Le 15 avril 1959 dans le ciel : La Caravelle « Lorraine » F-BHRA va de Paris à Dijon en vol plané

Commentaire(s)

1. fred le corse a commenté :

   15 avril 2014 - 1 h 15 min
   

   mmmmmmmh la caravelle….. 🙂

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2. Gian a commenté :

   15 avril 2014 - 5 h 55 min
   

   AF s’arrête sur la nostalgie d’un passé envolé!

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   1. HAWK18 a commenté :

      15 avril 2014 - 6 h 27 min
      

      C’est pas Air France qui a écrit cet article…
      Va falloir vous faire examiner, cette tendance à toujours vouloir taper sur cette compagnie est affligeante !

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   2. rantanplan a commenté :

      15 avril 2014 - 8 h 55 min
      

      Cette manie de vouloir toujours “taper” sur AF alors que l’article parle essentiellement d’un exploit d’un appareil et non d’une compagnie me laisse pantois!!!! Comme le dit justement HAWK18, consultez!!!!!!!!!!!!

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3. SPOTTER38590 a commenté :

   15 avril 2014 - 9 h 46 min
   

   Très bel exploit d’une très belle Dame en ce 15 Avril 1959…
   En plus pour moi, c’est une date importante le 15 avril…
   J’avais 2 ans ( 1959 ) et aujourd’hui , je fête mes 57 Printemps…
   J’ai volé à bord de Caravelle série 3 / 6 / 10 / 12 des Cie AF / IT / EAS / Corse-Air …Même connu 2 atterrissages avec le parachute de queue … Que de très bons souvenirs …!!!…/…

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   1. Pschitt a commenté :

      15 avril 2014 - 10 h 23 min
      

      La Caravelle 3 ne possédait pas de reverse:cet équipement sur les réacteurs aujourd’hui hyper commun qui permet de freiner l’avion à l’atterrissage…Aussi l’avion était il équipe – comme les Mirages de Dassault!!!- d’un parachute de queue destiné a stopper l’avion en cas d’urgence….mais pas que:si la longueur de la piste ou son profil était “un peu juste”pour permettre a l’avion de s’arrêter le parachute était alors utilisé quasi systématiquement…Un aéroport en particulier nécessitait cette procédure:l’ancien aéroport de Oslo .Avec de l’eau tout autour,une piste assez courte et un profil “en pente” si vous arriviez et que la piste en service vous faisait atterrir “dans le sens pente descendante”( ce qui était presque toujours le cas vu les vents dominants!) alors l’usage du parachute de queue comme aide au freinage était systématique …Contrairement aux Mirage de Dassault,il n’y avait pas de largage du parachute une fois la vitesse contrôlée et sur tout le roulage jusqu’au parking arrivée,le parachute pendait lamentablement…le mécanicien escale repliait ce parachute et le réinstallait pour le départ suivant…Sur la Caravelle 3 le parachute est dans la pointe du cone fuselage et reste donc non identifiable…Plus tard sur les modèles avec reverse & APU ( que n’avait non plus la série 3) il fallut le déplacer pour pouvoir loger l’APU et sa sortie d’air chaud..on créa alors un fourreau pour loger le parachute ( malgré tout conserve…en cas d’urgence!) et ce fourreau,tourne vers l’arrière bien sur,c’est l’excroissance que sur certaines photos on voit au croisement de la dérive et du plan stabilisateur horizontal arrière…
      C’était la rubrique “ça se passait comme ça en ce temps la”…

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4. Aulongcourt a commenté :

   15 avril 2014 - 10 h 37 min
   

   Des souvenirs de Caravelle 3…En ce temps la je fis des saisons comme PNC chez AF…une année je la fis sur moyen courrier et vint le jour de ma première rotation en Caravelle: un Paris-Amsterdam-Marseille-Amsterdam-Paris…nous étions 4 PNC le chef de cabine décollait sur siège près de la porte avant ( celle qui roulait dans le fuselage comme sur DC 10 ,plus tard…) et l’hôtesse Première aussi:elle avait en charge les annonces micro car depuis l’arrière c’était impossible vu le bruit des réacteurs RollsRoyce Avon qui équipait l’avion ( colles au fuselage,n’oubliez pas…)Moi je décollais au fond avec le PNC “de l’arrière”, sur la banquette glissante perpendiculairement a l’axe de l’allée qui menait a cette superbe “porte sous la queue”.(une sacrée nouveauté alors qui faisait beaucoup jaser!!!)Avant premier décollage,ce PNC me dit “t’as tes boules quies?..””pourquoi?”..”t’en as pas: tu vas vite comprendre..”J’ai vite compris: a la première mise en poussée maxi décollage, entre vibrations et bruit infernal,j’ai cru que tout se déglinguait de partout..et l’heure de ma mort arrivée!!.Si j’avais été tout seul cette fois la,je crois que j’aurais appelé le poste de îlotage pour les avertir de la déglingue en cours….Après,je mettai mes boules quies…comme tout une ou deux générations de PNC…inutile pour le CC ou le CDB de nous appeler alors a l’arrière:on entendait pas le gong de l’interphone et le voya n’y lumineux n’était pas visible en position assise sur la banquette de décollage-PNC!!!!

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5. Aulongcourt a commenté :

   15 avril 2014 - 10 h 57 min
   

   Autre souvenir sur cette même rotation:l’arrivée sur MRS..Assis sur notre banquette arrière pour l’atterrissage,donc au fond de cette sorte de couloir d’où nous n’avions aucune vue sur l’extérieur,nous étions en approche finale sur MRS avec survol de l’étang de Berre…ça turbulence toujours un petit peu en approche par la…et qu’elle est longue cette approche…ça dure… Fatigués sans doute de devoir restes assis et attachés,je vois soudain plusieurs passagers se lever et tendre les bras vers les porte vêtements ( il n’y avait pas de porte bagages fermes donc en haut QUE des vêtements et chapeaux en haut et TOUT le reste ,parapluies compris était a mettre au sol entre les jambes!!!).je bondis hors de mon cagibi pour les faire asseoir…en leur parlant du danger de se lever a l’atterrissage….et une fois debout,on ne voit pas dehors car bien plus hauts que la ligne de hublots…Je lis l’incrédulité des pax qui me regardent…et soudain les réacteurs s’arrêtent….c’est MOI qui suis incrédule alors en voyant l’autre PNC reste au fond rire aux éclats:nous étions arrivés au parking…Comme le dit Pschitt,la Caravelle 3 n’avait pas de reverse…donc pas ce bruit et cette sensation de freinage fort a l’atterrissage…et le néophyte que j’étais n’avait pas fait la différence entre les soubressauts dus aux turbulences en approche au dessus de l’étang de verre et ceux dus au roulage après l’atterrissage..il est vrai aussi que tout était toujours pose en grande douceur ( typique de cette machine!) sans aucun heurt au toucher des roues…
   Dernier petit souvenir pour l’anecdote puis j’arrête,promis!: cette machine est la seule que j’ai connue où il y avait dans les toilettes Y a l’arrière un tout petit hublot en haut qui permettait (outre l’éclairage mais ça c’est du fonctionnel..)de pouvoir rêvasser en regardant le ciel bleu( ça c’est pour la poésie…)…tout en étant assis sur le trône !!!!si vous avez des photos de Caravelle de profil vous voyez ce petit hublot un peu au dessus et en avant des entrées d’air des réacteurs…

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6. Loupiot a commenté :

   15 avril 2014 - 12 h 15 min
   

   Souvenir de septembre 1968 avec utilisation du parachute de queue à Nice en provenance de Londres (c’est la personne qui m’attendait qui me l’a dit, assez inquiète) : pour un pax de base, étonnant car les conditions météo semblaient sans problème… La piste était-elle courte, à cette époque-là ?

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7. allons a commenté :

   15 avril 2014 - 14 h 12 min
   

   C’est très agréable de lire ce genre de commentaire, ça repose ….
   Mon seul modeste souvenir est ce passage , tous le matin, devant la Caravelle d’Air Provence stationnée sur les aires larges(souvent sierra) de CDG1 avant qu’elle ne soit envoyé à la “retraite”.

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8. Phil a commenté :

   15 avril 2014 - 18 h 00 min
   

   La Caravelle F-BHRA avait été baptisée ALSACE et non LORRAINE (F-BHRB)

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