Publié le 5 novembre 2024 à 20h00
Malaysia Airlines : filiale en A380, investisseurs extérieurs
Publié le 13 octobre 2017 à 13h00 par François Duclos
©Airbus
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chrisa320 a commenté :
13 octobre 2017 - 17 h 53 min
Juste magnifique
Créer un pool aerien.... a commenté :
13 octobre 2017 - 18 h 58 min
Pour exploiter rentable ment un si gros appareil qui plus est aménagé en haute densité, et en plus destiné au marché unique du transport des pèlerins vers l’Arabie Saoudite, il serait logique , si Malaysia cherche d’autres investisseurs, de creer avec d’autres compagnies aériennes issues de pays musulmans ( et donc confrontées aux mêmes besoins de transports de masse de personnes) une sorte de pool qui logerait ces appareils, en assurerait la commercialisation et l’exploitation economici-operationnelke..
Je suggère un nom: TransPilgrim Air…
Markus a commenté :
13 octobre 2017 - 21 h 59 min
Les A380 de Singapore Airlines n’ont pas trouvé de repreneur et pour ceux de Malaysia la perspective n’est guère meilleure. J’aime Airbus, j’aime l’a380, mais le ciel se noircit… ce qui m’étonne c’est la faiblesse commerciale de l’a380 sur le marché chinois ? Beaucoup de gens, des aéroports saturés, mais Pas d’a380?!
Cas particulier, peut être. a commenté :
14 octobre 2017 - 8 h 02 min
Je suis d’accord avec vous que le ciel s’assombrit pour cet appareil dont, sauf miracle chinois ou autre on ne voit plus très bien ce qui pourrait lui donner une nouvelle vie…
Cependant, concernant tout spécifiquement les 4 appareils que Singapoyr retourne au loueur -ce mois ci dilueras!- un petit bémol est à rajouter: ces 4 machines la sont les 4 premières sorties de fabrication….et donc précisément de celles qui ont subi les avatars des défauts de coordination entre équipes françaises et allemandes: souvenez vous…à l’epoque, les sous ensembles devaient arriver à Toulouse tout équipes, pour y être assemblés entre eux en provenance de diverses usines européennes : stupeur lorsque l’on s’aperçut que certains sous-ensembles allemands et francais ne concordaient pas au niveau des raccords de plusieurs câblages électriques…. Pas un soucis de securite, ni rien qui pouvait mettre en péril le fonctionnement de l’avion, juste un probleme ( sérieux) de production industrielle…probleme qui fut résolu par la suite… Mais les X premiers exemplaires montés ont du être repris ” à la main”, au cas par cas…et les 4 appareils de SIA en font partie et il existe autant de montages bidouilles que d’exemplaires…ce qui pose des problèmes d’entretien – et en augmente les couts!-: je suppose que cet aspect des choses, bien qu’invisible et sans effet pour le public et la conduite des vols, ne facilite pas le placement de ces machines la sur le marché de l’occasion!
Cas particulier, peut être. a commenté :
14 octobre 2017 - 8 h 07 min
…un peu à l’image des ” terrible ten”: les dix premiers exemplaires produits des B787-8 de Boeing qui ne correspondaient pas au prévision de poids: bien plus lourds que prévus, ils ont donc des performances réduites à des couts supérieurs et Bieing à encore bien du mal à placer, meme a vil prix, les derniers exemplaires qui lui restent encore sur les bras des Annees plus tard…( 2 de ces 10 avions ont été vendues à Air Austral, entre autre)
Alain73 a commenté :
14 octobre 2017 - 11 h 13 min
Et 3 des ces avions à air Tahiti nui si j ai bonne mémoire!