La compagnie aérienne low cost Ryanair lancera en décembre une nouvelle liaison entre Manchester et Grenoble, sa deuxième nouveauté de l’année et se cinquième route vers l’aéroport des Alpes.

Du 22 décembre 2021 a fin mars 2022, la spécialiste irlandaise du vol pas cher proposera un vol tous les samedis entre sa base de Manchester et l’aéroport de Grenoble-Alpes Isère, opéré a priori en Boeing 737-800 de 189 sièges. Les réservations n’étaient pas disponibles au moment de la rédaction, mais Ryanair sera en concurrence avec Jet2 sur cette route.

Cette huitième route vers la France au départ de l’aéroport mancunien sera aussi la cinquième vers Grenoble, qu’elle desservait déjà depuis Bristol, Dublin et Londres-Stansted ; Londres-Luton sera ajouté à cette liste du 19 décembre au 20 mars, avec une rotation tous les dimanches.

« Les clients britanniques peuvent désormais réserver des vacances d’hiver bien méritées ou des vacances de ski aventureuses dans les villages alpins entourant Grenoble cet hiver. Alors que les voyages retrouvent leurs niveaux d’avant Covid, la croissance de Ryanair continue de conduire la reprise du trafic et du tourisme à travers l’Europe » , souligne un communiqué de la low cost.

Pour célébrer le lancement de cette nouvelle ligne, Ryanair va lancer une vente de sièges avec des tarifs à partir de 19,99 € qui doivent être réservés avant minuit le samedi 18 septembre sur le site Ryanair.com.

Le directeur commercial de Ryanair, Jason Mc Guinness, a déclaré : « Ryanair reste déterminé à reconstruire l’industrie européenne de l’aviation et du tourisme, en restaurant la connectivité alors que Ryanair continue de se développer en Europe et que le transport aérien revient au niveau d’avant la pandémie. Alors que Ryanair prend livraison de 55 Boeing 737-8200 « Gamechanger » cet hiver, nous sommes ravis d’ajouter cette nouvelle route de Manchester à Grenoble, avec un vol hebdomadaire à partir du 18 décembre ».

Ryanair : une nouveauté de plus à Grenoble cet hiver 1 Air Journal

©Aéroport Grenoble-Alpes Isère/Facebook