Doublement étoilé au guide Michelin et chef Relais & Châteaux, Jean Sulpice est un pionnier de la gastronomie en haute montagne : à Val Thorens, au cœur du domaine des Trois Vallées, son restaurant se situe à plus de 2300 mètres d'altitude. Formé entre autres chez Marc Veyrat, Jean Sulpice y propose une expérience unique au cœur de son terroir de Savoie. Il met en scène la nature à travers une cuisine enracinée, limpide et acidulée, aux accords de saveurs toujours percutants sous leur apparente simplicité. Les produits locaux, les plantes et les herbes sauvages sont une source d'inspiration permanente et lui offrent une incroyable palette de goûts. Après ces quinze années en altitude, le chef Jean Sulpice vient de reprendre, avec son épouse Magali, l'Auberge du père Bise. Située sur les rives du lac d'Annecy, l'Auberge a longtemps été le témoin de la richesse de notre patrimoine gastronomique. Jean Sulpice poursuit donc l'histoire de cette maison emblématique en y apportant sa signature. Hiver comme été, il continuera à naviguer au sein de son terroir avec la même créativité. Les pieds dans l'eau et la tête vers les montagnes, la nouvelle auberge du père Bise par Jean Sulpice ouvrira ses portes en mai 2017, après la saison d'hiver dans son restaurant de Val Thorens.
Air France en profite pour rappeler l’offre des plats « à la Carte » disponibles sur l'ensemble des vols long-courrier au départ de Paris-CDG (excepté le vol AF022 vers New York-JKF). Les passagers de Première et de classe Affaires « bénéficient de plus de liberté et de plaisirs pendant leur vol », autour des saveurs d'Orient ou de la mer. Six plats sont proposés gratuitement aux clients en précommande avant le voyage : Cuisine thaïlandaise, Tradition chinoise, Saveur d'Inde, Saveur du Japon, Plaisirs de Corée et Panier de la mer. Les clients peuvent réserver le plat de leur choix entre 90 jours et 24 heures avant le départ de leur vol lors de l'achat du billet ou dans la rubrique "Gérez vos réservations" sur le site www.airfrance.com, dans les agences et centres d'appels Air France et lors de leur enregistrement du Internet ou mobile. Publié le 2 décembre 2025 à 09h00
Airbid a commenté :
10 janvier 2017 - 9 h 30 min
On ne mourra pas d’indigestion avec ce sur l’on voit dans l’assiette!
Pet a commenté :
10 janvier 2017 - 9 h 41 min
Je vs souhaite de comparer avec ce que l’on vs servira en vol. C’est généralement “bien servi”. La photo n’est qu’une photo.
genia a commenté :
10 janvier 2017 - 10 h 13 min
La dernière fois que j’ai pris la business, j’avais encore faim…. Le problème est que le service prend un temps fou pour strictement rien dans l’assiette…
Obtenir un deuxième verre de vin, c’est en moyenne 15mn d’attente…
La cuisine Jean Sulpice sur Air France, ça va être un supplice… comme cela l’est déjà maintenant… attendre, attendre, toujours attendre et rester avec une assiette vide pendant 15mn… et ne me parlez pas du menu “express”, car par définition, il y a encore moins sur le plateau….
Bref, on aimerait du bon, c’est naturel, mais aussi du consistant, quand on attendu son avion qui décolle à 23h, et encore deux bonnes heure d’attente en vol avant que l’entrée arrive, c’est dur… autre solution, se nourrir du jambon buvard, de la mauvaise salade de pommes de terre, et du fromage à patte dur (style gruyère ou comté) au salon, zapper le repas en vol et dormir….
Bref, Air France, un supplice nommé Sulpice….
Pet a commenté :
10 janvier 2017 - 11 h 14 min
En quittant CDG À 23.00, vs pvez dîner au salon et pas vs limiter au jambon/fromage.
Si les plats ne pas délirants, ils sont corrects et meilleurs que ds les salons BA LH KLM AZ.
Quant aux deux heures d’attente, le service commence une heure après le décollage environ, en altitude de croisière.
A moins que je ne voyage sur des vols exceptionnels ..
Joan_Miro a commenté :
10 janvier 2017 - 10 h 14 min
Sulpice pour les repas et supplice pour les encore trop nombreux NEV3, NEV4.
Yan a commenté :
10 janvier 2017 - 15 h 02 min
On en peut plus de ces fauteuils-lit d’un autre âge… On vol sur un avion moderne comme le 380, et on se farcit des fauteuils d’un autre âge… on va encore attendre (si AF à du fric) 2019/2020 pour enfin bénéficier d’un produit au “standard” du marché (et équivalent peu ou prou à celui offert par la concurrence)…
C’est long, très long. Tout cela parce que lorsque l’A380 a été mis en ligne, AF a été la seule compagnie aérienne à ne pas, en même temps, revoir ses produits sur le navire amiral de la flotte…
Gourgeon/Spinetta ses sont arque boutés sur une modification sans fin d’un produit qui n’était déjà pas idéal au départ… oubliant que les classes avant faisaient gagner de l’argent. Erreur de stratégie, retard à l’allumage, modifications sans fin qui coûtent in-fine plus cher qu’un investissement bien réfléchit au bon moment, c’est toute l’histoire d’Air France.. une succession d’erreurs stratégiques…
fayçalair a commenté :
10 janvier 2017 - 12 h 42 min
attn genia vous avez tout compris c’est tres desagreable avec en plus les bruits de gamelles!!!!on aimerait trouver le responsable pour lui expliquer
Vivelaconcurrence a commenté :
10 janvier 2017 - 13 h 10 min
La concurrence est faite pour changer de compagnie aérienne si nous ne sommes pas satisfaits d’un servir ou prestation . AF n’a plus de monopole sur de nombreuses lignes LC . A bon entendeur ….
Rigolo a commenté :
10 janvier 2017 - 14 h 45 min
Et quand on part de Paris, vous croyez qu’on va faire un détour par Londres ou Amsterdam pour avoir un plat plus copieux… vous rêver où quoi???
Je ne vois pas où est le problème de faire remarquer que sur AF, on fait dans le chichi et que les quantités sont “minables” style nouvelle cuisine…
Le plateau est tellement petit (ah oui, il est vrai qu’en Business long courrier AF, on a encore droit au plateau, alors que sur les autres compagnies, c’est un service à la carte décomposé d’ailleurs assez rapide..) que tous les plats ne tiennent pas…
Bref, c’est bon, mais en trop petite quantité…
Kant a commenté :
10 janvier 2017 - 17 h 40 min
On ne peut demander à voyager pour 400 euros et souhaiter dîner au ritz il faut avoir les ambitions de ses moyens et les moyens de ses ambitions…visiblement vous ne les avez pas….Hélas pour vous
czl a commenté :
10 janvier 2017 - 18 h 08 min
Une assiette quasiment vide pas de quoi nourrir un chat
Si les passagers de ces classes premiums acceptent de se nourrir avec les yeux …..