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Publié le 26 mai 2016 à 07h30 par François Duclos
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Alexis a commenté :
26 mai 2016 - 8 h 06 min
Ça fait quand même deux accidents d’avion récents où on est comme à rechercher une aiguille dans une botte de foin. On devrait généraliser rapidement le tracking satellite même si c’est ultra coûteux (quel budget à été englouti par l’Australie et bientôt l’Égypte ?)
Vincent 69 a commenté :
26 mai 2016 - 9 h 42 min
Non, ici, la zone de crash est tout de même bien délimitée. Le problème est de pouvoir descendre à 2 ou 3 000 m de profondeur.
Cela étant, il est vrai qu’il est impératif de pouvoir localiser avec précision tout aéronef en survol maritime.
Mais on est revient toujours au même souci : cela a un coût à répercuter sur les passagers.
Richie RSA a commenté :
26 mai 2016 - 11 h 57 min
Ce a quoi je repond qu’au lieu d’investor des millions dans le wifi, il serait plus judicieux de les investir dans le systeme de localisation en temps reel. N’en deplaise en accros du net, je prefere la securite et avoir le calme dans la cabine pendant le vol.
GLLOQ a commenté :
26 mai 2016 - 14 h 08 min
Tout à fait d’accord, la localisation précise des aéronefs sur l’eau est indispensable, les risques changent, et le problème du coût doit pouvoir être surmonté surtout si le trafic passagers continuent d’augmenter. Je suppose que tous les avions de transport ont un récepteur Gps qui doit pouvoir envoyer en quasi continu la position à la compagnie exploitante qui déjà reçoit des informations techniques.
Vincent 69 a commenté :
26 mai 2016 - 14 h 54 min
Là, il n’est question que de survols maritimes, donc de zones non, mal ou peu couvertes par le GPS, sans quoi cela serait fait depuis très longtemps à moindre coût.
Il s’agit bien d’un nouveau système à concevoir.
Alexis a commenté :
26 mai 2016 - 18 h 18 min
Le tracking GPS existe sur l’eau puisque les bateaux s’en servent !