Quatre salariés d’Airbus à Toulouse ont été licenciés pour un bizutage sur un intérimaire.
Les faits remontent à décembre 2019 et ont été portés à la direction d’Airbus en juillet 2020, rapporte France 3 Occitanie. Sur une vidéo qui circule sur les réseaux sociaux, on y voit six personnes travaillant pour l’avionneur européen entourant un intérimaire. A l’aide de scotch industriel et de serflex (un collier de serrage), les pieds et les mains de l’intérimaire sont attachés. Il est ensuite allongé sur une bâche. De la graisse, des produits alimentaires sont alors déversés sur la personne au sol, avant que ne soit déchiré entièrement son tee-shirt, détaille France 3 Occitanie.
Convoqués en entretien préalable de licenciement, les six salariés concernés ont reconnu les faits. Quatre d’entre eux ont donc été définitivement congédiés de l’entreprise.
Dans une autre affaire, six managers travaillant sur la ligne d’assemblage de l’A350 ont été remerciés pour “vol de matériel“. Selon France 3 Occitanie, ces cadres ont récupéré six tablettes numériques oubliées au fond d’un placard et estimées à un total de 9600 euros. Les tablettes ont été échangées à l’extérieur de l’entreprise contre des paquets de cigarettes. Pour Airbus, il s’agit d’une faute grave : une mise en danger de la “sécurité de ses données et de ses systèmes d’informations“.
Ad Padchénou a commenté :
25 septembre 2020 - 13 h 49 min
Ah ben tiens, si les cadres s’abaissent maintenant à faire du recèle pour arrondir les fins de mois, on a pas fini d’assister à la déchéance de ce monde….
Sakari Markus a commenté :
25 septembre 2020 - 13 h 56 min
Quelle bande de ****, il méritent bien plus que de se faire virer.
Fred a commenté :
25 septembre 2020 - 14 h 04 min
Ca arrive partout et tous les jours
C’est juste normal d’être licencié pour vol sur un site d’entreprise ou bien d’être violent envers un collègue
On va pas ici faire un article à chaque fois Qu’une entreprise licencie pour ces raisons bien justifiées
flydreamer a commenté :
25 septembre 2020 - 15 h 48 min
@Fred : Air Journal nous apporte une variété d’articles sur le monde aéronautique.
Tant est si bien que cette information rendue publique avec condamnations sur des faits divers en interne comme celui de vol ou bien harcèlement permet de rappeler à l’ordre sur les règlements internes : quiconque a commis une faute grave sur son lieu de travail peut être condamné avec sanction immédiate et passible de poursuites judiciaires. Probablement, la volonté d Airbus d’envoyer ce genre de message exemplaire.
PIONEER300 a commenté :
25 septembre 2020 - 16 h 52 min
Voila des bons licenciements pour pas cher Ceux qui vont suivre dans les prochains mois vont sans doute être plus délicats a gérer Le problème le plus épineux sera celui de la fermeture pur et simple de l’entreprise d’autant que maintenant les chinois ont tous les brevets
L’immobilier a Toulouse va sans doute subir une forte baisse ..Ceci dit avec le COVID et les suicides a venir tout cela devrait retrouver une embellie dans les prochaines années quand les chinois nous auront vendu leur vaccin
Mamadou DIALLO a commenté :
25 septembre 2020 - 17 h 25 min
C’est du troll ou vous êtes sérieux ?
Dans le second cas de figure, je plains votre entourage. Votre entrain et votre optimisme sont si communicatifs…
Sérieusement, non, Airbus n’a pas vendu ses brevets stratégiques à des concurrents chinois ! Et les affaires vont reprendre tôt ou tard. Avec Airbus comme leader mondial du secteur.
Déjà, en Chine et au Vietnam, le trafic aérien redémarre…
Tilo a commenté :
25 septembre 2020 - 17 h 12 min
Pour des paquets de clopes ils mettent leurs entreprises en danger Airbus a réagi comme toutes les grandes entreprises c’est une faute grave, s’qui se passe
dans l’entreprise ne doit pas sortir ça peut profiter aux concurrents ou même aux terroristes qui récupèrent des infos sur Airbus.
CecildeMille a commenté :
26 septembre 2020 - 10 h 26 min
Les bizuteurs, ils ont tout gagné : retrouver un emploi par les temps qui courent, ça va pas être de la tarte. Et je ne parle même pas de retrouver un emploi aussi bien payé qu’à Airbus.
Rose a commenté :
26 septembre 2020 - 16 h 12 min
Vous tous, comme moi avant ces derniers jours, croyez ce que vous lisez dans les articles, puisque ils sont sensés avoir étés écrits par des journalistes qui ont mené une enquête. Et bien je tombe de haut quand je lis les mensonges qui ont été écrits par des sois disant journalistes. Non les tablettes n’ont pas étées volées. Elles étaient sur le site Airbus et ont étées données au service informatique immediatement après avoir étées demandées. On est donc bien loin du vol.
Mais c’est bien pratique de se servir de ça quand on veut licencier des milliers de salariés a moindre coût, mais que d’un autre côté Airbus demande de l’argent à l’état pour sauver son entreprise et non ses salariés et s’en mettre au passage plein les poches…
CHRISTIAN a commenté :
26 septembre 2020 - 19 h 39 min
Il y a sûrement plein d’internautes qui ne demandent qu’à vous croire. Moi le premier. Bien sûr, les journalistes adorent le sensationnel, mais bon…
Quelles preuves avancez-vous ?
Travaillez-vous dans cette entreprise, dans cette usine en particulier ? Vous avez fait partie des salariés chargés de régler le problème ?
Quels éléments vous permettent d’affirmer que les tablettes n’ont pas été volées ? Et puis, les syndicats, si prompts à dénoncer toute “injustice”, seraient restés silencieux ?