Les restrictions aux déplacements instaurées dans de nombreux pays (confinements des populations, fermetures de frontières, mises en quarantaine) ont entraîné un quasi-arrêt de l’activité des aéroports du réseau VINCI Airports au 2ème trimestre 2020.
Au global, avec un total de 2,4 millions de passagers accueillis dans les 45 aéroports gérés par VINCI Airports à travers le monde, le trafic passager du 2ème trimestre 2020 affiche un recul de 96,4 % par rapport au 2ème trimestre 2019. Il a ainsi baissé de près de 98 % en avril et mai par rapport à la même période de l’année précédente. “L’assouplissement récent puis la levée progressive des restrictions ont permis d’amorcer un redémarrage du trafic passagers, mais celui-ci reste encore limité (baisse de 94,1 % en juin 2020 par rapport à juin 2019)“, précise le groupe dans un communiqué.
En France, le trafic dans les plateformes gérées par VINCI Airports a été quasi-nul en avril et mai (-99,9 % par rapport à 2019). La levée de la restriction des déplacements au-delà de 100 km du domicile a permis la reprise des vols domestiques dès le 2 juin à Toulon (Toulon – Paris-Charles de Gaulle), le 8 juin à Lyon, Nantes (Lyon Saint-Exupéry – Nantes-Atlantique) et Clermont-Ferrand (Clermont-Ferrand – Paris-Charles de Gaulle), et le 15 juin à Rennes (Rennes – Lyon Saint-Exupéry). Les vols internationaux ont repris le 15 juin à Lyon et Nantes grâce à l’ouverture des frontières avec plusieurs pays de l’espace Schengen. Toutefois, le trafic de juin est resté encore très faible (-96,5 %).
“Les plateformes ont continué à accueillir des vols pendant toute cette période pour répondre à leur mission de service public“, souligne le gestionnaire aéroportuaire, ajoutant avoir mis en place de mesures de protection sanitaire dans l’ensemble des aéroports.
Action'air a commenté :
20 juillet 2020 - 23 h 02 min
Top! Cette expression date du XVIe siècle… elle fait allusion à une légende de l’Antiquité où les crocodiles charmaient leurs proies par des gémissements… Une fois attirées, elles se faisaient prendre… Aujourd’hui lorsque l’on pleure pour quelque chose, cela s’appelle des…cela s’appelle des… des larmes de crocodile! Gagné! Bonne réponse pour “Question pour une nationalisation!”