Publié le 1 décembre 2024 à 10h00
Une tour de contrôle virtuelle pour l’aéroport de Londres-City
Publié le 22 mai 2017 à 12h00 par François Duclos
Vous avez apprécié l’article ?
Soutenez-nous, faites un don !
Commentaire(s)
Faire un don
Appel aux lecteurs !
Soutenez Air Journal participez à son développement !
Derniers commentaires
Le toulousain a commenté l'article :
Boeing investit un milliard de dollars dans son site d’assemblage du 787 Dreamliner787 a commenté l'article :
Boeing investit un milliard de dollars dans son site d’assemblage du 787 DreamlinerDakota a commenté l'article :
Air France présente ses trousses de confortRKDC10 a commenté l'article :
Corsair et l’ESTACA : des ingénieurs prêts à répondre aux défis aéronautiques de demainLire aussi
Tourisme : Nice plus populaire que Londres… sur les réseaux...
La COP29 a permis à 600 aéroports d'être désormais certifiés...
Voyage : les destinations de Noël avec le vent en poupe
Abonnement
Publicité
masquée
Nos abonnés bénéficient d'une navigation fluide sans bandeaux publicitaires pour une meilleure lecture de nos contenus.
Pseudonyme
réservé
Votre pseudonyme est validé à partir de votre adresse mail, empêchant qu'un autre lecteur publie un commentaire à votre place.
Commentaire
instantané
Votre commentaire est publié instantanément. Les commentaires des non-abonnés ne sont publiés qu'après modération par notre équipe.
Articles les plus
consultés du mois
Publié le 1 décembre 2024 à 12h00 par Thierry Blancmont
Publié le 2 décembre 2024 à 13h00 par Thierry Blancmont
Publié le 1 décembre 2024 à 13h00 par Thierry Blancmont
Publié le 2 décembre 2024 à 11h00 par Air-Journal
Grand Caribou a commenté :
22 mai 2017 - 12 h 44 min
Espérons que les systèmes informatiques seront bien protégés des ”pirates informatiques”….
Quand on voit qu’ils sont capables de faire sonner toutes les sirènes d’alerte d’une ville comme Dallas on est en droit de s’inquiéter pour une tour de contrôle virtuelle….
Frenchpilot83 a commenté :
22 mai 2017 - 13 h 46 min
Au nom d’économies de bouts de chandelles, on passe son temps à exposer un peu plus chaque jour la sécurité du transport aérien et de son exploitation aux attaques en tous genres. Les contrôleurs doivent être ravis de se retrouver les yeux collés à des écrans, où qu’ils regardent. De beaux soucis de santé à venir… Mais c’est pas grave, le NATS va se faire un peu plus de fric! ?
infomaniac a commenté :
22 mai 2017 - 14 h 42 min
Apparemment le système est super sécurisé. Qu’est est il des fientes des volatiles ? Ca ferait un peu tâche qu’ils n’aient pas prévu comment s’en débarrasser ! lol
Littledudy a commenté :
22 mai 2017 - 15 h 14 min
La région du Hampshire se situe à l’OUEST de la capitale.
On économise quoi avec ce systeme???? a commenté :
22 mai 2017 - 17 h 07 min
Pas des contrôleurs car les avoir sur place à faire leur job, ou dans le Hampshire à faire leur job, c’est toujours autant d’heures de job par autant de personnels….
Pas des services techniques d’entretien matériel, et a priori,ça risque meme d’être plutot le contraire…
Pas des couts de construction immobilière Car construire une vraie tour au City ou une fausse tour pour les caméras + dans le Hampshire le local de réception-affichage des images qui recevra les contrôleurs, à la fin des fins ça doit pas faire une grosse différence….
Alors, on économise quoi????
Laurent a commenté :
23 mai 2017 - 0 h 32 min
en l’occurrence, concernant spécifiquement City, on économise de la place au sol pour y construire ou étendre terminal, parkings avions, etc… il semble que ce soit la seule raison de cette remote tower contrairement à d’autres projets (Budapest, Dublin) où il s’agit plus d’économiser la construction ou la rénovation d’une tour de contrôle, tout en restant sur site.
Jessti a commenté :
23 mai 2017 - 19 h 57 min
J’imagine aussi que les salaires horaires sont un peu moins élevés dans le Hampshire qu’à Londres. Londres est l’endroit où les salaires sont les plus hauts comme c’est le principal pôle économique.
Et en plus on s’évite de construire ou rénover une tour puisque les bureaux seront à priori au niveau du sol.