Publié le 2 décembre 2025 à 09h00
Crash du Rio – Paris : Airbus réagit (2/3)
Publié le 6 juillet 2012 à 07h30 par François Duclos
@BEA
Vous avez apprécié l’article ?
Soutenez-nous, faites un don !
Commentaire(s)
Faire un don
Appel aux lecteurs !
Soutenez Air Journal participez à son développement !
Derniers commentaires
Ali Kanzatu a commenté l'article :
Casablanca–Los Angeles : Royal Air Maroc ouvre la première liaison directe Afrique–côte PacifiqueNom a commenté l'article :
Airbus A350F : tests système lancés, certification ciblée au deuxième trimestre 2027Oumarou a commenté l'article :
Casablanca–Los Angeles : Royal Air Maroc ouvre la première liaison directe Afrique–côte PacifiqueChecklist a commenté l'article :
Boeing récupère Spirit AeroSystems, Bruxelles et Washington verrouillant les garde-fousLire aussi
Boeing récupère Spirit AeroSystems, Bruxelles et Washington...
Airbus réduit son objectif de livraison à 790 avions en...
Airbus resserre les procédures relatives aux décollages...
Abonnement
Publicité
masquée
Nos abonnés bénéficient d'une navigation fluide sans bandeaux publicitaires pour une meilleure lecture de nos contenus.
Pseudonyme
réservé
Votre pseudonyme est validé à partir de votre adresse mail, empêchant qu'un autre lecteur publie un commentaire à votre place.
Commentaire
instantané
Votre commentaire est publié instantanément. Les commentaires des non-abonnés ne sont publiés qu'après modération par notre équipe.
Articles les plus
consultés du mois
Publié le 1 décembre 2025 à 12h00 par Joël Ricci
Publié le 1 décembre 2025 à 10h00 par Joël Ricci
Publié le 1 décembre 2025 à 15h00 par Ricardo Moraes
Publié le 2 décembre 2025 à 08h00 par Joël Ricci
FJ Scholl a commenté :
6 juillet 2012 - 19 h 34 min
Que c’est gentille. Mais ou est le programme de sécurité dans l’ordinateur de bord centrale qui aurait pu éviter ce drame ?
L’avion volait à une altitude déterminé (+/- X feet du aux mauvais temps) su par l’ordinateur. Pour voler à cette altitude en palier il faut une certaine vitesse envers l’air . Pour garder cette vitesse il faut une certaine poussé N1 . Etant donné que la vitesse indiqué était faux et en considérant les mesures de l’altitude de l’appareil comme correct, l’ordinateur de bord « savait » que l’avion n’était pas entrain de rouler sur le tarmac d’un aéroport quelconque. Pourquoi l’ordinateur de bord n’a pas réglé la pousse automatiquement au valeur N1 nécessaire pour voler au palier à cette altitude et n’a pas empêché le copilote de cabrer la machine à un point qu’elle ne pouvait plus voler ? Est-ce qu’un programme de ce gente n’est pas dans l’ordinateur centrale catégorie sécurité ? Et pourquoi pas ?