Le diagnostic environnemental n’a pas encore commencé, mais les experts interviendront « dès que la zone de l‘accident sera entièrement nettoyée et hors de danger » ; ils proposeront alors un protocole de dépollution à l’administration française pour approbation. Lufthansa envisage une fin des opérations de dépollution « avant les premières chutes de neige ». Simone Menne, Directrice financière et membre exécutif du conseil d’administration de Lufthansa, en profite pour « remercier chaleureusement la Gendarmerie Nationale, placée sous l’autorité du Colonel Brochier, pour le soutien exceptionnel qu’elle nous apporte. Nous sommes profondément impressionnés à la fois par leur dévouement et leur professionnalisme. Nous aimerions aussi remercier la Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, les maires et les habitants des villages proches de l’accident qui ont été admirables dans le soutien et l’aide qu’ils nous ont apportés ».
Dès lors que les opérations de récupération des débris seront terminées, Germanwings et Lufthansa décideront, après concertation avec les maires, les habitants des villages, les familles et amis des victimes, de quelle manière la mémoire des victimes peut être honorée et le recueillement à proximité au site de l’accident peut-être organisé.
L'identification des victimes du crash de Germanwings devrait encore durer environ six semaines, a indiqué hier le procureur de Marseille Brice Robin à l'agence de presse DPA. Les enquêteurs français « espèrent conclure les analyses nécessaires pour la fin du mois de mai », a-t-il précisé. 144 passagers et six membres d’équipages de 18 nationalités différentes sont morts quand l’A320 reliant Barcelone à Düsseldorf s’est écrasé, suite à des « actions volontaires » du copilote Andreas Lubitz. Aucune preuve de défaillance technique n'a été décelée, selon les informations des enquêteurs rendues publiques à ce jour. Publié le 2 décembre 2025 à 09h00
vonfritschthofen a commenté :
16 avril 2015 - 22 h 53 min
On peut remercier tous les hommes et femmes qui ont participé au ramassage des corps des malheureuses victimes, eux aussi méritent notre estime, et notre considération, à se demander s’il n’ont pas eu besoin d’un support psychologique après ce qu’ils ont vu …