Publié le 1 décembre 2024 à 10h00
Le Canada va interdire le débarquement forcé de passagers en cas de surbooking
Publié le 21 mai 2017 à 13h00 par Thierry Blancmont
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ajar a commenté :
21 mai 2017 - 16 h 17 min
Ah le Canada son sirop d’érable ses cabanes, son gouvernement bien pensant …le rêve quoi ….
Shôgun a commenté :
21 mai 2017 - 21 h 09 min
Qu’est-ce que ça veut dire “gouvernement bien pensant” ?
En tout cas, cette décision est bienvenue.
Le fait d’être une grosse entreprise, d’avoir une armée de juristes et de lobbyistes à son service ne saurait donner tous les droits, ni permettre tous les abus.
Un client qui a payé son billet et réservé un vol ne saurait être privé du service qu’il a payé sans une indemnisation conséquente.
Si une compagnie vend davantage de produits qu’elle n’en dispose, c’est à elle d’en payer les conséquences, non au client.
CORSEBA a commenté :
21 mai 2017 - 17 h 43 min
Belle idée !!! et on fait quoi s’il y a un nombre de pax supérieur à la capacité de l’avion ? on débarque les équipages ??? Le CDB même s’il faut !!!
Alain45 a commenté :
22 mai 2017 - 9 h 57 min
Le cas d’United Airlines était particulier, il n’y avait PAS de CLIENTS passagers en trop ! Ceux-ci étaient d’ailleurs assis à LEUR PLACE.
Le problème est venu non pas d’un réel surbooking (vous êtes bloqué et averti bien AVANT) mais du personnel United Airlines de dernier moment, qui aurait du prendre un autre vol !
Rd24484 a commenté :
21 mai 2017 - 18 h 31 min
Question un peu naïve de ma part mais bon…
Prenons une situation “extrême”:
Pour x ou y raison, le personnel d embarquement autorise Pmax + passagers à emprunter la passerelle d’accès à l’avion.
Que se passe-t-il? L’avion n’aura pas le droit de décoller s’il y a plus de passager que de places. Du coup on fait comment si tout le monde refuse de descendre? Le pragmatisme canadien devrait savoir que de telles erreurs humaines existent. (Panne du logiciel d’embarquement , …)
Donc en Europe il faut se précipiter sur le siège le plus proche et s’asseoir au plus vite… bon à savoir.
B744 a commenté :
21 mai 2017 - 18 h 43 min
Bon , ils vont autoriser le voyage debout alors !
Sinon comment gérer les surbooks?
seb a commenté :
21 mai 2017 - 19 h 27 min
Un commentaire bien inutile Ajar…
Pet a commenté :
21 mai 2017 - 22 h 08 min
@ajar
Trop bien pensant et qui génère un sombre ennui dès 48 heures là bas, sf Vancouver. Rn plus l’hiver 8 mois sur 12..
Jacques Amstein a commenté :
22 mai 2017 - 7 h 25 min
Vendre une chose que l’on n’a pas, est de l’escroquerie.
Alain45 a commenté :
22 mai 2017 - 10 h 20 min
C’est un peu plus compliqué que cela…
Dans tous les cas, au final, le client a ce qu’il a acheté, donc on ne peut pas parler d’escroquerie.
Certains passagers achètent les billets flexibles (les plus chers) permettant de changer la date de départ, donc forcément si le vol est complet, un passager au prix de base ne pourra prendre le vol. Donc dans certains cas c’est un bénéfice et un service pour certains passagers…
Egalement, le statut selon les compagnies permet d’acheter un billet 12h00 heures avant le départ. Idem si le vol est complet, un passager au prix de base ne pourra prendre ce vol.
Jean ubota a commenté :
22 mai 2017 - 14 h 49 min
Nous sommes en face d’un rapport de forces entre les passagers importants et cossus et ceux qui ne le sont pas, qui reproduit les classes sociales de la société. Les gens d’affaires presses et imbus d eux-mêmes ont un statut social plus élevé que les simples touristes qui paient des billets à rabais et qui sont pas pressés et désoeuvrés.
Alors on débarquera plus sûrement des touristes de cette game que des gens d affaires car les compagnies craignent d offenser des gens qui ont réellement du pouvoir et de l influence mais se fichent du petit fretin que l’on peut facilement abuser.
La meilleure solution serait d’exclure du surbooking toute personne déjà à bord et de compenser généreusement et rapidement tout passager qui accepte de Céder son siège avant l’embarquement.