Une jeune femme s’est senti pousser des ailes après que son prétendant lui a demandé de l’épouser sur un vol d’AirAsia, non sans que ce dernier lui ait fait quelque frayeurs auparavant. Edmund Arvind Arubbs, 27 ans, cherchait une façon originale de demander en mariage sa chère et tendre. Pourquoi pas une demande à 35 000 pieds d’altitude ? Oui, mais peut-être pas assez bluffant, estime-t-il alors. Car s’il avait bien vu des vidéos avec des demandes en mariage dans les airs, il  n’était pas vraiment certain de l’effet surprise total. Il va alors imaginer un scénario digne de Bollywood. Tout commence par une demande d’autorisation écrite en bonne et due forme, envoyée à Tony Fernandes, patron d’AirAsia, et a priori plutôt sympathique. Ce qui fut accordé. Il va alors comploter avec les membres d’équipage, vraiment « excités » à cette idée originale de demande en mariage, un petit scénario catastrophe, l’idée étant que sa belle et tendre de 26 ans croie qu’il a raté l’avion pour leur départ en vacances à Siem Reap, au Cambodge. « L’équipage a joué le jeu en annonçant au micro qu’on me cherchait alors que j’avais été pris en train de fumer dans les toilettes de l’aéroport », raconte le jeune homme. « Nina (sa fiancée n.d.l.r.) m’a appelé je ne sais combien de fois et je lui ai dit que je prendrais le vol suivant. Elle était furieuse. » Nina demande à l’équipage de patienter quelques minutes, mais les horaires sont ce qu’ils sont dans l’aviation civile : la porte se ferme et l’avion décolle. Ouille, ça commence mal, non ?  Mais la suite est plus glamour. Au micro de la cabine, dans les airs, la jeune femme, entend avec surprise, un homme raconter une histoire d’amour. La leur. Ils se sont rencontrés dans un bus qui les amenait à la même école quand il avait 17 ans. Il l’attendait tous les jours jusqu’à ce qu’il la voit… « Au début, je n’ai pas reconnu sa voix, racontera-t-elle plus tard, et ensuite je me suis mise à pleurer ». Puis, son amoureux transi se présente à ses pieds, et la demande en mariage. Ce qu’elle s’empresse d’accepter. Ils ont décidé de convoler en mariage… l’année prochaine. Happy end.