Les aéroports bretons en danger face à la LGV

Commentaire(s)

1. fred a commenté :

   20 avril 2012 - 17 h 58 min
   

   Et bien il va falloir se mettre au low cost La Rochelle Limoges Poitiers Bergerac y arrivent bien: ouvrir des lignes sur le Royaume Uni ( y faire venir des touristes) ou viser une nouvelle clientele locale vers le soleil

   Répondre

2. Alain a commenté :

   21 avril 2012 - 10 h 13 min
   

   Effectivement les aéroports cités (mais aussi Lorient, Quimper etc) vont souffrir. Quant à se tourner vers le low-cost comme l’ecrit Fred il ne faut pas oublier que les low-costs britanniques ne viennent que moyennant de confortables enveloppes sur le dos du contribuable local! Et pour ce qui est de St. brieuc et Lannion il existe déjà des liaisons maritimes avec le Royaume-Uni dons le plein de touristes venant de cette région est quasi déjà fait!
   Quite à déverser l’argent du contribuable je chercherais -si j’étais dirigeant d’un de ces aéroports- plutôt la clientèle Allemande, Suisse etc etc.

   Répondre

   1. Michel C a commenté :

      21 avril 2012 - 12 h 29 min
      

      De toute façon, je crois que le contribuable y va déjà largement de sa poche pour maintenir en activité un aéroport (Saint-Brieuc) sans ligne régulière et avec 6 passagers par jour en moyenne (!) – et un autre (Lannion) avec une seule ligne régulière, cette ligne étant subsidiée comme service public … Tout cela doit coûter cher au contribuable !

      Répondre

      1. Frédéric Tourcouin a commenté :

         22 avril 2012 - 16 h 48 min
         

         @Michel C : Bien que le contribuable participe grossièrement à l’exploitation de cet aéroport – aide de l’Etat de 1 200 000 € au titre de l’OSP (Obligation de service public) – cette participation permet le maintien de centaines d’emplois directs et indirects, l’unique ligne entre Orly et Lannion jouant un rôle majeur dans l’essor du pôle d’activités Lannion Pégase, sa communication avec la capitale et l’étranger. Discuter de l’existence de l’aéroport dans un moyen/long terme, c’est accepter de se faire “assassiner” par les populations locales qui finiront sur le carreau, lorsque des dizaines d’entreprises seront parties.

         Répondre

3. Breizh a commenté :

   21 avril 2012 - 10 h 55 min
   

   Et la colonisation de la france en Bretagne continue.

   Répondre

4. Dendievel a commenté :

   22 avril 2012 - 10 h 37 min
   

   Ici on annonce carrément “l’ arrêt de mort” de plateformes bretonnes !! Incroyable , Air journal modérez vos propos un peu , ne faites pas dans la presse a sensations, c’ est pas ce qui est recherché dans l’ information aéronautique .

   Répondre

   1. Frédéric Tourcouin a commenté :

      22 avril 2012 - 16 h 38 min
      

      @Dendievel : “D’après les Echos” annonce une citation, n’est-ce pas ? C’est donc le journal “Les Echos” qui tient ces propos “à sensations”, notre rôle étant d’assurer la continuité de l’information aéronautique, nous l’assurons.

      Répondre

5. Dendievel a commenté :

   22 avril 2012 - 18 h 23 min
   

   Meaculpa, c’ est effectivement Les Echos, avouons tout de même que le titres est un peu exagéré.
   Quand à :”notre rôle étant d’assurer la continuité de l’information aéronautique, nous l’assurons” je peu le confirmer et vous en remercie ,

   Répondre