Pandémie de Covid-19 oblige, le trafic du groupe aérien franco-néerlandais a chuté de 56,6% en mars avec 3,597 millions de passagers. Air France affiche -58,8%, quand KLM Royal Dutch Airlines perd 54% et la low cost Transavia 56,6%,
Les statistiques d’Air France-KLM pour mars 2020 sont « fortement impactées par le COVID-19, reflétant l’extension progressive des réductions de capacité suite à l’expansion mondiale du virus ». Des vols spéciaux ont été opérés par Air France, KLM et Transavia pour rapatrier les citoyens dans leur pays d’origine, en étroite collaboration avec les gouvernements français et néerlandais, précise le communiqué du groupe. Pour avril et mai 2020, le Groupe prévoit que « plus de 90% de la capacité prévue sera suspendue en raison des restrictions de voyage imposées au niveau mondial » pour contrer la propagation du coronavirus ; Air France et KLM ont l’intention de continuer à desservir des paires de villes clés à partir de leurs hubs respectifs sous forme d’opérations réduites. Au-delà de mai 2020, le groupe n’est actuellement « pas en mesure de fournir des informations en raison du niveau élevé d’incertitude sur la durée de la crise » ; il suit l’évolution de la situation au quotidien « en évaluant en conséquence si des ajustements complémentaires sont nécessaires sur le réseau ».
En mars 2020, Air France-KLM affiche une baisse de 50,6% du trafic en PKT (passager kilomètre transporté), sur des capacités en SKO (siège kilomètre offert) en recul de 35,5. Le coefficient d’occupation global du groupe, toutes filiales comprises, recule de 20,5 points de pourcentage à 67,1%. La recette unitaire au siège kilomètre offert (RSKO) n’est pas mentionnée dans le communiqué publié ce jeudi matin.
L’activité passage réseaux, regroupant les compagnies aériennes Air France (HOP incluse) et KLM, a accueilli 3,065 millions de passagers en mars, un résultat en baisse de 56,9% par rapport au même mois l’année dernière. Le trafic en PKT recule de 51,0% sur des capacités en SKO baissant de 34,8%, pour un coefficient d’occupation à 65,4% (-21,6 points). Le nombre de voyageurs sur le seul long-courrier recule de 48,6% (1,166 million de passagers), et en particulier de 49,5% sur l’Amérique du nord, de 37,7% sur l’Amérique latine et de 65,8% vers l’Asie ; il est également en baisse de 41,8% sur l’Afrique et le Moyen-Orient et de 38,2% vers les Caraïbes-Océan Indien. Le coefficient d’occupation moyen sur le long-courrier est de 66,7% (-21,0 points). L’activité court et moyen-courrier est en baisse de 60,8% avec 1,899 million de passagers, et une occupation à 58,8% (-25,5 points).
©Air France
Air France (incluant désormais sa filiale régionale HOP) a accueilli en mars 1,795 million de passagers, un résultat en baisse de 58,8%. Le trafic en PKT recule de 52,5% sur des capacités en SKO en baisse de 37,0% ; le coefficient d’occupation a perdu 21,3 points de pourcentage à 65,3%. Le court et moyen-courrier affiche 1,109 million de passagers (-62,9%), avec une occupation à 59,6% (-23,4 points) ; le long-courrier a transporté 686.000 voyageurs (-49,7%), avec une occupation moyenne à 66,4% (-21,1 points).
@AF-KLM
KLM Royal Dutch Airlines a de son côté accueilli 1,271 million de passagers le mois dernier (-54,0%), avec un trafic en PKT à -48,9% sur des capacités en SKO à -31,6% ; le coefficient d’occupation s’établit à 65,4% (-22,1 points). Le court et moyen-courrier affiche 790.000 passagers (-54,7%), avec une occupation à 57,8% (-28,5 points) ; le long-courrier a transporté 480.000 voyageurs (-46,9%), avec une occupation en baisse de 20,9 points à 67,0%.
©Transavia
Transavia, la filiale low cost du groupe de l’alliance SkyTeam, a accueilli le mois dernier 532.000 passagers (-54,6%), avec une baisse de capacité (-43,3%) inférieure à celle du trafic en PKT (-46,3%) ; le coefficient d’occupation recule de 4,9 points par rapport à mars 2019, à 89,3%.
Enfin l’activité fret d’Air France-KLM a vu son trafic mensuel en TKT (tonne kilomètre transporté) baisser de 28,8% le mois dernier, sur des capacités en baisse de 27,8% ; le taux de remplissage recule de 0,8 point de pourcentage à 61,5%. Dans le détail, le cargo Air France voit son taux de remplissage chuter en mars de 2,0 point à 55,2%, sur un trafic en TKT en baisse de 22,5%, quand le taux de remplissage du cargo KLM perd 0,2 point à 67,3% sur un trafic en TKT en baisse de 24,7%.
Sur les trois premiers mois de l’année 2020, Air France-KLM a vu son trafic reculer de 20,1% avec 18,111 millions de passagers transportés, et un coefficient d’occupation en baisse de 6,1 points de pourcentage à 80,7%.
How has air traffic changed over the past month? ‘Before & after’ images from around the world: https://t.co/NMlnqYyF6d pic.twitter.com/7hcp5XJ5d0
— Flightradar24 (@flightradar24) April 8, 2020
©Air France-KLM
Votre questionnement relève de la polémique inutile a commenté :
9 avril 2020 - 9 h 32 min
les directions de AFKLM,LH,IAG et autres font exactement la même chose et il est tout sauf évident ( sauf pour vous, peut être ) d’avoir les éléments factuels qui permettent de connaitre le contexte futur avec précision…d’où cette ” incertitude” qui empêche de “fournir des informations” précises.
faut pas être grand clerc pour comprendre ça, et jouer au jeu du lanceur non pas d’alerte mais de polémique inutile, n’est pas jouer un coup de maitre mais ressemble plus à une volonté de patauger dans le marigot.
TITOF0607 a commenté :
9 avril 2020 - 9 h 43 min
Bien malin qui va pouvoir prédire les comportements des clients et des entreprises concernant les déplacements. Je vous rappelle quand même que la stratégie de ce groupe est faite par B. Smith et son équipe et non Madame Idrac qui a la fonction de Présidente non-exécutive du groupe Air France-KLM. Ce rôle de président non exécutif est un rôle symbolique.
Par ailleurs puisque vous parlez de LH, AF de son côté à annoncé le retrait par anticipation des 380 et 340, la bagatelle de 11 avions …
HIRUNDO a commenté :
9 avril 2020 - 11 h 27 min
Bonjour,
Vous avez écrit : “AF de son côté à annoncé le retrait par anticipation des 380 et 340, la bagatelle de 11 avions …”
Où avez-vous entendu ou vu que la compagnie Air France avait annoncée ces retraits anticipés ?
Merci à vous.
@totof a commenté :
9 avril 2020 - 21 h 52 min
Aucune annonce de la part d’AF du retrait anticipé d’A340 et d’A380.
C’est pourtant du bon sens, mais on attend toujours…
Sam a commenté :
9 avril 2020 - 9 h 57 min
Polémique inutile n’appelant aucun commentaire.
Mais si vous avez des suggestions intéressantes, nous les entendrons avec plaisir.
Fabien a commenté :
9 avril 2020 - 11 h 23 min
Puisque vous semblez être spécialiste, proposez vos services!!! 🙁
Quant à la stratégie du groupe LH, qui vous dit qu’elle est la bonne? Qui vous dit qu’ils ne vont pas regretter toutes ces réductions de capacité?
@fabien a commenté :
9 avril 2020 - 21 h 54 min
LH mène très bien sa barque dans la crise.
Elle ne risque pas de regretter cette réduction de capacité, car cette réduction est temporaire, et qu’un avion qui ne sert pas coûte très chère à entretenir.
Alain a commenté :
9 avril 2020 - 12 h 29 min
Je ne vois pas de polémique stérile dans ce premier post.
Indiscutablement, LH prend les devants et agit rapidement. Réduction de la flotte dans un premier temps ; fort probablement licenciements à court terme. Face à ce défi, ça semble comme une évidence.
La stratégie d’AF sera sûrement d’éviter tout licenciement, attendre d’être au pied du mur quand le cash du prêt cautionné par l’état sera brulé, avant de juste soulever la question de licencier.
Une aide de l’état doit s’inscrire dans une stratégie viable à moyen/long terme pour les compagnies aériennes.
Prêter à une société juste dans l’espoir de “passer l’hiver” au lieu d’être prête à rebondir quand le moment sera venu est du gaspillage. J’espère que les Etats s’assureront de la viabilité des projets avant de distribuer notre argent.
Donc, je ne vois vraiment pas en quoi la question soulevée est une “polémique inutile”, terme qui revient souvent quand on ne pense pas comme certains.
bernard a commenté :
9 avril 2020 - 12 h 42 min
Beaucoup de gens attendent avec impatience la fin du confinement pour prendre des billets d’avion.
ça ne va pas arrêter les gens de bouger
herve a commenté :
9 avril 2020 - 21 h 57 min
Il faudra déjà que les frontières soit ouvertes…
Il suffit de voir la Chine, qui, alors qu’elle annonçait le contrôle de l’épidémie, à décider d’interdire les touristes, et de limiter au minimum les vols.
-Il faudra ensuite que les gens ait envie de partir à l’autre bout du monde et de prendre le risque de tomber malade à l’autre bout du monde.
ARNAUD a commenté :
9 avril 2020 - 13 h 08 min
Vous confondez madame Idrac et madame Couderc
Poser la question “a quoi sert le management” est totalement inutile. Pour être efficace un management a besoin de visibilité, or actuellement on est tous dans la brouillard, aussi bien le président d’Air France que la plus petite PME.
Alain a commenté :
9 avril 2020 - 14 h 53 min
Il y a assez d’évidences pour comprendre que ça va mal se passer, pas besoin d’être visionnaire. La question pour les multinationales comme pour les PME n’est pas la visibilité mais la difficulté de licencier ; toutes les sociétés savent que c’est une nécessité pourtant. Si la situation s’améliorait plus vite que prévu, il serait toujours temps de rappeler les personnes licenciées.
Sauf que... a commenté :
9 avril 2020 - 16 h 16 min
Suite à la crise financière de 2008/9, la France a licencié en masse ( reportez vous aux augmentations rapides du chômage mois après mois ces années là) quand l’Allemagne maintenait les liens employeurs-employés à l’aide de plusieurs dispositifs sociaux.
Conséquence: à la reprise, les employeurs allemands rappelaient des gens toujours salariés de l’entreprise qui donc revenaient immédiatement reprendre leurs postes et produisaient dans l’instant, quand en France il fallait sélectionner-embaucher-former de nouveaux salariés, les anciens salariés, licenciés et donc libérés de tout lien avec l’entreprise étant partis voir ailleurs et n’étaient plus disponibles…
Résultat:la France s’est tapée une sortie de crise 3 fois plus longue que l’ Allemagne, et ce furent beaucoup plus de dégâts sociaux qu’en Allemagne…
Donc votre réthorique du licencions-immédiatement-et-rappelons-des-gens-si-besoin-après est fausse: nous en avons déjà fait les frais une fois , peut être pourrait-on éviter de refaire les mêmes erreurs, non?
+1000! a commenté :
9 avril 2020 - 18 h 19 min
Ca serait effectivement bien si nous pouvions nous souvenir et apprendre de nos erreurs passées!
herve a commenté :
9 avril 2020 - 22 h 07 min
En ce qui concerne l’aérien, vous pouvez licenciez et augmenter la sous traitance au sol lors de la reprise.
En conséquence, votre remarque sur le maintient des compétences dans l’aérien n’est pas valable.
vous n'avez apparemment pas bien compris... a commenté :
10 avril 2020 - 8 h 47 min
Il me semble que vous n’avez pas bien compris comment les choses fonctionnent et que, même pour des emplois au sol puisque vous les évoquez, et même en externalisant, le soucis n’est pas dans le fait de “pouvoir ou ne pas pouvoir”, mais dans les délais avant d’avoir des gens opérationnels:,les emplois au sol dans l’aérien, pour l’immense majorité d’entre eux, nécessitent aussi des sélections et des formations règlementaires contraignantes faites par des formateurs agréés DGAC…outre les problèmes d’obtention des accréditations-sécurité par les services officiels d’Etat…et tout cela a un coût non négligeable, croyez moi!
Le choses, pour n’être pas insurmontables n’en sont pas moins très chronophages et couteuses: deux choses dont les entreprises n’ont surement pas besoin en période de sortie de crise quand les trésoreries sont exsangues…
En plus on ne voit pas très bien pourquoi votre raisonnement ne vaudrait que pour le monde aérien…mais si on l’étend à l’ensemble des activités…on revient pile-poil dans l’erreur de 2009….celle qu’il serait bon d’éviter de refaire, justement!
Paolo a commenté :
10 avril 2020 - 9 h 07 min
Si vous connaissiez un peu la réalité des faits au delà des apparences et des uniformes portés, vous sauriez que dans l’aérien en général, et également au sein de grosses boites comme air France, tous les jobs de petites qualifications et de faible plus-value ont DEJA été externalisés depuis longtemps sans tambour ni trompette…
La conséquence, ” c’est que votre remarque sur la remarque n’est pas valable”…
@PAOLO a commenté :
10 avril 2020 - 12 h 24 min
PAOLO, je connais très bien ce qui est sous traité ou non, pour avoir travailler au sol sur plusieurs aéroports.
Certaines choses sont sous traités chez AF, mais très peu, c’est la réalité.
C’est le sous traitant qui tri les bagages, mais c’est bien du personnel au sol AF qui traite l’avion au sol. Les RZA AF peuvent facilement être remplacé par de la sous traitance.
Il y’a beaucoup d’autres choses qui peuvent être sous traités.
Paolo a commenté :
10 avril 2020 - 13 h 09 min
Sauf que cela ne change RIEN au problème: nui vous mettez les RZA ( par exemple) à la porte, qui fera leur job? Une compagnie de sous traitance: ok sur le principe, mais quelle sera la compagnie de sous traitance qui ira embaucher des nouveaux RZA à former quand elle n’a pas de contrat: aucune!…et pourquoi si elle n’a pas de travail à fournir, irait elle embaucher des RZA-tout formés juste licenciés par AF?
conclusion: vos RZA sont licenciés par AF, qui n’en a donc plus à sa disposition quand la reprise revient, et la compagnie de sous-traitance n’en a pas non plus à fournir/ pour AF ou la sous traitance il faudra recruter-selectionner-former de nouveau…et on en revient au même point du temps qui passe au moment de la reprise que l’on risque de louper, sans pouvoir en tirer tous les bénéfices.
Bilan de l’opération: zéro pointé!
Et selon quel principe la sous traitance règlerait tous les problèmes au seul motif qu’il s’agit de sous-traitance?
Shôgun a commenté :
9 avril 2020 - 21 h 36 min
Encore une experte autoproclamée !
Les épidémiologistes ne sont déjà pas d’accord entre eux sur l’évolution attendue de la pandémie, les différents gouvernements de la planète changent de stratégie du jour au lendemain et la plupart naviguent à vue, mais, vous, vous avez déjà une vision claire de la situation à moyen terme…
Bien sûr, on va vous prendre au sérieux.
Nous écoutons vos prédictions et nous vérifierons dans trois mois, ça vous convient ? Mais attention, rendez-vous dans trois mois sur ce forum pour le bilan, et défense de changer de pseudo )
Nous vous écoutons…
Encore une bière pour la route, Cathy ?
herve a commenté :
9 avril 2020 - 22 h 10 min
Sur le fond Cathy à raison.
Chez AF on se demande pourquoi les têtes pensantes sont toujours aussi flou et lente sur la stratégie.
La peur des grèves et des syndicats certainement.
Alors, on continuera à faire voler des avions sur des lignes qui ne rapportent rien. Pour faire plaisir aux pilotes.
Un grand ménage s’imposerai pourtant.
bla-bla gloubi-glouba! a commenté :
10 avril 2020 - 8 h 54 min
Parce que vous en voyez beaucoup des avions AF ” que l’on continue de faire voler sur des lignes qui ne rapportent rien”?
Moins de 10% du programme initial de vol sera effectué en avril et mai…
Quand on voit les errements très récents de la direction du groupe LH – on fait une filiale low-cost/on arrête la filiale low cost…on fait du long courrier low cost/ on arrête le long courrier low cost…On achète des quadriréacteurs neufs depuis toujours quand tout le monde passe au biréacteur ( 340-600/380/747-8) et il faut attendre l’extinction de la fabrication des quadri. pour passer contraint et forcé au biréacteur ( 777X)….etc…, on se dit que la ligne stratégique ( si elle existe)reste floue en permanence… On se dit que c’est miracle que ce groupe arrive à gagner beaucoup de sous ( ça on ne peut pas le nier!)
HERVE a commenté :
10 avril 2020 - 12 h 32 min
-Je ne parle de l’après crise. On recommencera à faire voler les avions AF sur des lignes non rentable, pour ne pas fâcher les pilotes.
Alors que la logique voudrait qu’elles passent chez Transavia.
-Eurowings continuent à exister. Le long courrier low cost par eurowings continuera, pas d’annonces contraire pour le moment.
-Merci à Luthansa d’avoir toujours soutenu l’industrie européenne, avec l’achat d’A340, de 330, d’A320, et aujourd’hui de 350.
Et pour les PAX, le confort est incomparable entre un 340 et un bruyant 777.
Iberia possède également des 340, aucun 777, et le groupe IAG se porte merveilleusement bien !! Comme quoi !
Ah le gag! a commenté :
10 avril 2020 - 13 h 21 min
Vous accommodez la sauce et l’histoire à votre manière:
*) LH avait DEJA AVANT annoncé la fermeture de son réseau LC-Low Cost AVANT de se raviser..;donc si Eurowing-LC continue d’exister , c’est parce que LH a DEJA viré sa cutie sur le sujet… Vous avez dû prendre le train en marche.
*. Airbus n’avait pas envie de construire l’ A340 et AF n’en était pas demandeuse: ces deux là voulaient faire un BI-réacteur LC uniquement ( et AF était prête à en acheter en masse, soutenant ainsi aussi l’industrie européenne)…et c’est le REFUS de LH d’acheter des biréacteurs pour du transatlantique qui a conduit Airbus sur insistance ( le mot est faible) du gouvernement allemand à devoir développer un quadri-LC que AF s”est du coup vu contrainte d’acheter..Les A330 achetés par LH, en nombre hyper-limité et en achat très tardif n’étaient pour LH destinés initialement qu’à des vols LC hors survol des océans, type Europe-Afrique/Moyen Orient/ Inde…
Quelle que soit la compagnie ( AF BA LH ou autre grosse structure) vous croyez sincèrement qu’elle n’exploite QUE des lignes rentables?: si oui, votre naïveté est touchante!
HIRUNDO a commenté :
10 avril 2020 - 12 h 45 min
Hello,
Il est évoqué à juste titre la rationalisation anticipée de la flotte AF.
Mais quid de HOP ?