A l’aéroport Brest-Bretagne, la compagnie aérienne espagnole Volotea consolide son ancrage sur le territoire finistérien et franchit le cap symbolique du million de passagers transportés depuis le début de ses opérations en 2013.
Le 20 février, Volotea a célébré le palier du millionième passager (une passagère en fait) à Brest-Bretagne, après plus de dix ans de présence. D’ailleurs, son bilan de l’année 2024 a été très positif. En reliant six pays -l’Espagne, la Grèce, l’Italie, le Portugal, le Royaume-Uni et la France-, elle a transporté 323 000 passagers l’année dernière vers/de 19 destinations, dont 18 exclusives. Près de 45 % de sa capacité était consacrée aux lignes domestiques, tandis que 43 % desservait les grandes destinations insulaires de loisirs telles que Lanzarote, Majorque, Minorque, Tenerife, la Corse, la Crète et la Sardaigne renforçant ainsi la connectivité insulaire.
En 2024, Volotea a notamment accueilli en avril un avion Airbus A320 -à l’occasion de l’ouverture de sa base en avril dernier- représentant 37 emplois directs et près de 170 indirects. Un engagement fort qui participe au développement économique et social de la région.
La compagnie aérienne spécialiste des capitales régionales atteint désormais la première place en termes de capacité à Brest-Bretagne. Cette année, elle continue de développer son offre en proposant plus de 425 000 sièges vers 20 destinations, dont une nouvelle route vers Héraklion en Crète. Cette nouvelle liaison sera lancée le 8 avril prochain avec une fréquence hebdomadaire, tous les mardis.
Avec une flotte de 40 Airbus A319 et A320 basés dans 20 capitales régionales européennes, Volotea dessert 110 aéroports. En 2025, elle exploitera plus de 420 routes (avec plus de la moitié en exclusivité), proposera 12,7 millions de sièges (+1 % par rapport à 2024) et effectuera environ 75 000 vols, selon son programme.

@Volotea
SERGE13 a commenté :
24 février 2025 - 2 h 09 min
Volotea a tendance à fermer des lignes à tour de bras.
A Marseille, Lyon et j’en passe ce sont des dizaines de lignes fermées.
Alors qu’elle avait un excellent taux d’occupation.
1% de croissance en un an, c’est très faible pour une bas tarif.