Flying Blue, le programme de fidélité d’Air France-KLM, a signé un partenariat avec Plusgrade, chef de file mondial en produits de revenus auxiliaires pour l’industrie du voyage, pour proposer un service d’abonnement mensuel aux Miles.
Cette nouvelle offre baptisée « S’abonner aux Miles » permet aux membres de Flying Blue d’augmenter régulièrement leur solde de Miles par un simple abonnement mensuel, et de gagner des primes de voyage plus facilement. Le nouveau service d’abonnement offre plusieurs avantages clés aux membres : dépôts mensuels automatiques de Miles directement sur le compte des membres; choix de quatre formules flexibles : de base, intelligente, avancée ou complète ; taux sur les Miles les plus avantageux du marché ; et un moyen simple d’épargner pour des voyages potentiels.
Les membres peuvent utiliser leur solde de Miles croissant pour profiter de toute une gamme de primes de voyage : vols vers des destinations de rêve, surclassement en classe affaires, séjours dans des hôtels partenaires, et bien plus. L’abonnement garantit des Miles accumulés en continu, permettant aux membres d’atteindre leurs objectifs de voyage plus rapidement et de manière plus prévisible.
« Avec “S’abonner aux Miles“, il est plus facile que jamais pour nos membres d’augmenter leur solde de Miles et de réaliser leurs projets de voyage. Cette approche novatrice par abonnement reflète notre engagement à fournir des avantages concrets et utiles qui améliorent l’expérience de voyage de nos membres. En nous associant à Plusgrade, nous assurons à nos membres l’accès à un moyen fluide et efficace de gagner des Miles », explique Benjamin Lipsey, Vice-président principal, Fidélisation des clients, et président de Flying Blue chez Air France-KLM.
SERGE13 a commenté :
23 novembre 2024 - 13 h 55 min
L’idée est excellente, néanmoins AFKL nous prend pour des imbécile car elles ne respecte plus du tout les barèmes primes de base.
A savoir qu’il faut tout le temps plus de miles pour une destination.
Il m’est arrivé de voir des Paris Le Caire à 300k miles pour un aller simple en affaires. Ca devient du grand n’importe quoi. En résumé un énorme piège pour faire rentrer de l’argent…
Anna Stazzi a commenté :
23 novembre 2024 - 16 h 57 min
Faire entrer de l’argent ne peut être considéré comme un piège.
Une offre s’accepte ou se refuse.
Celle-ci entrerait dans la seconde catégorie, attrape-nigaud parfait.
Facturer des miles à un gus au prix fort en lui faisant miroiter « des destinations de rêve, des surclassements, des billets gratuits -le Graal😂-«
Les barêmes des principales compagnies ont changé, en défaveur du client.
C’est aujourd’hui sans intérêt.
Tant mieux !
Le pax n’étant plus fidélisé teste la concurrence.
Leo a commenté :
23 novembre 2024 - 17 h 19 min
Tellement ça. A force de dévaloriser les miles, baisser les cumuls et maintenant vendre les miles, ça ne sert plus à rien pour les soit disantes primes car on les paie au final…. J’ai rigolé quand j’ai vu un billet prime swiss. Miles and more Jfk gva a/r pour 55000 miles mais 2000 usd de taxes et frais 😂😂😂 2000!!! Non mais allo.??
CHAIBOU Alassan a commenté :
2 décembre 2024 - 18 h 27 min
Avec les miles Air France, l, Assurance d, un avenir radieux.
Aviation a commenté :
23 novembre 2024 - 20 h 42 min
Les miles peuvent encore être interessants pour certains voyages et surclassements mais cela devient de plus en plus rare.
Il existe des compagnies dont les primes en miles sont au même prix mais avec une dizaine d’euros de frais, loin, très loin de ceux d’Air France.
fayçalair a commenté :
23 novembre 2024 - 23 h 02 min
les miles je les donne a ma secretaire!!!!!
L' Histoire en marche... a commenté :
24 novembre 2024 - 9 h 55 min
Vers la fin des années ’80/debut des ’90, deux grandes compagnies internationales US avaient des programmes de récompense envers leurs passagers les plus fidèles. C’étaient des pionnières en la matière: TWA et Pan Am: c’était aisé d’y obtenir des points( on ne disait pas encore “miles” à l’époque!), et les convertir en billets gratuits tout autant.
Résultat: elles virent toutes les deux le nombre de leurs clients fidèles bondir signifiant qu’elles attiraient de + en plus + de clients, et quelques temps plus tard , celui des points distribués explosait au delà de l’imaginable alors et on vit dans ces programmes des nouveautés synonymes d’immenses succès commerciaux!
C’est alors que les ennuis ont commencé. Certes ces programmes ne furent pas la raison des faillites de TWA et Pan AM, mais ils y contribuèrent fortement/ Pourquoi?
Parce que, d’un point de vue juridique , ces points distribués qui donnaient droit à des billets gratuits, sont à voir comme une obligation pour la compagnie d’émettre des billets gratuits qui donc ne génèreront aucun revenu. Par suite, d’un point de vue comptable, il sont assimilés à de la dette que l’entreprise doit honorer. Dette qui de plus s’accompagne d’une baisse du chiffre d’affaire potentiel associé à chaque billet émis.
Or pour TWA et Pan Am, vu le nombre de point émis, la facilité d’émission des billets , cela se traduisait en des montant de dettes faramineux de plusieurs centaines de millions de $ qui en vinrent à plomber financièrement fortement l’entreprise à un moment où elles ne se trouvaient au mieux de leurs formes.
Ces programmes participèrent fortement à leurs chutes car ces dettes là ne pouvaient pas juridiquement être effacées et les compagnies tenues d’émettre ces billets et voir leurs revenus baisser en parallèle à ces émissions
Depuis, les compagnies aériennes se prémunissent contre ce risque de quatre manières: 1) en étant plus chiches dans la distributions de “points qualifiants” – notion inventée en plus justement dans ce but -, 2) en rendant plus difficile l’échange points billets- augmentation du nombre de points nécessaires/limitation du nombre de places à bord accessibles avec ce type de billet- 3) en proposant des utilisations internes à la compagnie de points pour des prestations qui lui coutent un strict minimum tout en ne supprimant pas la vente du billet – bagages supplémentaires, surclassement, accès aux salons..etc…- et 4) en poussant à l’utilisation des points pour des prestations hors la compagnie qui ne lui coutent donc rien du tout à elle – nuits d’hôtel, location de voiture, réservation de spectacles ou restaurants, achats dans certaines enseignes de luxe…etc…
Les points 1 & 2 sont destinés à minimiser le montant de votre compte en points, tandis que les points 3 & 4 sont destinés à vider vos comptent ailleurs qu’en les utilisant en échanges pour des billets totalement gratuits.
Ne cherchez pas plus loin la raison des durcissements des politiques des programmes de fidélité!
Miles a commenté :
24 novembre 2024 - 12 h 13 min
Vous avez oublié un point, à mon avis le point essentiel.
(On n’est plus dans les années 80).
Les MILES que vous avez soit disant “gagné” sont en fait déjà payés !
Ils sont compris dans le prix du billet que vous achetez…surtout pour les compagnies non LOW COST.
D’autant plus pour les billets payés au prix fort, billets flexibles ou de dernière minute. Les compagnies savent très bien se rattraper quelque part….
Il faut prendre en compte aussi TOUS les clients qui n’adhèrent pas forcément un programme de fidélité ou dont les miles arrivent à expiration.
Vue de l’esprit! a commenté :
24 novembre 2024 - 15 h 06 min
Cette représentation mentale que l’on « aurait déjà acheté des miles uniquement parce qu’on aurait payé un billet sans réduction plus cher qu’ailleurs » est une parfaite incongruité, issue d’un biais de fonctionnement mental qui confond imaginaire et réalité, qui tend à trouver un justificatif à son propre système de pensée en refusant qu’il puisse en être autrement.
Non: vous n’achetez pas de miles dans le prix payé, même en tarif sans réduction aucune.
Un client fidelisé dans un programme acheté son billet plein pot ( le + cher) dans une cabine donnée pour aller de À à B exactement au même prix qu’un client non fidélisé dans la même cabine sur le même vol le même jour. L’un ne reçoit pas de miles, l’autre si, en n’ayant pas payé un centime de plus…. Il n’y a aucun achat de miles.
Wooster a commenté :
24 novembre 2024 - 10 h 11 min
L’idée n’est pas mauvaise par principe. Cela dépend des prix auxquels sont proposées les différentes formules. Par exemple si avec 1€ on achete 100 miles, c’est bidon, mais si on obtient 200 miles,, alors ça peut se considérer, et à 300 miles ce serait une bonne affaire (j’ai fait un calcul à la louche).
Mais cela dépend aussi de l’évolution de la politique d’Air France. Pour ce qui me concerne j’aime utiliser mes miles pour voyager en business, mais je regrette qu’il y ait très peu de promos en miles sur le type de trajets.
Danin a commenté :
24 novembre 2024 - 11 h 59 min
Apollo
Xenon a commenté :
24 novembre 2024 - 16 h 32 min
L’un des pires programmes de fidélité! En moyenne 20 minutes d’attente pour obtenir un agent commercial. Plus récemment 45 minutes pour se faire expliquer pourquoi mes miles avaient été zappés. A fuir si vous pouvez.