Publié le 1 décembre 2024 à 10h00
Publié le 18 juillet 2013 à 07h00 par François Duclos
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Marchandage a commenté :
18 juillet 2013 - 7 h 28 min
La vie d’un aéroport ne s’arrête pas à ryanair
Il y a sûrement plein d’autres compagnies intéressées par les slots laisses vides par ryanair.
Il serait grand temps qu’on tienne tête au marchandage de RYR
vol a commenté :
18 juillet 2013 - 9 h 02 min
…et pas de cris d’orfraies de la part de Monsieur Cloquet quand une taxe, si mes souvenirs sont exacts, de 40 euros est infligées aux distraits si, ceux-çi n’ont pas leurs permissions d’embarquement à présenter ; pas de réactions non plus en ce qui concerne les mesures vexatoires encourues par le candidat passager si d’aventures son bagage à main ne correspond pas aux ukazes oleariens;respect drastiques des dimensions imposées etc etc etc…
edgar a commenté :
18 juillet 2013 - 9 h 02 min
La taxe de 3 euros ne s’appliquera pas qu’à Ryanair…
Il n’y a ici qu’une négociation dans laquelle Ryanair est en position de force. Ce genre de négo prend place dans tous les secteurs, aérien compris.
On aimerait lire “Ryanair accepte la taxe de 3 euros et propose de reverser 90% du prix du billet aux collectivités locales”, mais les bisounours ne passent qu’à la télé.
Lady gaga a commenté :
18 juillet 2013 - 8 h 47 min
Et ils iraient ou ? en Flandre ? Ostende ?Anvers ?
Vu les ambitions de développement ,on se doute bien qu’ils bluffent beaucoup !
werner a commenté :
18 juillet 2013 - 8 h 55 min
Le principe est toujours le même, prendre une position dominante et ensuite exploiter la situation par des marchandages méthode libérale irlandaise.
vol a commenté :
18 juillet 2013 - 10 h 47 min
Un peu d’humour.
Marionnette : figurine articulée que l’on actionne à l’aide de fils ou de ses mains.
Marionnettiste : montreur,manipulateur de marionnettes.
N’en doutez pas, Michael O’Leary est un grand marionnettiste.
A suivre donc dans le conte des “Trois Euros”
Marc a commenté :
19 juillet 2013 - 8 h 59 min
Ryanair est en position de force et réduire le nombre de vols en représailles, il l’a déjà fait dans d’autres aéroports.
Il suffit à Ryanair de déplacer ses appareils non utilisés dans un autre aéroport et d’ouvrir ou renforcer d’autres lignes: aucune perte pour l’irlandais au final ! Mais des pertes pour le pays, la région et l’aéroport “abandonné” car un aéroport cela ne s’amortit pas en une ou deux années et le personnel engagé ne se désengage pas si facilement dans nos législation.
Pas grand choix pour les politiciens que de céder dans ce genre de pression car ne pas céder coûtera bien plus cher et ils le savent. Il aurait fallu penser bien plus tôt à attirer d’autres compagnies en nombre. A Charleroi, Ryanair n’est pas le seul, c’est vrai, il y a aussi Wizzair, TUI-Jetairfly et j’en oublie peut-être un autre occasionnel mais Ryanair y réalise plus de 90% des vols.
Aujourd’hui 19 juillet par exemple: 51 vols Ryanair au décollage et à l’atterrissage, 7 vols pour Wizzair et 6 pour TUI.
Au bas mot, avec 51 vols et 150 passagers sur chaque (cela ne représente un taux de remplissage que de 80%, bien en deçà de la réalité chez Ryanair), cela fait plus de 7.500 passagers au départ et plus de 7.500 passagers à l’arrivée rien que pour Ryanair en une seule journée. On imagine l’emploi créé à Charleroi, direct et indirect, avec ce trafic: pensons aux commerces de l’aéroport, aux hôtels, aux parkings, etc. Et il y a aussi les retombées à distance de Charleroi.
Risquer de perdre Ryanair pour 3 euros par passager, c’est un grand risque …
Et pour ceux qui disent qu’augmenter les prix de 3 euros, ce n’est pas important et que les passagers suivront étant donnée tous les suppléments perçus par la compagnie sur diverses choses (non impression de la carte d’embarquement, bagages, excédent de bagages ou bagages hors normes, etc), il ne faut pas oublier que beaucoup de passagers se conforment aux normes et ne sont pas sujets à ces suppléments. Donc une augmentation des tarif aura un effet sur les réservation et sur les coefficient de remplissage qui diminueront peut être d’un ou deux pour cent, voire un peu plus; et il ne faut pas oublier que cette marge ainsi perdue est en réalité prise intégralement sur le bénéfice du vol …. donc il n’y a pas photo, Ryanair déplacera partie de ses opérations sur un autre aéroport proche (Lille n’est pas loin, Maastricht non plus) ou pas (à l’échelle européenne, il y a d’autres marchés à prendre s’il abandonne en partie Charleroi), car son but est de faire voler des appareils le plus rempli possible comme toute compagnie qui veille à dégager des profits en fin d’exercice.
Just Biou a commenté :
20 juillet 2013 - 1 h 19 min
Monsieur O’Leary montre son vrai visage (ce n’est pas la première fois) : celui de maître-chanteur.
Il n’a rien à f….. des clients, des aéroports, du personnel, de tout sauf du fric que sa compagnie peut amasser en se positionnant en situation de monopole.
Pendant longtemps, il a joué la vedette en disant qu’il était le petit David qui a le courage de s’attaquer aux vilains Goliath (BA, AF, LH, etc..) afin de protéger le consommateur. Maintenant qu’il est en quasi-monopole dans l’aérodrome pour aéro-club de Pedzouiilles-les-Bains il serre le kickik de la chambre de commerce qui n’a rien vu venir.
Et ce n’est que le commencement. Encore bien des surprises nous attendent.
N’oubliez pas de lire le livre qui est sorti il y a quelques mois sur Ryanair.
Marc a commenté :
20 juillet 2013 - 1 h 38 min
Il est vrai que créer un aéroport ou en rénover chèrement un pour un client quasi unique, c’est une gestion assez hasardeuse car ce client peut faire la pluie et le beau temps. C’et une notion d’économie et de marketing élémentaire et le danger du “monoclient” que les politiques ont feint d’ignorer.
Il aurait fallut impliquer le client (Ryanair) dans les coûts des infrastructures pour qu’il les utilisent suffisamment longtemps pour les amortir. On aurait du laisser payer les factures à Ryanair en lui laissant la possibilité de gérer l’aéroport et en retirer d’éventuel profits. Cela aurait été la solution la plus sage mais elle n’a pas été choisie.