet atterrissage…
Je pense que nous ne sommes pas passés loin d’une catastrophe!!!
Et une preuve supplémentaire que cet avion est une TRES GRANDE RÉUSSITE!!!
Car même secoué de la sorte, même avec un réacteur victime d une grave explosion non contenue un réacteur (avec nombreux dégâts collatéraux comme pour le vol de Quantas en 2010) les passagers en sortent toujours indemnes!!!
Il me semble à mon grand désespoir condamné commercialement parlant mais représente LA plus belle réussite technologique et industrielle de l’industrie aéronautique de ces dernières années!!!
Shngh a commenté :
7 octobre 2017 - 13 h 33 min
Frenchpilot83 aha je suis sur à 100% que tu n’es pas pilote au mieux tu as du essayé avant de te planter au pire tu es juste un loser piteux
houlala a commenté :
7 octobre 2017 - 13 h 37 min
un attero vraiment raté je dirai…. pas d’arrondi, pas de decrabage, et une utilisation excessive du palonnier! bon … cela arrive a tous ! les pauvres pris en flag et en video … pas de chance!
Adder Krm a commenté :
7 octobre 2017 - 14 h 36 min
Bonjour,
L’analyse de cet atterrissage, abstraction faitne des conditions meteorologiques, font apparaitre les quelques éléments suivants :
1. L’avion est stabilisé jusqu’à une hateur approximative de 30 à 40 ft, avec quelques actions inappropriées sur la dérive, car on utilise pas la dérive en vol sauf dans des cas exceptionnels.
2. L’utilisation de la dérive est saccadée et brutale, ce qui destabilise la phase finale de l’atterrissage dite “flaire”
3. La technique utilisée ne semble pas être la mieux indiquée à savoir la combinaison des ailerons et de la dérive mais la technique de l’atterrissage en crabe ce qui dans ce cas a mené à un “bounced landing” latéral. L’aile au vent s’est soulevée et a donc fait balancer l’avion du mauvais côté, sous le vent.
4. La rapidité avec laquelle les actions ont été appliquées sur la dérive à basse altitude, et leur amplitude laisse penser que le pilote aux commandes manque visiblement d’expérience. La suite du rattrapage pourrait signifier la prise des commandes par le cdb pour eviter la sortie de piste, mais la réaction a été rapide et efficace. On pourra toujours tergiverser sur la possibilité de la remise des gaz.
5. La nervosité évidente sur les commandes à très basse altitude n’a pas permis une action corrective stable et effisciente et un atterrissage en bonnes conditions.
La maitrise par la suite de la correction aux fins de ramener l’avion sur la ligne centrale de la piste fut heureusement couronnée de succès.
Que Dieu protège tous ceux qui prennent des avions navigants ou passagers.
Collet a commenté :
25 avril 2023 - 17 h 04 min
Dieu n’a rien à voir la dedans, seule la compétence des pilotes est a remercier….