Avec l’intégration entre janvier et mai 2017 de six autres A319 (un à Nantes, deux à Toulouse-Blagnac et trois à Bordeaux-Mérignac), Volotea disposera de 28 avions : dix A319 et 18 Boeing 717. La compagnie projette de devenir une compagnie 100% Airbus dans les années à venir ; une « décision stratégique » qui lui permettra d’augmenter sa capacité de transport de 20%, passant des 125 sièges actuellement disponibles dans le 717 aux 150 que compte l’A319. Les deux modèles reconnus pour leur fiabilité et leur confort disposent de sièges inclinables et sont 5% plus grands que la moyenne, avec environ 76 cm de dégagement entre les sièges. L'A319 permet également d'exploiter des destinations plus lointaines pour conquérir de nouveaux marchés. Alors que le 717 a une portée de 2500km, l'A319 atteint 3500km.
« Cette troisième place dans le classement des compagnies low cost les plus ponctuelles en Europe prouve le professionnalisme et le bon travail de tout le personnel de Volotea. Un statut qui confirme également l'objectif principal de la compagnie : proposer chaque jour le meilleur service à nos passagers », déclare son PDG Carlos Muñoz dans le communiqué. Volotea enregistre aussi un taux de recommandation client proche de 90% ainsi que le taux de croissance des capacités en ASK (available seat kilometer) le plus élevé en Europe.
Quatre années après le lancement de ses opérations en avril 2012, Volotea continue son développement. Pour pouvoir atteindre ses objectifs, la compagnie est passée de 2 bases en 2012 (Venise et Nantes), à sept en 2015 (Venise, Nantes, Bordeaux, Palerme, Strasbourg, Asturias et Vérone). En 2016, Volotea a ouvert sa huitième base à Toulouse et a annoncé le 1er juin l’ouverture de celle de Gênes qui devrait être opérationnelle d’ici 2017. En 2017, Volotea opérera des vols vers 16 pays : France, Italie, Espagne, Allemagne, Grèce, Croatie, République Tchèque, Israël, Albanie, Moldavie, Portugal, Malte, Royaume-Uni, Autriche, Irlande et le Luxembourg proposant entre 240 et 250 lignes, vers 79 villes françaises et européennes. « Grâce à son modèle de vols directs à bas prix entre les régions et à son service de qualité », Volotea prévoit d’atteindre plus de 3,4 millions de voyageurs en 2016 soit une augmentation de 40% par rapport à l’année précédente et 4,4 millions de passagers en 2017.
Bougel a commenté :
15 novembre 2016 - 16 h 20 min
Mais on se moque de qui allez sur les forum lire les remarques des passagers volotea laissés pour compte dans les aéroports parfois plus de 12 heures sans aucune nouvelles de cette compagnie et plus grave sans indemnités de retard, nous en avons fait la triste expérience
Un peu de réflexion, SVP... a commenté :
15 novembre 2016 - 17 h 27 min
Avant de s’emballer et de parler cru et pointer ce qui ne va pas en cas de longs retards,il faudrait comprendre et intégrer ce que signifie vraiment l’article.
Pour vous aider:
*) cette place de numéro 3 est obtenue ” pour le deuxième mois consécutif ” (il s’agit de septembre et octobre)…Conséquence:Toutes les mésaventures dont vous rencontrez l’écho sur internet qui ont eu lieu AVANT septembre ne sont pas concernées, et on ne sait rien de la place de Volotéa dans le classement ponctualité avant septembre.
*) La place de numéro 3 signifie qu’il y a encore 2 autres compagnies devant elle dans ce classement…et Volotéa ne prétend pas ( encore?) être “la meilleure”.
*) La ponctualité de ces deux mois n’étant pas de 100% cela signifie que, même pendant ces 2 mois, certains vols ont eu du retard, et qui sait, peut être même beaucoup ( 12H?) … Le classement se situe sur la ponctualité et pas sur la qualité d’un service/ d’une assistance lors d’un (long) retard: il ne vous aura pas échappé que Volotéa est et reste une low cost comme d’autres, type de compagnie en général moins reconnues pour cette partie de service ( mais qui reste à mettre en rapport avec les prix acquittés par les clients).
*) les A319 qui semblent aider à remonter la ponctualité globale de Volotéa peuvent aussi avoir des pannes ou rencontrer d’autres problèmes qui génèrent de longs délais.
OUI, ENFIN... a commenté :
15 novembre 2016 - 19 h 07 min
L’article précise : “en partie grâce à ses Airbus A319”
De fait, en B717, ce n’est pas la même histoire… Ces avions sont très souvent en panne.
Ben voyons a commenté :
16 novembre 2016 - 12 h 32 min
En fait les 319 basés NTE enregistrent plus de retard, ils sont plus souvent retenus au sol que les 717 pour raisons techniques. Bien que toutes les compagnies soit soumises aux même standard de maintenance, les gens continuent de penser que low-fares = avions poubelle, en fait, les seuls budgets sur lesquel les low-cost ne tirent pas ce sont ceux de la maintenance et de la sécurité.
La majorité des retards sont dus à des mauvaises interprétations des procédures de turn-around propre à la compagnie. Les sous-traitant mélangent bien souvent les procédures des compagnies traitées , de ce fait les vols opérés en Airbus souffrent, en plus du temps très court d’escale (25 minutes), de confusion avec les procédures des autres compagnies au temps d’escale court opérants le même type de rotations rapide. Le budget accordé aux sous-traitant justement n’est pas le même et si les compagnies lachaient un peu plus de sous pour les sous traitant operations sol, ils ne seraient pas en sous-effectifs et pourraient assuré un service plus adapté. Parfois les agents de piste s’occupent de trois vols en même temps.
Il faudrait aussi pointer le temps que mettent beaucoup de PAX à s’installer en cabine même si la plupart sont conscient que d’autres attendent et possède ce qu’on appel le savoir-vivre, une autre partie d’entre eux s’obstinent à faire une pause photo en bas des escaliers, à chercher au milieu de l’allée différentes choses dans leur bagages qui pourrons occuper leur 1h10 de vol etc…
Le respect des conseils indiqués un peu partout (carte d’embarquement pour les type de bagages acceptés et leur place en cabine dans les coffres ET sous les sièges comme partout)changerait pas mal les processus d’escale.
En général tout cela est intégré par les différents acteurs (PAX, sous-traitant, equipages…) sur les petits aéroport qui ne souffrent pas de trafic intense ou de sous effectifs, les passagers fréquents finissent aussi par comprendre que les compagnies low-cost ne sont pas là pour assurer le meilleur de ce que l’aerien peut offrir dans tout les domaines, ces compagnies sont là pour un transport rapide et efficace. Mais comme partout, de AF à V7 en passant par Hop! et Easyjet, les avions sont des machines et lorsque quelquechose doit être vérifié, les décsions sont loin d’être prisent à la légère et jamais dans le but de pénaliser le client mais bien dans celui de le protéger.
Fabrice a commenté :
9 décembre 2016 - 14 h 54 min
Belle analyse
Fred a commenté :
16 novembre 2016 - 9 h 02 min
Il existe une règlementation européenne concernant les retards applicables a ttes les compagnies avec une indemnisation – vous pouvez vous faire indemniser mm plusieurs années après les vols concernés et si la compagnie ne répond pas, il y a un site spécialisé qui effectuera les démarches à votre place
beber a commenté :
15 novembre 2016 - 17 h 07 min
Pour ma part pas eu de pb avec Volotea, même un peu d’avance … mais je n’ai fait que 2 A/R avec eux (TLS-Brest les 2 fois) et en période creuse (mars et octobre de cette année).
Inukshuk a commenté :
15 novembre 2016 - 23 h 20 min
Il faut effectivement lire entre les lignes: le classement établit le % de vols à l’heure. Mais ne fait pas référence à ceux qui ne le sont pas, et effectivement au temps de retard des vols. Car si un retard de 20 minutes par exemple ne marque que peu le client, les retards de Volotea, lorsqu’ils ont lieu, sont plus que conséquents et se comptent en multiples d’heures, ce que retient facilement le client.
D’autant que la politique de V7 est claire: ne pas payer un kopeck de dédommagement au client, réglementation UE ou pas… C’est là que commence le parcours du combattant!